Loreley,
Loreley,
Contait ta voix qui me chantait,Lyorey,
Lyorey,
Caressait ton murmure qui m'adorait"Tes yeux sont comme l'aube,
Une promesse où je pourrais me perdre",
Tu me le répétait, près du moulin à aube,
Où on vivait l'été, dans l'ombre du grand cèdreDes larmes de joies, et de nos rires les éclats,
Qui filaient vers le ciel,
Dans la rivière, dans les sous-bois vermeils,
Ère de nos coeurs en émois
Cherchant un second soleil,
La liberté en loi,
Ma sorcellerie comme ailles,
Pour vagabonder sur les toits
Et notre alchimie,
Que tu provoquait parfois
Et cette promesse qui comptait tant pour moi,
J'ai achevé cette vieCelle d'être avec toi,
D'être reine et roi,
Ou je prônait fièrement à ton bras,
Ne quittant pas tes yeux, et tes mots tout bas