الفصل ٢٠

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Coeur d'orient en Occident

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Chapitre 20:
                          Cheikh Al-Azim.

Dans l'avion, son cœur se serra mais un beau souvenir demeurait dans son esprit et avait pour grand plan le bel italien américain qui ne cessait de l'a déconcentré dans tout ce qu'elle faisait.

Avant leur départ, celui-ci avait tenu à s'entretenir avec Ibrahim pour lui parler de leur relation, et même si Celui-ci s'en était douté depuis bien longtemps et qu'il avait juste attendus qu'il le lui confirme, cela l'avait laisser pensif et bien qu'il approuva leur choix, il ne pouvait ignorer les conséquences de tout ceci autant sur le plan politique que moral.
Il n'était pas arabe, ni musulman et même si, la diversité culturelle régnait dans le pays, le peuple était encore fragile et n'était pas près à accepter un tel union.
Alya avait aussi dû rester pour leur aidé dans leur travail et pour gérer les affaires à la place de celle-ci.

Depuis son retour au palais elle n'avait cessé d'être occupé et encore plus avec la presse américaine qui avait pris plaisir à publier toute sorte de magazines et articles au sujet du rapprochement observer entre elle et le milliardaire.
Bien que ces articles ne publiait que de bref sujets qui ne prouvait en rien leur relation privé et qu'elle avait préféré demeuré calme en veillant à ne pas encore plus agrandir leurs soupçons, elle avait tout de même dû mettre les choses au clair et dévoiler les liens amicaux entres leur deux familles et donc leurs relations aussi proche que professionnel.

Concernant ses occupations professionnelles, certaines affaires étrangères avaient été achevées et bientôt son contrat avec l'italien serait  lui aussi terminé, leur permettant ainsi de bientôt se reposer pour pouvoir passer plus de temps ensemble. Cependant, la paperasse du couronnement et sa monté au pouvoir officiel restaient l'une de ses préoccupations principales et un grand problème à régler.
En effet, bien que son peuple comprenait et acceptait l'alternative d'une royauté son roi et individuels, elle ne pouvait ignorer les nombreux problèmes qui se présentait à elle dont, son âge trop précoce, les directions militaire ou encore les unions nationale qui pouvait demander une alliance pacifique par le mariage et ça même sans son accord bien que se soit devenue très rare et seulement en cas de besoin politique urgent. Devant d'autre  grande puissance, elle pouvait n'avoir aucun pouvoir et droit de refus.
Concernant son âge, même avec toute ses connaissances intellectuelle et ses expériences pratique, certaine chose demandait un âge précis dont par exemple certaines affaires politiques.
De plus, depuis les attaques du cheikh dans le passé, le royaume s'était gravement affaibli aussi financièrement, que politiquement.

Elle n'avait rencontré le cheikh Al-Azim que très rarement dans sa vie mais savait très bien qu'elle genre de personnage était celui-ci et donc, tout deux se méfiaient de l'un comme de l'autre.

Il avait demandé à la voir dans le désert au nord du palais pour éviter tout coup venant de sa part, et elle, avait fait de même en étant accompagné de tout sa troupe militaire pour la protéger du Cheikh Al-Azim et si cela ne suffisait pas, elle pouvait toujours combattre avec ses propres moyens.
De plus la carrure imposante et l'arme d'Ibrahim aidait à dissoider tout ennemis à attaquer.

Elle était dans l'une de ses tentes royal avec pour compagnie ces soldats, Alya et Ibrahim qui devait assisté à cette entretien et celle-ci devait le rencontré cette après midi.
Bien que l'envie n'était pas présente et ne le serait sans doute jamais, le devoir lui, était bien là et l'obligeait de le faire.

Elle passait plusieurs appels avec ses avocats et plusieurs autres personnes à son service concernant ses affaires mais fut contrainte de raccrocher pour faire face au Cheikh qui avait été annoncée par ses soldats.
Elle sortit de sa tente et monta sa monture avant de chevauché les dunes accompagné de son armée et de ses deux amies.
Lorsque les deux puissances se retrouvèrent en face de l'un comme de l'autre, son visage devint plus sombre mais inexpressif pour ne pas afficher la haine et le mépris qui était logé dans son cœur.
Après tous, le Cheikh avait été un traitre pour toute la nation et principalement pour son père car il y a bien longtemps, il avait été à ses  côté en tant que conseiller fidèle.

