Chapitre 4 - Le temps de l'incertitude - Seconde partie

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Lorsque j'entendis son souffle murmurait à mon oreille sa dernière condition, mon coeur bâtait de plus en plus la chamade. Ne sachant pas quoi réellement répondre, j'acceptais l'intégralité de ses conditions par un léger signe de la tête. Puis, le cliquetis sonore retentissait me libérant de mes chaînes.

« C'est enfin la fin de l'objet de torture ? ».

Le bâillon tomba aussitôt sur le sol. L'homme inconnu libéra aussitôt les deux femmes qui nous avez aidés lors de cette partie avec bien entendu des paroles cachaient. Alors que j'étais entrain de masser le bas de mon visage endormi à cause de cette objet de torture qui m'avait bloqué tout forme de mouvement, que soit la langue ou la mâchoire en elle-même.

« Est-ce qu'il propose aussi la même chose à elles ? ».

Mon coeur loupa un battement lorsque cette pensée me venait en tête. Je secoua instinctivement ma tête pour tenter d'effacer cette idée. L'homme, qui devait finalement avoir aux alentours du milieu de la vingtaine sans le bâillon, racla sa gorge pour faire tourner les visages des deux filles et le même en sa direction.

- Je vous remercie de votre aide lors du jeu, disait-il avec sa voix grave. Et, maintenant, nous formons un groupe. Quoi qu'il advienne, je serais toujours là pour vous aider au cas où, que ce soit lors d'une partie de jeu, d'un vote ou encore durant les phases de « repos ».

Les trois autres membres ont hochés de la tête en même montrant que nous étions d'accord par ses paroles.

« Qui est-il ? ».

L'homme se leva assez rapidement et regarda le temps restant au compteur inversé. Je remarquais qui resté au moins trente minutes pour la fin de la partie. Il ouvrit la bouche et la referma aussitôt.

« Qui va-t-il faire ? ».

Et réessaya ce qu'il voulait faire.

- Bien, il vous reste trente minutes environ avant que vos colliers explosent et mettent fin à votre vie.

Il leva assez rapidement sa clef en haut avec son bras droit tendu au plus haut point qu'il pouvait. Assez rapidement, je remarquais que ses mains étaient encore trempé du sang de la première victime. Je déchira ma veste noire en simple morceaux de tissus et essaya en quelques secondes les traces de sangs qu'il m'avait mit lors de ses conditions. Je l'écoutais toujours, même si mes pensées étaient concentrées à sa dernière condition.

« De devenir son petit ami ».

» Je peux vous libérer de l'engin de torture, si vous le voulez.

Mon regard se fixa sur son visage avec son rictus et sa forte barbe, ainsi qu'à son torse. M'imaginant une multitude d'image perverse, mes pommettes continuèrent de me brûler. Nos regards se croisèrent et me souriait en réponse mettant mon coeur en grande forme après ce que j'ai pu traversé en deux heures.

Tous le regardaient et écoutaient chacun de ses mots qu'il prononça assez rapidement par manque de temps.

» A une seule condition, vous me serez redevable à tout moment, que ce soit à moi ou à mon groupe, composé de ses membres (moi inclus).

Le silence pesa assez rapidement sur l'intégralité des victimes sans savoir connaître leur réponse.

Au bout d'une dizaine de minutes, seul trois personnes sont venus se libérer. Quant la dernière personne partit avec le sourire, un brouhaha commençait à être entendu au niveau du groupe de filles. Les chaises tombaient au fur et à mesure que les filles tentaient de fuir par ce qu'il venait de se passer. Je me pris d'une nausée lorsque j'ai vu ce qu'il se passait. La jeune femme à capuche tenait fortement une autre fille, mince en tenue scolaire traditionnelle japonaise, par la hanche tandis qu'elle se débattait. En quelques secondes, la femme au visage caché s'acharna sur elle par divers coups de poignards au niveau du cou. Elle charcuta l'étudiante vivante à la recherche de sa clef. Puis, lorsqu'elle trouva la clef, elle s'amusa avec les entraines de la fille à moitié morte pour un simple clé. Lâchant le corps de la victime entrain de vider de son sang sur le marbre froid, la meurtrière déchira l'enveloppe et se libéra des griffes de l'objet mortel alors que divers taches de sang que ce soit au sol ou aux ours étaient parfaitement visible.

- Aaah, lâcha-t-elle dans un soupir heureux, que cela fait du bien de pouvoir parler, tandis qu'elle piétina sa victime avec un immense sourire sur ses lèvres.

Cette dernière libéra l'unique fille restante de son groupe et patienta tout en nous regardant.

L'homme au caractéristique d'étudiant en droit se rapproche de nous et nous demande de le libérer par diverses signes de la main. Ce dont l'homme barbu, enfin mon petit ami, accepta d'un sourire.

- Je vous remercie pour m'avoir libérer de ses entrailles, disait-il d'un air sérieux alors qu'il se massa la nuque. Il fallait mieux que je demande à vous, qui paraissait plus humain que l'autre, en montrant du doigt la jeune femme à la capuche.

- Très bon choix.

Le barbu me fixa une énième fois tandis que je me vide de mes entrailles après ce que j'ai vu. À bout de souffle, il me tendit sa main pour me relever, ce que j'accepta facilement.

- On peut dire que tu as l'estomac fragile, non ? Ricanant-il révélant son beau sourire.

- J'aurais plutôt dit que je ne suis pas encore assez habitué à ce genre d'évènement, lâchais-je rapidement.

Il me regarda.

- Il faudrait que tu t'habitues rapidement, mon petit ami, car je pense que cela va empirer d'ici vingt-quatre heures ...

Je ne le regardais, j'évitais de croiser son regard. Alors que divers auras menaçants nous regardaient par-ci et par-là.

- Hi hi hi ...

Tous les survivants restants se retournèrent rapidement en direction de la poupée.

« Il nous écoute ? ».

» Il vous reste cinq petite minute avant la fin de la partie ...

« Mais qui peut-être l'investigateur de ce jeu morbide ? ».

Les secondes passaient énormément vite, sans entendre le décompte que faisait la peluche. Lorsque ce dernier était fini, une explosion retentissait juste dernière moi. Je me retourna et reçu l'éclaboussure du sang de la nouvelle victime, dont son torse était allongé sur le bureau, comme s'il dormait, et se vidait de l'intégralité de son sang.

Je produisais un cri aiguë du à la peur alors qu'en fond, j'entendais une alarme indiquant la fin de la partie et le début des douze heures d'attentes avant le premier vote.

» La première partie du jeu est maintenant finie. Il reste onze moutons en vie. Qui est le loup déguisé en mouton ? Je vous laisse le débusqué à vos risques et périls. Hi hi hi ...

« La partie ne fait que commencer ».

Le temps d'un instantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant