Les Sans Soufles

11 1 3
                                    

Essoufflé, le temps, parfois, suspendu
Seule demeure l'absence,
Dans le miroir de l'âme de ce corps pendu
Et dont l'âme entière, fugueuse, frôlant l'insolence

La contemplation, le vent venu,
De ce corps qui balance,
Une bourrasque, un mouvement saugrenue,
L'humain si infime, la mort si immense

D'un monstre plus vil qu'honnete

Ne reste que l'espérance
Dans le cœur de l'espace, la dissonance

Dans les méandres des âmes perdues Où les histoires vivent. Découvrez maintenant