imagine hobbit

Kili

Pdv Neutre :

Dans un village calme se trouvait des nains, beaucoup de nains qui attendaient avec impatience leur chef. Leur seul roi encore vivant accompagné de ces chers neveux tant aimés surtout par la gente féminine si je ne m'en abuse, mais peu importe, une naine parmi la masse essayait de se placer devant afin de croiser ses meilleurs amis.

T/p regarde avec intérêt un grand groupe venir dans le village, elle observe chaque nain avec attention et fronce les sourcils ne voyant pas ses amis dans le lot.

Si une hache avait traîné dans le coin, T/p se serait assurer de menacer chaques nains du groupe revenu de leur longue expédition pour retrouver ses amis qui lui ont tant manquer, mais l'inquiétude était plus grande que son impatience.

T/p - FILI, KILI !

Toute la compagnie se retourne vers la naine.

T/p - Ou sont -il ?

Demande t'elle inquiète.

Balin – Ils ne devraient plus tarder T/p et je suis certain qu'ils sont aussi impatients que toi jeune naine !

Il sourit mystérieusement et continue sa route le sourire aux lèvres.

? - T/P ! ON EST LA !

T/p - KILI !

La naine enlace avec force le nain.

Fili – Je suis là aussi !

Dit-il moqueur et arborant un grand sourire.

T/p - Mon cheval préféré.

Elle l'englobe dans ses bras et regarde son visage minutieusement cherchant une infime blessure par un ennemi sûrement mort à lheure quil est.

Kili – Donc Fili est un cheval maintenant ?

Il hausse un sourcil moqueur et rigole devant la mine de son frère.

Fili – Au moins, je suis quelque chose pour elle !

Il prend les épaules de la naine et la colle à lui.

T/p rigole en les regardant se battre gentiment, les deux nains heureux d'avoir entendu le rire de leur amie lui prennent tout les deux une épaules et se dirige vers un cheval encore scellé.

Ils l'aident à monter dessus et Kili se placent juste derrière elle tenant les rênes en mains et fessant un signe de tête remerciant silencieusement son frère pour laider.

Kili donne un coup de talon dans le flanc du cheval qui démarre immédiatement donnant à Kili une excuse pour se rapprocher physiquement de la naine, il lui prend la taille et serre doucement sa prise puis voyant que la naine n'a aucun souci avec ce rapprochement et ne semble pas mal à laise, il pose sa tête sur l'épaule de T/p.

T/p jubilait intérieurement, depuis longtemps elle était tombée pour le nain derrière elle.

Elle s'était déjà imaginée plusieurs fois à ses côtés dans une maison proche de la famille du nain évidemment.

La seule pensée de savoir que Kili venait de se rapprocher d'elle par son propre chef la mettait dans une grande euphorie qui lui donnait des frisons. T/p voulait... non, elle va le faire, elle va déclarer son amour et peu importe si elle le rejette, elle espère juste quil soit heureux.

T/p - Kili, je dois te parler !

Il se redresse immédiatement et fixe T/p avec inquiétude.

Kili – J'ai fait quelque chose de mal ?

T/p secoue sa tête légèrement outrée.

T/p - Quoi, bien sûr que non !

Il détend ses épaules, mais reste droit comme un piquet.

T/p - Jai quelque chose à t'annoncer.

Kili tourne le visage de T/p vers lui.

Kili – Tu es enceinte ?

T/p frotte sa barbe nerveusement.

T/p - Mais laisse-moi parler.

Kili hoche la tête et fixe la naine.

T/p - Je t'aime

Kili se raidit quelque seconde avant de dire.

Kili – Peux-tu répéter ?

T/p - Tu m'a très bien entendu idiot.

La naine le frappe à la jambe.

Le nain rigole alors laissant T/p en incompréhension.

T/p - Attend, tu rigoles alors que je viens de te dire que je t'aime ?

Kili – Non, c'est juste que je voulais t'emmener dans un endroit magnifique pour te faire ma déclaration, mais apparemment, tu m'as gâché mes plans.

Il avait dit cette phrase en se tenant le ventre tant il riait.

T/p - Oh.

Les joues de la naine se réchauffent et elle sourit.

Kili en profite pour reposer sa tête dans le creux de son cou puis il dit.

Kili – Allons y quand même.

Il l'embrasse dans le cou et donne un petit coup dans le flanc de lanimal chevauchant à grande allure.

Kili heureux d'enfin pouvoir profiter de la naine sourie amoureusement, il se dit que son frère avait bien raison et qu'il allait devoir payés le prix en vue du pari sur lequel se déclarerait avant l'autre.

T/p est définitivement la compagne parfaite.