Cœur D'orient En Occident. |En Pause|

الفصل ٢٣

Coeur d'orient en Occident

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Chapitre 23:
                         Aide.

C'etait avec stupeur et tristesse qu'il avait croise le regard de Shamsou qui, certe le souriait mais était rempli de larme. Il ne s'était pas attendu à ça en arrivant et c'est avec douleur qu'il l'avait revu, fatiguée et triste pour une raison qu'il ignorait.
Il l'emporta dans sa chambre guidé par les consignes d'une servante qui en voyant la scène était certe triste mais étonné et confuse de voir la princesse dans les bras d'un inconnu.
Celui-ci ne faisant pas attention aux regards de ces serviteurs entra dans sa chambre en refermant derrière lui et en la déposant doucement sur le lit tout en capturant ses joues qui étaient remplis de larme avant qu'il ne les essuies.
Lorsque celle-ci eu redresser la tête pour le faire face, c'est avec surprise puis tendresse qu'il accueilli son baiser tout en caressant doucement sa joue qui était à présent empourpré par ses émotions et l'italien en même temps.
Ils se détachèrent doucement l'un contre l'eau avant qu'ils ne s'installe sur le grand tout les deux en étant apaiser.

Alvaro attendu que celle-ci s'endorme pour, doucement ce détacher d'elle et sortir, le souffle cour avant qu'une erreur de sa part ne se produise. Elle était à tomber même triste et le manque qu'elle avait causé n'avait rien arranger.

Il s'en alla à la rencontre d'Ibrahim l'expression froide et en colère et le demanda ce qu'elle avait avant que celui-ci ne le lui explique et qu'il ne le demande de l'aider pour son bien.
Un demande qu'il accepta sans hésitation mais qui le fit réfléchir sur elle.

Le lendemain, L'aube venait de ce levé et éclairait doucement le palais Al-sabah ainsi que Shamsou avec qui, était encore à moitié endormie.

La journée d'hier l'avait retourner du tout autour et avait marqué son esprit en la faisant haïr encore plus le Cheikh qui avait livré son peuple dans le pire état qui soit au point, de la faire perdre le contrôle d'elle même et de s'écrouler en larme devant Alvaro.

Faisant passer une main fatiguée sur les draps où l'italien et elle s'étaient endormis la nuit dernière, elle remarqua très vide la froideur de ceux-ci et se leva d'un bong en remarquant qu'il n'y avait personne.
Son visage se brisa tristement en se disant qu'elle avait dû rêver de la venu du milliardaire et que tout ceci n'était qu'un euphémisme créé de toute pièce par elle-même. Elle resta figée un moment sur le lit en repensant à se doux rêve avant de se lever et de se diriger en direction de sa salle de bain où elle y pris une douche froide.
Aussitôt qu'elle eu terminé et qu'elle y ressortie nettement vêtu d'un vêtement royal mais les cheveux encore mouillé, elle remarqua très vite un grand monteau noir posé sur une chaise et un portefeuille sur celui-ci. Un objet qu'elle reconnu aussitôt. Elle sortit de sa chambre d'un pas rapide en cherchant l'italien vivement avant d'entendre sa voix dans le grand salon.
Elle s'arrêta doucement devant l'entrée qui ne possédait pas de porte et vit l'italien assis sur le grand canapé en soit rouge, discutant avec Ibrahim et analysant plusieurs documents que celui-ci l'avait présenté et expliquer.

-Où en sont-ils?; Demanda t-il à Ibrahim qui regardait d'autre document sans qu'ils n'aient encore remarquer sa présence dans les lieux.

-Ils ont libérer les lieux il y a plusieurs jours, sous les ordres de la princesse. Elle avait ordonné d'évacuer et de préserver les biens de ces derniers afin qu'ils le leur soient rendus et ensuite à fait ordonné la destruction des bâtiments dans les plus mauvais états.
Elle ne souhaitait pas les détruire sans d'abord en demandé l'accord a leur habitant.

-Je vois. C'est une bonne chose! Pour que tout ça aille plus vite, faite ordonné qu'un rapport soit envoyé au géographe pour qu'il analyse les terres.

-il a déjà fait son rapport!; S'écria une voix derrière lui.

