un rêve [ boten x oc ]

Chapitre 1 : la rencontre.

Je sort de chez moi furieuse. Comment pouvait-elle continuer à être aussi odieuse avec moi après tout le mal qu'elle m'a fait. Ce genre de réponse on n'est les obtiens pas ou alors il faut utiliser des moyen de pression. Même si m'on envie de vérité est accrut je n'ai aucune envie de perdre mon temps pour une salope comme elle. Et pourquoi ? Pour qu'elle me dise que c'est par ce que elle a jamais voulu m'avoir et qu'elle me demande pardon? Hors de question plutôt mourir.

Il est tard et je n'ai pas envie de rentrer.

??: que fait tu la petite ?

Moi: rien...

??: tu devrais rentrer chez toi il ce fait tard .

Moi: pas envie, mais vous en faite pas pour moi je suis grande

??: bon... c'est quoi ton nom ?

Moi: talis haitana

??: jolie prénom

Moi: vous c'est quoi le votre?

Kokonoi: moi c'est kokonoi haijim

Moi: classe.

Koko(diminutif): tu peux m'appeler koko si tu préfères

Moi: ok

Koko: et ducoup tu comptes rentrer chez toi?

Moi: mmh... j'ai pas trop le choix si je ne veux pas me faire taper dessus.

Koko: comment ça?

Moi: ma mère me tape depuis que je suis toute petite mais ne vous inquiétez pas ce n'est rien.

Koko: euhm si tu le dis. Par contre oublies les formules de politesse et tutoie moi s'il te plaît

Moi: c'est ok. Je vais y aller, bonne soirée

Koko: ...

Je tourne le dos à cette homme quand j'entends des bruits de pas s'approcher. J'ai pris peur alors je me mis à courir le plus vite possible sans me retourner.

J'arrive devant chez moi et en regardant l'heure un poids lourd s'installe dans mon estomac. Il est 22h01 et je dois être chez moi à 22h. A ce moment j'ai deux choix possible:
- Rentrer et me faire taper à ne plus pouvoir me relever
- Ou fuir...

La porte s'ouvre brusquement et je vois ma mère. Elle me regarde et je comprends que c'est trop tard.
Je passe la porte quand je sens un coup dans mon dos...
C'est reparti pour un tour
Je tombe et en me retournant elle enchaîne les coups de poing et de pieds jusqu'à ce que je ne puisse plus respirer. Aucun son ne sort de ma bouche pourtant l'envie de hurler ne manque pas. C'est peut être l'habitude qui prend le dessus.

*toc toc*

Ma mère me regarde, soupire et ce dirige vers la porte. En ouvrant un coup de feu retentit et puis c'est le trou noir. Plus aucun son, plus d'odeur, plus rien

( 4h plus tard )

J'ouvre les yeux. Sur le moment je veux me rendormir mais je sais instantanément que je ce n'est pas chez moi. Le lit est grand et confortable alors que je dors plus au sol que dans un lit. Une bonne odeur d nourriture envahis la pièce. J'ouvre grand les yeux et en me mettant assise une douleur atroce travers mon corps. Mon dos, mon ventre, mes bras, mes jambes, ma tête...
Je tente de me lever en vain et je finis par tomber au sol. Des pas s'approche rapidement de la chambre et je commence et paniqué. Je sens que quelqu'un me porte en princesse mais la lumière aveuglante du soleil m'empêche de voir qui est-elle. Je devine que c'est un homme car il n'y a aucune bosse au niveau du torse. Mais yeux commence à s'habituer à la lumière et je vis l'homme qui m'avait parlé le soir dernier. Il me dépose délicatement sur le canapé et repart. Je suis tétanisée, mais bizarrement pas par la peur mais par la douleur. L'homme revient et dépose un plateau sur la table basse, puis il ce mît assis en face de moi dans un beau fauteuil en cuir brun. Une fois installé je relève légèrement la tête puis il me dit: