Le temps d'un instant

Chapitre 8 - Le temps d'exploration - Troisième partie

A ce moment-là, mon regard resta fixait quelques secondes sur les morceaux restant du lavabo en morceaux toujours fixé au mur. Et au loin, j'entendais une voix qui m'étais proche, sans en connaître l'origine. Je fermais mes yeux quelques instants, cherchant à la reconnaître. Une voix qui était à la fois touchante et légèrement grave d'un homme me replongea en quelques instants dans un évènement de mon passé, que j'avais précédemment oublié.

" Est-ce que c'était lui ? ".

* * * * * *

Claqua assez rapidement,la porte de la cellule, qui se bloqua assez rapidement au niveau du chemin, alors que son morbide bruit sonore résonnait dans l'intégralité du couloir dépravé. Provoquant assez rapidement à mon corps,  une chair de poule intense. Je rejoignais assez rapidement les deux femmes et le pervers. Ils étaient tous débout, entrain de papoter de tout et de rien à la fois.

« De quoi parlait-il ? ».

Je commençais à reprendre notre quête de recherche de qui avez pu réaliser le bruit, prenant une légère avancé par rapport au trois autres personnes qui marchaient lentement.

- Dites moi ..., les faisant coupait leur discussion.

« Faut que je leur dise ... ».

« Quoi qu'il arrive, faut que je leur dise ... ».

Les trois me regardaient alors que je cachais parfaitement mes yeux remplit de tristesse, sans en connaître l'origine de cet état. Je mis plusieurs longues secondes à sortir la fin de ma phrase. Lors que cela était fait, les membres restants recevaient les paroles, comme un coup de révolver.

- Que veux-tu dire par « la perte de notre mémoire » ? Répondit instanément Kévin alors qu'il attrapa mon épaule gauche, me faisant forcer à me retourner en leur direction.

Mes yeux étaient percement de larmes remplies de tristesses. Les filles ne savant pas quoi m'analysaient sans comprendre réellement mes paroles que j'avais prononcé. Quant à Kévin, il était plus que surprit : ses yeux étaient prit de stupeur alors que sa formé un rond quasiment parfait.

« Désolé ... ».

- Je ne sais pas comment l'expliquer ...

- Essaye quand même, peut-être que cela nous rapprochera un petit peu soit-il du Maître de ce jeu.

J'essaya de mon concentré le plus possible pour employé les thermes exactement. Mais rien ne fit.

- Comme dire cela ... , j'ai l'impression que ma mémoire est plongé dans un flou permanent ...

Lucia serra de plus en plus fort ses poignets, comme l'attesté les traces blanches à cause de cette pression. Elle avait assez rapidement, comme l'attesté le bruit de ses talons aiguilles sur le marbre blanc recouvert d'une multitude tas de déchets. Son visage était déformée par la peur de connaître l'identité du tueur et de la crainte de mourir à tout instant. Se positionna assez rapidement devant Julie, comme pour défendre la seconde femme, tout en écartant ses bras, donnant l'aspect d'un bouclier pensais-je.

« Qu'est-ce qu'elle fait ? ».

« Un bouclier ? ».

«  Pour protéger Julie ? ».

« Dans quel intérêt ? ».