Un inconnu (ou pas)

Preface

Bonjour, moi c'est Kiara Anderson, une personne simple, timide quand je ne connais pas, mais assez contradictoire que ça puisse être j'ai un très fort caractère, et je suis très nerveuse et agressive mais j'y travaille pour éviter au mieux les crises.

La cause de cette agressivité... un traumatisme récent, vous le saurez peut être au fil de l'histoire. Sinon physiquement, je suis assez petite 1,65m, des formes là où il faut, j'ai les cheveux brun et les yeux clair (un trais physique qui en fait tomber plus d'un).

Bref vous ferez plus ample connaissance avec moi au fil de l'histoire.

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Me voilà arriver à Los Angeles, après des heures passées dans l'avion à côté d'un paternel qui dort et quand ce n'est pas le cas, te répète sans cesse à quel point tu ne comptes pas, que tu faillis à la réussite de sa vie, qu'au final tu n'es qu'un boulet...comprenais que le trajet peut-être long.

Les jambes engourdis je m'étire et fait abstraction de tous ses reproches que j'entends tous les jours depuis plus d'un an. Nous nous dirigeons vers le taxi, je met dans le coffre nos valises et m'installe sur le siège, enfile mon casque et écoute de la musique tout en regardant défiler le paysage de Los Angeles. Je n'ai aucune idée de là où nous allons habiter, ayant très peu de conversation avec lui, je ne lui ai poser que très peu de question, je sais juste qu'il m'a inscrite dans une université pour poursuivre mes études de psychologie.

Après 30 minute de route, le taxi nous dépose devant une villa incroyablement belle, mon père est avocat, afin.. l'était nous vivons sur des économies dès a présent.

La villa se situe dans un cartier a 100 m de la cote, des maisons plus belle les unes des autres, forment un joli lotissement remplis de famille riche je suppose.

Nous rentrons, les valises à la main, toujours fasciné par la beauté de cette maison, mon paternel me coupe.

Papa : Ta chambre est en haut, les meubles ont été livrés, douches toi, changes toi, ranges tes affaires, je t'attend pour manger à 20h.

Même pas il n'esquisse un sourire, cette phrase résonne comme des ordres qu'on donne à un soldat, ne voulant pas gâché ce moment je ne dis rien et vais découvrir cette chambre.

L'étage se compose de 3 portes, qui je pense une est le bureaux de mon père, une salle de bain, et la porte de ma chambre. Sans plus attendre je rentre et je lâche ma valise,la beauté et la grandeur de cette chambre me laisse sans voix. Je souris malgré moi, une nouvelle vie commence. Je pose mes affaires sur le lit et je contemple cette beauté, les murs sont peint d'une couleur grise claire seulement un mur est peint d'un noir intense, le grand lit est placé contre ce mur-là. En face du lit ce trouve une porte de placard, j'ouvre et me retrouve devant un énorme dressing, j'ai l'impression d'être dans un rêve, pourtant c'est réel. A coté de cette porte ce trouve une autre porte, j'ouvre et je me trouve maintenant dans une salle de bain, avec un évier une baignoire et un petit meuble de rangement ainsi qu'un grand miroir éclairé. Je sort et je peut enfin me tourner vers une grande baie vitré s'ouvrant sur un petit balcon vu sur le jardin.

Si j'ai une salle de bain, la 3eme porte de l'étage doit être une chambre d'amis.
19h30 j'ai finis tout ce que j'avais à faire alors je descends et découvre le rez de chaussé. A droite de la porte d'entrée se trouve un grand salon avec la télé en face d'un grand canapé, le salon est ouvert avec plusieurs grande fenêtre qui laisse entrée la lumière et vue sur la piscine. A gauche de l'entrée la cuisine ouverte sur le salon, séparant les deux pièces un bar avec de beau lustre accroché au-dessus. A coté de la cuisine une porte qui s'ouvre sur un escalier allant au sous-sol. Ce sous-sol comporte un grand garage avec la voiture de mon père et deux motos, je soupire en les voyant. A coté de ce garage une porte m'intrigue alors je l'ouvre et je reste bouche-bé, je me dit que peut etre mon paternel ne me déteste pas autant finalement... Une petite salle de gym, avec quelques équipement de musculation et des sacs de frappe. Je remonte pour manger avec mon père.

Arrivant à la cuisine, je m'assis sur la chaise haute, je m'accoude sur l'ilot central tout en observant par la baie vitré le beau couché de soleil, étant à la fin de l'été le soleil se couche encore à des heures tardives. Mon paternel s'assois en face de moi et nous commençons à manger nos pates au fromages sans un mot, seuls les bruits de fourchette se font entendre. Je décide de brisé le silence...