D'apparence, il était terriblement beau bien qu'une cicatrice demeurerait sur son oeil mais ceci n'était qu'une belle façade pour cacher le monstre qu'il était. Il lui manquait tout de même un bras ainsi qu'une grande cicatrice qui longeait de son torse jusqu'à son coup.
Il ne l'effrayait pas, bien au contraire elle était fière de ce que son père lui avait fait subir avant de succomber lui-même.

Elle ne descendit pas de son étalon par prudence et continua à le dévisager avant de finalement prendre la parole.

-الشيخ العظيم.

"Cheikh Al-Azim."

-الأميرة الصباح.
يالها من دواعي سروري أن أراك مرة أخرى!
al'amirat alsabahi. yaluha min dawaei sururi 'an 'arak maratan 'ukhraa!
-"Princesse Al-Sabah.
quel plaisir de vous revoir!"

-Malheuresement, le plaisir n'est pas partager.; Répondit-elle froidement et son faillir.

Celui-ci laissa apparaître un sourire des plus malin et amusé par cette princesse au ton froid et tranchant avant de l'a regardé droit dans les yeux comme pour l'a déchiffrer, ce qui ne laissa pas indifférent Ibrahim et fît montée ses nerfs mais se retint de tout mouvement pour ne pas lui sauter à la gorge et mettre fin à ses jours.
Il ne pouvait pas le tuer du moin, pas pour l'instant. La situation n'était pas faite pour ça, venant des deux côtés.

Il descendit de son étalon avons de prendre une enveloppe et de l'a lui tendre par le billet de l'une de ses servantes qui même avec tout les vêtements dont t-elle était couvert, paraissait terrifié, presque traumatiser rien qu'à son regard.
Elle le pris avant de lui offrir un léger geste de compassion en lui caressant le dos de sa main, se qui calma très peu ses tremblement.

-que voulez-vous Cheikh Al-Azim ?!; Dit-elle en prenant le papier qu'il lui avait envoyé.

-la paix Princesse! Une liberté paci-

-Mon peuple est libre!; le coupa t-elle; Que se soit physique ou psychologique.
Durant treize longue année vous avez trahit, torturé, tué et détruit votre peuple! Mon peuple!; Avait-elle dit doucement mais avec une froideur indescriptible; pourquoi après tant d'années? Pourquoi maintenant ?

Il pris une mine coupable et baissa la tête avant de la relevée plus sérieusement.

-Le pardon princesse! Je ne veux plus de cette guerre. J'admets mes tors-

-vos tors?!; Répéta t-elle faussement amusé; oh, si ce n'était que des tors, croyez-moi, nous en serions jamais arriver là.

Il ne réagit pas et elle voyait bien qu'il se retenait de ne pas flancher en perdant petit à petit le contrôle.
Il était intelligent s'était sûr.

-Je vous prierai de ne pas me couper la parole princesse Al-Sabah.; Ordonna t-il doucement; vous êtes bien pareil que votre mère, je vous implore le pardon pour sa mort.

-n'osez même pas parlé ne serait-ce qu'un minimum d'elle! De plus, ne me demander pas ce que vous n' offrez pas vous-même et que je ne peux vous offrir à mon tour. Je n'est aucun ordre à recevoir de votre part et n'espérez rien de ma part ni de celui du peuple non plus.

-je ne l'espérais pas non plus mais j'ai aussi un peuple et une famille et je ne veux pas qu'ils héritent de mes erreurs.; Dit-il Pensivement sans ce détourné de son regard.

Il paraissait sincère mais de la part d'un traite, sa parole demeurait aussi dangereuse qu'une arme à double tranchant.
Elle ne répondit rien et acquiesça juste légèrement d'un air sérieux mais plus calme.
Il reparti en hochant lui aussi de la tête et l'a laissa réfléchir à sa proposition.

Ils retournèrent au palais de leur côté mais Shamsou resta pensive.
Voulait-il vraiment la paix? Où était-ce juste un de ses nombreux mensonge pour mieux la détruire elle et son peuple.
De toute évidence, elle ne le faisait pas confiance et encore moins après l'avoir vue.
Tant qu'elle ne serait pas reine, il y aurait toujours des obstacles et le trône serait encore plus mis en danger.

Arrivée au palais, elle ouvrit la lettre et l'a lue.
S'était un accord de paix qui lui offrait tout les provinces Est qui était sous son emprise ainsi que vingt pourcent de ses troupes militaires.

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