Premiers mots

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HARRY 

                 C'est difficile de passer inaperçu avec une poussette double d'autant plus que Hestia est super bruyante. Avec Louis, nous avons décidé d'aller au parc pour gouter alors on est passé au super marché en acheté un. Une bonne dizaine d'adolescente nous ont prix en photo de loin et j'en ai marre de devoir leur demander de flouter la gueule de mes enfants. J'aimerais qu'elles soient assez intelligente pour le faire toute seul. J'aimerais aussi que les paparazzi arrête de nous suivre à la trace car cela me tape sur le système et que les petits commence à comprendre quand je parle, ils commencent à bafouiller des mots et j'aimerais pas que leurs premiers mots soient "merde", "putain", ou encore "connard". 

Nous arrivons au parc où nous nous installons à un banc. Je positionne la poussette face à moi. Le soleil est haut dans le ciel, il n'y à pas trop de monde car la chaleur est insoutenable. Mais j'ai avec moi monsieur-je-prévois-tous et il a acheté un petit ventilateur pour les bébés. Les bambins rigole face à la brise qui fait bouger leur cheveux blond. Leur cheveux semble être la seul chose qu'ils ont gardé de leur mère, sinon, tout le reste me ressemble. De leur pupilles verte émeraude, en passant par leur fossettes bien marqué et leur cheveux ondulé. C'est en les regardant que je remarque qu'ils sont vraiment identique. Le faits que je n'ai pas coupé les cheveux d'Isis les rend encore plus similaire. D'ailleurs je devrais l'amener au coiffeur, les mèches lui tombe sur le visage. De plus ça m'aiderais à les différencier plus vite, même si cela est simple car Hestia fait beaucoup plus de bruit. C'est cette même demoiselle qui me sort de mes pensées avec ses habituel cris stridant. Louis se bat avec elle pour quel mange ça compote de pommes. Comme toujours, madame veut faire toute seule et non merci car à 9 mois elle n'est pas capable de manger proprement. 

"- Pourquoi elle crie toujours comme ça ? Je demande désespéré

- Parce qu'elle à toujours fait comme ça."

Louis la sort de son siège et me la met sur les genoux.

"- Etant donné que tu finis toujours par craquer et la laisser faire, je te l'a donne. Interdit qu'elle salisse la poussette."

Il n'a pas tort, la plus part du temps je finis par lui donner la cuillère et elle se nourri de ce qui atterrit miraculeusement dans sa bouche. J'ai du mal à montrer mon autorité, je n'aime pas dire non. Je ne veux pas leur faire de la peine et cela agace souvent Louis qui à une autre vision de l'éducation. Le petit diable a salit tout son tee-shirt ainsi que le mien. Je suis désespéré. Je fini toujours dans un salle état et la presse adore ce genre de moment. Il écrivent des gros titre du genre "HARRY STYLES UN PERE AU BORD DU GOUFFRE" ou même " HARRY STYLES : UN PAPA DEBORDE". Je crois que le fait qu'il n'est pas totalement tord m'énerve encore plus. Car parfois je suis à la limite de tout craquer et de léguer tout mes droits parentaux à Louis. 


               C'est l'heure du bain ! Le moment préféré d'Isis, depuis tout petit il nous offre des grands sourire et des fou rire à le rendre tout rouge. Alors, depuis peu, avec Louis, nous avons décidé de prendre le temps pour le bain, de profité et tant pis si on est trempé. Car on le sera. Après mettre battu avec le fichu tee-shirt jaune poussin de mon fils, je le place sur le siège de bain posé dans un fond d'eau. La joie se lit immédiatement sur son visage et les fou rires commence. Mon colocataire me rejoins avec Hestia et l'installe en face de son frère. Nous les mouillons doucement à l'aide de nos main et les deux bambins ris beaucoup. Ils se regarde, nous regarde et rient. 

"- Je crois qu'ils se foutent de notre gueule. Je dis à Louis

- Ils se moquent de nous. Il me corrige."

Half a heart : Stylinson FamilyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant