𝐕𝐚𝐠𝐮𝐞𝐬

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Elle marchait maintenant depuis quelques heures sur ce sable qui lui brûlait les pieds. Elle avait perdu toute notion du temps, tellement le flot de ses pensées était puissant. Aussi puissant que les vagues en face d'elles. Tellement puissant que ses pieds meurtris ne lui criait leur douleurs et continuait leurs routes cordonnées par simple mécanisme.

Ces vagues en face d'elle était libres contrairement à son esprit. Son esprit pris dans un typhon de pensées, dans des vagues tellement fortes à encaissée, assez fortes pour l'affaiblir toujours plus, de seconde en seconde, de minutes en minutes et même d'heures tant le temps passait.

Plus ce temps passait plus elle était fatiguée, fatiguée de ce battre, de combattre ses pensée trop fortes pour sa tête déjà bien remplis, fatiguée de supporter un poids bien trop lourds pour elle.

Elle ne voulait qu'une choses: que tout cela s'arrête. Que tout son esprit se taisent, que ces chuchotement cèdent et ne l'abandonne. Qu'elle puisse toucher du bout des doigts le silence qu'elle as tant rêver, espérer.

Alors elle s'avança au début lentement puis ses pas furent plus rapide et l'amena à la frontière, la limite entre le sable et la mer, la limite entre ce qu'il l'as retient sur terre et sa liberté infini.

Elle ouvrit les yeux pour la première fois de la journée. Et elle observa, elle observa le paysage qui se dessinait devant ses pupilles. Le paysage qui allait l'engloudir et lui garantir la paix qu'elle as tant demandé. Le paysage qu'il l'observait depuis le début, ce paysage qui veille sur elle de loin. Ce paysage qui est devenue bien calme a son arrivée.

Elle vit tout cela, et elle sut. Elle sentis qu'ici tout ses chuchotement prendraient fin, que tout ses problèmes se tairaient, que le torrent dans son crâne s'adoucirait.

Ici face à cette mer ou elle voulu il perdre la vie, elle y trouva son refuge, là où tout ce qu'elle ne supporte pas serait simplement mis en pause, comme un film où l'on souhaite se remettre de ses émotions.

Elle en avait conscience, ce serait éphémère mais ce sont des pauses bien mérité qui quelque temps plus tard l'ont sauvé. Un temps pour souffler fut l'idéal, elle qui n'y croyait plus. Une petite escale ne lui fut pas de refus.

Lou

𝙻𝚘𝚞'𝚜 𝚃𝚑𝚘𝚞𝚐𝚑𝚝𝚜Où les histoires vivent. Découvrez maintenant