À l'entente de cette voix qu'ils connaissaient que trop bien derrière eux, les deux hommes remarquèrent enfin sa présence et se retournèrent pour la faire face avant qu'Ibrahim ne se leva et ne se prosternant en l'incitant à avancé. L'italien de son côté aussi se leva et avança devant elle avant de déposer un doux baisers sur son front qui ne manqua pas de la faire rougir et de faire sourire Ibrahim qui se sentir soudain de trop.

-Ciao Principessa.
"Bonjour princesse."; Suscurra t-il doucement à celle-ci tout en caressant doucement sa tête. Un geste qu'elle accueilli d'un sourire à son égard.

-مرحبا ألفارو.
marhaban 'Alvaro.
-"Bonjour Alvaro".
-Mahaban Ibrahim.; Salua t-elle en se logeant les bras de ce dernier qui l'accueille d'un tendre sourire.

-Mahaban Amira.; Salua t-il en l'incitant à s'assoir.; Nous étions justement entrain de parler de vous Amira. Je montrais l'état des situations à Alvaro. Excusé moi de lui en parler sans votre accord mais son aide nous à vraiment servi.

-ne vous en excusé pas, Je comprends. De toute façon, je le lui en avait déjà fait plus tôt. Vous discutiez du terrain c'est ça?!

-Oui. Ibrahim m'expliquait la situation du côté Est et d'après ce je vois, tu as déjà réglé le plus important et fait du bon travail!; Complimenta t-il à ses côtés.; Il ne reste que très peu de chose et comme je suis déjà au courant de tout, je pourrais t'aider à t'en charger si tu ve-

-توقف عن الحديث قليلا عن العمل!
tawaqaf ean alhadith qalilan ean aleimli!
"Arrêté un peu de parler de travail!"; S'écria une voix qui n'était autre que Kara, la femme d'Ibrahim qui venait à leur rencontre.
Elle était vêtu d'un tablier et afficha un chaleureux sourire lorsqu'ell vit Shamsou et que celle-ci accouru pour l'embrasser joyeusement.
- يا أميرة شمسو! طفلي الجميل!
ya 'amirat shamsu! tifli aljamil!
"oh princesse Shamsou! ma douce enfant!"; Tout en la prenant dans ses bras et en caressant ses jours; Cela fait si longtemps! Vous avez bien grandit ! Vous êtes encore plus belle qu'avant mon enfant.

-Kara! Tu m'as manqué!

-toi aussi habibti!
وهذا الشاب الوسيم الطويل هل هو حبيبك؟
wahadha alshaabu alwasim altawil hal hu habibk?
"Et ce beau et grand jeune homme, c'est ton amoureux?"

-Kara!; S'écria Ibrahim l'air gêné par sa femme qui était d'humeur taquine.

Alvaro lui, regardait la femme avec amusement qui, ne se souciait pas de son mari!

-أوه ، أنا بخير! هم بالغون الآن. كنا اثنين أكثر قلقا منهم في سنهم!
'awh , 'ana bikhayrin! hum balighun alan. kunaa athnayn 'akthar qalaqan minhum fi sinihimu!
"oh ça va! ce sont des adultes à present. Nous deux étions bien plus agitée qu'eux à leur âge !"; D'ailleurs, c'était le bon temps.; Souria t-elle à son mari qui s'approcha d'elle et commença à rire en l'offrant un baisers à la tête.

-Allez allez! Ça suffit! Il faut mangé les enfants, c'est pas bon de travail le ventre vide, alors tous le monde à table! Et pas de mais!

Shamsou suivi Kara dans les cuisines royal en laissant ainsi les deux hommes derrière elles qui s'installèrent à table tout en discutant.

-excusé mon épouse, elle peux être très agité mais elle est d'une banté sans nom avec les gents qu'elle apprécie ou aime.

- Ne vous excusez pas.
Chez nous c'est bien qu'un femme soit aussi joyeuse, elle ajoute de joie dans la vie des gents qui l'entoure. À ce que je vois ça fait longtemps qu'elle se connaissent toute les deux.

-En effet!; Souria t-il; elle se connaissent depuis toute petite et même bien avant sa naissance, avec la mère de Shamsou, la reine Nour Al-sabah. Elles avait la même relation que Shamsou et Alya à un détail près, c'était sa servante et non sa gouvernante.