"●Hair●" Ran x OC mâle

•8•

Rindou- YUIIII !!

- QUOI !?

Rindou- POURQUOI YA UN DESSIN DE SANZU DANS TON CARNET !!??

Je souffla, énervé par se réveil soudain et quand le cadet Haitani entre dans la chambre de Ran ou je dormais sur un matela au sol, je ne pus m'empêcher de lui en foutre une qui le fit voltiger.

- ta gueule ton frère il dort.

Rindou- pourquoi t'as dessiné MON Haru !?

- parce que c'est peut être ton anniversaire dans 2 jours et que maintenant je vais devoir te trouver un autre cadeau.

Rindou- ah.

Sanzu- bahaha il est trop con comment je fais pour rester avec lui?

Ran- niveau con il me semble que tu le dépasse Sanzu.

- AAAH !!

Je sursaute en entendant la voix du tressé et fais un bond en arrière. Je me prends le matela dans les pieds et tombe dans l'armoire ouverte ou trois tonnes de pulls me tombe dessus.

Sanzu et Rindou sont totalement mort de rire au point que le rose tombe par terre en se tenant le ventre. Ran accourt pour m'aider mais au lieu de ça, il fait tomber la barre qui tiens ses costume et elle me tombe sur la tête.

Ran- merde Yui pardon !

- habitué avec vous..

Ran- attend viens la.

Il m'attrape par la taille et me tire vers lui. J'arrive à me dégager de la pile de pull mais le contre poids fait que Ran tombe sur le matela. Je me retrouve à califourchon au dessus de lui à remettre ma vie entière en question.

Sanzu- eh oh ya des enfants ici !

Il était en train de cacher les yeux de Rindou qui râlait en prétextant qu'il voulait voir ça. Je devins tout rouge et me recula rapidement en allant me cacher derrière Rindou en pleurant à moitié de gêne.

- pardon pardon pardon pardon pardon..-

Haruchiyo attrape mes épaules et me balance comme un sac à merde sur Ran qui roule sur le côté pour que je puisse atterrir sur le matela sans me faire mal.

Sanzu- mais putain Ran pourquoi tu te décale espèce de cornichon moisi à l'huile de colza !?

Ran- pour faire ça-

Il vient se mettre au dessus de moi, ses genoux de part et d'autre de mes cuisses et ses mains de chaque côtés de ma tête. J'ai littéralement beugué. Mon cerveau ne répondait plus j'étais juste hypnotisé par l'être me dominant dans le moment actuel.

Sanzu- je vais faire une crise de fangirl aaah !

Rindou- fanboy trou du cul.

Sanzu- pareil.

Rindou- laisse moi regarder !

Au moment où Sanzu lâche la tête de son amant pour qu'il puisse regarder, Ran eu la magnifique idée de passer sa main sous mon t-shirt pour frôler mon torses muni de mes cicatrices ce qui me fait reculer immédiatement.

Je le pousse et me lève en remettant correctement mon pull à capuche sur mon corps.

- m..me touche pas-

Il fronce les sourcils et me regarde d'un air interrogateur alors que Sanzu sors un "oh mais nannn". Je cache mes mains tremblantes dans les manches de mon sweat et m'apprête à sortir de la chambre rapidement.

Ran- Yui reste la je suis désolé de t'avoir mis mal à l'aise.

J'attrape mon masque sur la table du salon et l'enfile avant de sortir de l'appartement des frères Haitani en courant à moitié.

Je cours de toute mes forces jusqu'à je ne sais pas trop où. Je peux pas rentrer chez moi j'ai pas mes clés, j'ai pas d'amis à part eux, pas de famille dans le coin. Je sens ma peau me brûler au niveau de mes blessures alors que je sais qu'elles n'ont rien. C'est comme une douleur fantôme.

J'étais dans une ruelle quand je tomba sur le sol boueux, en larmes et les mains tremblantes.
Je peux entendre des rires s'approcher de moi et je me prends violemment un pied dans le torse.

Un groupe d'hommes m'avait entourés et ce qui semblait être le boss s'approchait de moi avec un air menaçant.

Boss- eh je sais pas vous mais j'ai grave envie de me le faire lui !

?- il a pas l'air hyper bien foutu en plus on dirait une meuf.

Attends non non non s'il vous plaît faites pas ça- J'ai plus la force de me débattre donc quand des paires de mains dégueulasses se posent sur mon fessier, mon torse et mon intimité, je ne peux m'empêcher de crier.

Mon pull fut enlevé et mon T-shirt déchiré, laissant à découvert mes répugnantes cicatrices. Ma ceinture était en train de se faire enlever alors que des lèvres crasseuses marqués mon cou.

J'étais à moitié en train d'agoniser de dégoût en sentant ces mains baladeuses salir mon corps, ma peau, mon être..

?- le premier qui bouge je le démarre..
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~Allex~