Esseulée un soir,
Crépuscule rougeoyant,
Dans l'envers du miroir,
D'un enfant se cherchantAprès tes tempêtes et tes orages,
Les tourments de mon être,
Seuls rescapés du naufrage
Éther de mes insomnies rôdant dans l'aîtreJ'aurais voulu t'aimer,
Petit coeur perdu et qui pourtant bat,
Mais tu sais j'ai peur, cela répétera,
À force de tout briserQuand, de mes mémoires, surgissant,
Cette douce étoile, innocente, cette enfant,
Errante, un peu agard,
Dont le regard seul engloutirait le monde
Et l'enfant maintenant brisée, part,
Là où les mondes se séparent,
Car elle seule sait où le soleil succombe