Half a heart : Stylinson Family

école

HARRY

Depuis 3 ans, je suis h24 avec mes enfants alors quand j'ai réalisé que leur rentré à l'école maternelle approchait, j'étais tout excité. J'ai pensé à tout le temps libre que j'aurais et tout ce que je pourrais faire. Mais pour l'instant, il fait arriver à les amener jusqu'à l'établissement scolaire. 

"- Harry ! Crit Louis. Hestia descend les escalier rattrape là !"

L'éducation des jumeaux à évolué. Louis n'est plus si parfait depuis que leur personnalité se dessine et à la maison c'est le chaos. La sortit de notre nouvelle album me stresse beaucoup alors je me permet de boire un peu le samedi soir tandis que lui il reste pour veiller su mes enfants. Souvent je rentre bourré et la tension monte quand je réveille les enfants. Alors je crois que mon comportement à poussé Louis à jeter l'éponge. Il est plus laxiste, moins patient et cri plus. Je crois en faite qu'il est plus en colère contre moi mais qu'il le fait ressortir sur les petits. 

Je sors de mes pensées pour récupérer le boulés de canon qui dévalait les escalier. Nous avons de la chance qu'elle n'ai pas trébuché. 

"- Tu l'a ? Interroge Louis du haut des escalier.

- Affirmatif.

- Cool."

Il part habiller Isis. Je remarque bien que mon visage l'agace car il essaye de passer le moins de temps possible avec moi, et cela me dérange. J'ai toujours des sentiments pour lui même après trois ans d'amitié platonique. Mais lui, il est toujours avec Eleanor - qui n'aime pas trop les jumeaux d'ailleurs -. Je quitte de nouveau mes pensées quand ma fille me tire les cheveux. Je les laisse poussé alors cela devient plus facile pour elle de les attraper. Je me débat en lui rappelant qu'on ne tire pas les cheveux à son papa et à personne d'ailleurs. Elle me répète que je suis méchant - comme d'habitude - et je la coince entre mes grands bras pour l'habiller. Tout ses vêtements sont de travers mais au moins elle les portent. Je suis fière d'avoir gagné cette bataille. Je m'habille à mon tour pendant qu'elle part s'amuser dans la salle de jeu. Je crois Louis dans le couloir. 

"- On part dans 20 minutes, j'espère qu'Hestia ne se déshabillera pas d'ici là.

- Attache la à un piqué. Je blague.

- J'y pense, j'y pense..."

Hestia nous bouffe toutes nos batterie et même Louis n'en peut plus. Nous pensions qu'avec le temps elle s'assagirait mais c'est tout le contraire. Maintenant elle ne fait pas que crier mais elle tape, mord et tire les cheveux. Un vrai monstre. A côté de sa, nous avons de la chance car Isis est un ange, il ne bouge pas d'une semelle, ne parle pas beaucoup, il fait tous ce qu'on lui demande. Parfois on l'oublierais presque tellement il ne se fait pas remarquer. Les deux, c'est le jour et la nuit. 

...

Sur le trajet de l'école, Louis met de la musique car c'est la seule chose qui fait taire notre fillette. Le seule moment de calme c'est dans la voiture avec des chansons que nous avons écrite. J'aime savoir qu'Hestia apprécie nos titres. Nous arrivons sur le parking le plus proche de la maternelle et détachons les petits. Je fais en sorte de ne pas lâcher la main de ma fille qui pourrait s'enfuir à tout moment. Isis ne veut pas marcher alors Louis le prend dans ses bras. Il ne tente même pas d'être autoritaire avec lui et cela m'inquiète, car si lui ne les éduque plus, alors qui le fera ? Je chasse cette pensées de ma tête. Il y a des paparazzi qui nous prennent en photo, nous ne faisons même plus attention à eut. Hestia tire parfois sur ma main, mais je ne la lâche pas. Une fois arrivé devant la classe, nous cherchons le porte manteau des jumeaux. Ils sont à côté ce qui nous facilitera la tâche quand nous viendrons seul. Hestia comprend bien ce qu'il se passe et elle commence à se débattre, ne voulant pas enlever sa doudoune ni laisser ses doudou. Louis prend le relai avec elle et je m'occupe d'Isis. Comme nous sommes entouré d'autre parents qui scrutent nos moindre fait et geste, Louis reprend son rôle de papa parfait. Il utilise un ton ferme sans crier, il explique à Hestia qu'on ne fait qu'enlever notre manteau, il utilise le "nous" comme si lui aussi avait son porte manteau. Cela semble rassurer la blondinette qui s'exécute tout en balançant sa veste quand même. Une fois qu'ils sont prêt, nous nous approchons de la maîtresse qui nous accueil avec un grand sourire.