Chapitre 3

149 27 5
                                    

Avec la capitaine, nous nous rendons au club des Gypsy Jokers pour parler à la famille et essayer de calmer le jeu. Il ne faut pas être devins pour comprendre que c'est la merde. Les bikers notamment ceux avec le sigle 1% ont certaines ressources. Des ressources similaires et différente des forces de l'ordre. Ils sont forts et puissants. Je suis ... comment dire ... assez impressionner. Non ce n'est pas le bon therme mais je reste encore aujourd'hui curieuse. Curieuse sur leurs fonctionnements, leurs histoires, leurs envies...J'ai lus plusieurs casiers de membres de club de bikers ; certains étaient d'anciens membres des forces spéciales, de la navy... d'autres ont grandis dans ce monde. Leurs histoires sont variés.

Avec ma collègue nous arrivons devant un grand portail. Deux prospect vienne vers nous. Ils nous demandent ce que nous faisons ici. Ils nous observent et nous matent avec un regard qui veut tout dire. Ils sont jeunes mais ils doivent avoir pas mal de préjugés notamment sur les femmes. Comme si des femmes travaillant dans la police avec un grade élevé est anormal. Anormal ? N'importe quoi ! On est aussi doué que les hommes. Aller on respire... On se tait... Je l'ai remettrais à leur place si ils font une remarque déplacée.

Nous leurs montrons nos plaques. Un des prospects prend un talkie-walkie afin de prévenir de notre présence. Le second ouvre le portail et indique à ma collègue où garer la voiture.

En sortant de la voiture, de la voiture je me sens observer. Ce n'est pas agréable. Les bikers sortent tous petits à petits du bâtiment principal. Ils sont mitigés. Ils ne sont pas réticents mais pas non plus heureux de nous voir. Je l'ai comprends. Ma capitaine doit bien connaitre les lieux et les membres puisqu'elle se dirige trois hommes. Ils ont une carrure imposante et ils imposent le respect. Plus je m'approche plus je me rend compte que l'homme du milieu m'est pas inconnu. Et effectivement, il s'agit d'Abraham Johns, mon grand-père. Il est le président du club. A ces côté se trouve e sergent d'arme et le vice-président. Je n'arrive pas à savoir se que je ressent... je suis mitigée. Je n'ai pas écoutée le début de leurs conversations. J'étais un absorbée par mon analyse. Je les suivis. Ils nous amenèrent à un bureau surement celui du président.

« Que pouvons faire pour vous ? » demande le président.

- Nous sommes venue à la pêche aux informations. Répond ma collègue.

- La pêche aux infos ? vraiment ? dis le président.

- Et si vous arrêter de vous faire passer pour plus con que vous êtes ? lui demandais je

- Pardon ?

- Lieutenant ! s'exclame ma supérieur.

- Quoi ?! on va pas tourner autour du pot ? En plus ils savent pertinemment pourquoi nous somme ici. Ils savent qu'ils ne risquent rien car ils sont innocent. Et puis capitaine au cas ou vous ne le savez pas le commandant est le père de l'homme devant vous.

- Comment ça ? demande ma collègue.

- Oups ! Désolé ... je pensais que c'était de notoriété publique.

- .... Qui êtes-vous ? demande le président en me regardant dans les yeux.

- Lieutenant Aurora Wilson, ravie de vous rencontrer. Et vous ? Non parce que je suis arrivée il y a peu.

- Cerbère, président des Gypsy Jokers, mon vice-président eagles et mon sergent d'armes Snake... Vous êtes sûr de ne pas être originaire d'ici ? J'ai l'impression de vous connaître...

- Non j'ai toujours vécu sur Los Angeles... mais revenons en à notre affaire.

- Très bien que souhaitez-vous savoir ?

- Quel étais les déplacement exacte de Ashley ? demande la capitaine.

- Elle a passée la marinée chez elle avec sa famille, l'après midi elle est parti travailler à la bibliothèque publique pour des recherches. Elle est ... enfin était étudiante en première année à la faculté...

- Très bien et ensuite, elle est allée autre part ?

- Nous ne savons pas...

- Comment ça ? demandais-je étonnée.

- Nous avons perdu sa trace. Nous savons pas ce qu'elle a fait après 17 heures. Elle a disparu de nos radars

- Etrange... murmurais-je.

- Vous pourriez nous donner un copies sur les données GPS de ses déplacements ? demande ma supérieur.

- Bien sûr.

Le vice-président sort de la pièce pour aller récupérer une copie des sonnées sur les déplacement de la défunte. Le président est dans ses pensées. Il a l'air fatigué. Comme tous les membres de ce club. Je peut lire dans ses yeux que cela ne s'arrêta pas. Ils n'arrêteront pas. Ils ne peuvent pas. C'était la fille d'un membre. Ils feront tous pour retrouver le meurtrier. Ce sont des bikers alors... et puis même sans sa... c'est logique.

Je regarde la photo d'Ashley. Elle était si jeune. Elle avait la vie devant elle. Son regard était celui d'une femme déterminé, déterminé à trouver des réponses, déterminé à aider les autres. Elle était aimé des siens. C'est triste vraiment. Elle n'a pas mérité ce qui lui est arrivé.

Cerbère m'observe, m'analyse. Il cherche à entrer dans ma tête. Son instinct doit être en action. Il doit lui hurler que je fais partis des siens. Mais je ne peux pas lui dire qui je suis enfin pas encore. C'est beaucoup trop tôt. Je n'ais pas encore toute les informations. Il me faut plus avant de lâcher la bombe. Elle risque d'être dévastatrice.

 « Messieurs, ce qui est arrivé est tragique mais je vous pris de ne plus interférer, d'arrêter vos recherches. Nous nous occupons de mener l'enquête. » Dis ma collègue.

- Hors de questions ! s'exclame le sergent d'arme.

- On ne vous laisse pas le choix.

- Vous ne pourrez pas nous empêcher de chercher. Répond le vice-président en revenant avec les copies des documents.

- Dans ce cas attendez vous à nous voir souvent. Répondis-je rapidement avant ma supérieur.

Sur ça nous quittons le bureau pour rejoindre la voiture. Il est tant de rendre visite au légiste. En sortant du bureau je bouscule un homme. Il me rattrape avant que je ne m'écrase par terre. Je relève la tête tout en m'excusant. Je ne l'avais pas vu. Cet homme est un canon. Il doit avoir vingt-cinq ans au moins. Il n'est pas aussi imposant que la plupart de ces bikers mais cela n'enlève rien à son charme. Il est brun avec des yeux sombre. Des yeux sombre mais étonnamment expressif.  C'est tatouage ressorte, lui donnant des airs d'un dieu grec. J'avais chaud. Pourquoi ? C'est la première fois que je ressens ça. Que m'arrive-t-il ? Je ne veux pas m'éloigner de cet inconnu mais il le faut. Il faut que je parte. 

Gypsy Jokers:  Aurora (en pause )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant