𝐋𝐞𝐬 𝐄𝐭𝐨𝐢𝐥𝐞𝐬

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Après quelque minutes de marche j'arrive au lieu tant attendu. Le lieu où je peux enfin souffler, enfin être moi-même et retirer ce masque que je m'efforce de garder intacte en permanence, pour ne pas effrayé, pour ne pas inquiéter.

Le sable sous mes pieds est encore chaud, témoignant de la journée plutôt ensoleillé que nous avons subit, que j'ai subit. En effet habiller tout en noir et en vêtements d'hiver n'as pas aider à supporter ce soleil d'été plutôt précos pour un début de printemps. Ma peau a peine cicatrisé ne supporterais pas le soleil et je ne supporterais pas les regards lourd ou inquiétant des autres.

Alors j'ai subit et je subirais encore longtemps. Juste qu'as ce que c'est écorchures ne soit que de simple traits, de simple coups de crayon qu'un artiste aurai volontairement laissé pour montrer la beauté de son chef-d'œuvre.

Une fois assis confortablement, adossé au rocher le plus proche, le soleil prend congé pour laissé sa place à son âme soeur la lune. Quand on y pense c'est plutôt triste. Jamais les deux on pu réellement discuté entre eux, juste se croisé le temps d'un instant et se promettre monts et merveilles a l'instar de l'aube.

La lune prends de plus en plus de place et laissé sa beauté illuminer un magnifique ciel étoilé. J'arrive à distinguer quelques constellation plutôt simple comme la Petite Ourse ou la Grande Ourse. Les étoiles m'ont toujours fasciné.

Soudain les paroles de ma grand mère me reviennent en tête, elle me disais il fut un temps que les étoiles brillait longtemps même après la mort et que chaque nouvelle étoile était une personne tristement décédé qui prenait place pour veiller sur ses proches et illuminer le temps de quelques nuits le corps d'âme en peine, d'âme errant tristement.

Mon regards descends peu à peu sur le paysage qui s'offre à moi. La mer est plutôt calme, les vagues se font rare. C'est plutôt apaisant.

En temps normal le silence ne me plaît gère. Il me ramène à penser, penser en continu et malheureusement pas à la pluie ou au beau temps. Alors j'ai tendance à le fuir ce silence mais lui me poursuit jusqu'à m'attraper pour des minutes, des heures où il semble s'amuser de me voir meurtris, torturer.

Mais ce silence, ici est apaisant, lui est reposant. Je pourrais presque m'endormir si le sommeil venait. Mais Morphée et moi sommes en conflit, il aime voir ma patience tomber petit à petit et m'accorde sa grâce au petit matin, une ou deux heures avant le début d'une nouvelle journée. Ce dieu n'accorde pas sa grâce à tout le monde, j'ai bien l'impression qu'il m'apprécie plus qu'il ne devrait pour m'observer patienter.

Bizarrement ce soir là mes yeux commence à se fermer petit à petit comme le vent qui de vient de plus en plus fort. De peur d'attraper froid je me réfugie dans la grotte non loin d'ici. Je m'enfonce dans ces ténèbre et m'assoupis le temps de quelques heures, recroquevillé sur moi-même.

Puis ses heures sont devenue des jours, des mois, et des années. Au final Morphée a bien voulu de moi mais j'ai gentillement décline sa jolie offre.

Au lieu de ça j'ai rejoint ses petits points lumineux que j'aimais temps admiré. De loin je pourrais continuer de vous protéger, de vous admirez et de vous encourager, de vous aimer ...

Lou

𝙻𝚘𝚞'𝚜 𝚃𝚑𝚘𝚞𝚐𝚑𝚝𝚜Où les histoires vivent. Découvrez maintenant