Un Gars Et Un Gars

Médecin personnel

Écouteur visé dans les oreilles, un jeune homme réajusté pour la énième depuis cette belle matinée son énorme sac à dos qui reposait sur l'une de ses épaules.  Ce garçon à la chevelure de jais, tourna a gauche d'un carrefour avec une certaine confiance dans le regard.

Ses chaussures bleu, orange, marron, jaune et vertes, provoquaient presque à chaque passants qu'il croisaient des évanouissement instantanés. Pour sûr, ses godasses étaient psychédéliquement moches, mais apparemment cela plaisait grandement à leurs propriétaire qui en était très fière de les posséder.

Pour parfaire cette tenue dès plus colorés, il portait un marcel rose pastel accompagné d'un gilet en laine blanc, d'un bermuda en jean bleu aux motifs délavés et aux extrémités dépassées de la douce fourrure blanche. Quelques colliers en argent, décors ici et là de petites fleurs de cerisier qui pendait à son fin coup. Ses doigts étaient orné de grosses bagues aux couleurs de l'arc-en-ciel.

Reconnaissant une enseigne représentant un ours au pelage semblable à de la neige, il ralentit inconsciemment sa marche et son assurance pourtant présente jusqu'à descendit jusqu'au sol.

Après avoir retirés ces écouteurs et avec quelques pas hésitants, le garçon ce trouva devant une porte en verre d'un immense idefice, et appuya sur un bouton d'accès installer sur la façade. En ouvrant la grande porte d'une main fébrile, il retint son soufle.

Pourquoi moi ? Pourquoi moi ?

Pourquoi moi ! Pourquoi moi !

Cette question tournait en boucle dans sa tête. Pourtant, ils fessait tout bien. Aucun écart ou autre dérapage depuis le début de ÇA.

IL avait peut-être un problème.

IL avait peut-être fait une erreur.

C'était le plus probable, c'était lui le problème. Il en était sûr et certains.

Malgré tout, rien n'était plus meilleur que ÇA. Tout était bon, doux ou fort et parfois très juteux. Justement, c'était même trop bon pour que cela ne leurs attirés pas des soucis.

Ils ne fessait de mal à personne.

Pourtant, il fallait toujours qu'il y est quelques choses dans leurs vie. Pas une journée sans répit. Une fois ceci, une autre fois cela. Entre leurs travails, leurs loisirs et l'entretien de leur nouveau appartement pour trouver un moment rien qu'à eux était difficile durant la semaine.

S'ils avaient aménagés ensemble c'était bien pour leurs facilité leurs vie commune.

Et puis parfois l'envie n'y était pas, ni l'énergie ou simplement qu'ils manquaient encore d'expériences pour faire de nouvelles avancées.

C'est le son d'une petite clochette qui tinta au dessus de sa tête qui le sortis de ses profondes pensées. Ce son, il le connaissait. Il le connaissait très bien, même un peu trop à certains moments. Mais elle n'avait jamais résonné pour lui et par lui.

En entendant ce son, il réalisa que dès maintenant la seule et unique personne pouvait l'aider n'était pas loin.

Une étrange sensation lui tapissé la gorge.

Lui de nature continuellement joyeuse, il n'était pas très familier avec les effets des autres sentiments comme le stress ou l'angoisse. Lorsqu'il avait un "mauvais mood" comme lui disaient ses amies, son enthousiasme si sincère revenait au galop pour le chassé.

Seulement, depuis ce matin une énorme boule était incrustée dans son ventre. Il avait mal. Physiquement, tout allait bien mais cela rester au fond de lui comme coincée et ça, dès lorsqu'il c'était fait cette petite remarque à lui même. Jamais, jamais il aurait dû penser à ça car à présent, qu'importe le résultat il faudra l'accepter.