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Nda: contient du contenue mâture alors âmes sensibles à s'abstenir.

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J'enfile mes écouteurs et marche assez rapidement jusque chez Eddie.

Arrivée là bas, je frappe à la porte.

Eddie m'ouvrit.

Eddie: je t'attendais.. Dit-il en souriant et en me tendant la main pour que je grimpe dans son mobil-home ou ça caravane je sais pas trop.

Je tourne sur moi même.

Moi: t'as vu comme c'est magnifique ! Dis-je en parlant de mes vêtements.
Eddie: tu es magnifique T/p T/n. Dit-il en posant ces mains sur ma nuque pour m'embrasser.

Mon souffle s'accélère.

Eddie: je suis content que tu sois là.

Pdv Eddie:

T/p: je suis contente d'être avec toi aussi. Dit-elle entre deux baisers.

Je me sépara quelque instants.

T/p rouvrit les yeux.

T/p: il y'a un problème, Eddie ?
Moi: uh non non loin de là t'inquiète.

Je déplace mes mains en bas de son dos.

Moi: C'est étrange ce qui se passe entre deux corps qui se touchent et s'embrassent. Le plaisirs n'est plus fantasme. Il devient palpable. Un court instant, le monde s'arrête. Vous pensiez avoir mal, la douleur disparaît. Un sacre, une grâce. Et certains s'abandonnent encore au risque d'être seul lors de la redescende après l'ivresse. Comme si les romans d'amours n'avaient pas assez prouvé le pouvoir, incommensurable, du baiser.

Elle fronça les sourcils s'en pour autant s'éloigner de moi, de mon corps.

T/p: est-ce que tu m'aimes Eddie ?
Moi: oui T/p T/n je t'aime. Je presse mes lèvres contre les siennes comme si ça me permettais de rester en vie. Je t'aime énormément, je t'ai attendu toute ma vie et je serais près à en vivre des milliers avec toi, seulement toi, ici ou là bas, je veux juste que tu sois là à mes côtés, pour toujours..

Elle enroula ces bras autours de mon cou.

T/p: je voulais juste te l'entendre dire.
Moi: que je t'aime ?
T/p: que tu m'aimes..

Elle passa sa tête dans mon cou.

Sa respiration chaude frolla la peau de celui-ci.

Moi: et toi tu m'aimes ?

Elle ne répondit pas de suite.

Elle commença à embrasser mon cou et à le mordiller légèrement.

J'inspire, fis une pose avant d'expirer et de bouger mon cou de sorte à ce qu'elle continue.

C'est vraiment pas dérangeant c'est ce qui m'embête.

Moi: c'est dangereux ce que tu fais..
T/p: je sais. Dit-elle en chuchotant à mon oreille.

Je resserre mon emprise et la porte jusqu'à mon lit.

Je la dépose délicatement sur mon lit et me positionnant sur elle.

Je lui fait subir ce qu'elle vient de me faire endurer à l'instant et descends dans son cou.

Je descends à sa poitrine et descends ma main qui celle-ci était dans son cou pour caresser son ventre.

Je passe lentement mes doigts sous son tee-shirt et lui enleve avec son aide.

Nôtres capacités à respirer devient de plus en plus forte tendis que le désir et l'excitation frappe contre les murs s'en exception de se logement.

Pdv T/p:

Il regarde mon corps tout en souriant.

Eddie: t'es magnifique.. Dit-il avec sa respiration saccadée.

Il déboutonne mon jeans avec sa main droite tendis que l'autre est posée derrière ma nuque.

Eddie: t'es sûr?

Je lui fis comprendre en attrapant sa nuque pour l'embrasser comme si cette nécessaire à ma survie.

Tu es mon oxygène Eddie Munson.

Il entre en moi et repositionne sa tête dans mon cou.

Il commence par de léger mouvement mais extrêmement intense qui ont pour effets que mon désir en vers Eddie se fasse entendre de plus en plus.

Eddie: putain.. Chuchota-t-il a mon oreille entre deux grognement.

Je ferme les yeux en entrouvrant la bouche.

Je passe mes mains dans son dos en faisant en sorte qu'il sente mes ongles passer sur toute la largeur de celui-ci.

Je me force à rester concentrée sur un point fixe de sa chambre alors que je sens tout mon corps partir.

La pression de son torse contre ma poitrine fait en sorte que la chaleur de nos deux corps restent emprisonnée.

Il commença à donné des coups de plus en plus vifs, forts et réguliers.

C'est à ce moment là que j'ai sue.

Il gémit dans mon oreille et fit encore quelques va et viens avant de se retirer et de se laisser tomber sur mon corps en extase.

Nos respirations commencent à devenir étrangements régulières alors que nous sentons chaqu'uns notres cœurs battrent intensément dans notre thorax.

La tête d'Eddie affalée sur ma poitrine, je passe mes mains sur ces deux omoplates et il se rapproche de ma tête plus précisément de mes lèvres pour les embrasser.

Moi: ça réponds à ta question ? Dis-je en chuchotant et rigolant timidement.

Il sourie et se faufila à nouveau dans le creux de mon cou.

Il embrasse celui-ci et nous nous endormons.

Nos corps nues coller ensemble sous une couverture assez fines.

Fin.

Dans un monde où les autres ne nous comprennent pas. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant