Recueil d'histoires

Hugo Lloris

Je suis la fille de Didier Deschamps, enfin sa fille adoptive, il m'a adoptée quand j'avais trois ans et aujourd'hui je suis préparatrice physique de l'équipe de France, je suis actuellement en Russie pour la coupe du monde 2018.

Je suis dans ma chambre et je range mes affaires dans mon tiroir quand on toque à ma porte, j'ouvre et je ne suis pas surprise de tomber sur mon petit ami, le beau brun Hugo Lloris, je le laisse rentré et il s'assoit sur mon lit

Hugo : tu fais quoi ?

Moi : je range mes affaires

Je retourne devant mon meuble et à peine quelques secondes plus tard deux bras m'entoure

Hugo : et si tu venais avec moi sur ton lit

Il m'embrasse passionnément et je saute pour passer mes jambes autour de ces hanches, seulement il me cogne contre le meuble et la photo de ma mère biologique et moi tombe par terre, le cadre se brise

Hugo : je suis désolé

Moi : c'est pas grave c'est juste un cadre, mais c'est quoi sa ?

Je prend l'enveloppe qui était derrière la photo, mon prénom est présent dessus, je reconnais l'écriture de ma mère, je l'ouvre les mains tremblante et commence à lire

Ma chère fille, mon trésor, ma t/p,

Si tu lit cette lettre c'est que je ne fais plus partie de ta vie, je suppose que je suis morte ou en prison. Mais en tout cas par cette lettre je veux te dire la vérité sur qui tu est vraiment, sur ta véritable famille.

Il y a maintenant trois ans, je travaillé dans une maternité à Mâcon, je venais de faire ma troisième fausse couche et le docteur m'a dit que je ne pourrais jamais avoir d'enfant, ce jour la une femme venais accouché de jumeaux, toi et un garçon. Je ne sais pas ce qui m'a pris mais quand je t'ai vue pour la première fois, tu étais pour moi la réincarnation d'un des enfants que j'ai perdus, ma petite fille. Je t'ai enlevé à cette famille et je me suis enfuie le plus loin possible avec toi.

Je suis sincèrement désolé de t'avoir séparer de ta famille mais sache que je t'aime plus que tout ma chérie.

Ta véritable famille sont les Griezmann, je suis sûre que tu voudra les rencontrés, dit leurs que je suis désolé d'avoir fais sa.

En espérant que tu me pardonne, je t'aime,

Maman

Alors là je ne sais plus quoi dire

Hugo : ma chérie, ça va ? répond moi s'il te plait

Je lui donne la lettre afin qu'il la lise et quand il relève les yeux vers moi les larmes coulent toutes seules sur mon visage, je tombe par terre et Hugo se précipite vers moi pour me prendre dans ses bras, je pleure pendant un bon moment quand on frappe encore à ma porte, Hugo ce lève pour voir de qui il s'agit, c'est Antoine

Antoine : on va aller jouer au babyfoot vous venez ? hey t/p qu'est-ce qu'il ce passe ?

Hugo : je peu lui montrer la lettre ?

Moi : oui, après tout je pense que sa le concerne aussi

Antoine lit aussi la lettre et quand il a fini, il me regarde

Antoine : alors c'est toi ma jumelle disparue

Moi : apparement

Antoine vient me prendre dans ses bras, c'est bizarre mais maintenant que je sais la vérité, j'ai l'impression qu'une part de moi n'est plus manquante

Hugo : c'est fou sa, il y avait combien de chance que Didier adopte ta soeur ?

Antoine : je sais pas mais je suis vraiment heureux de t'avoir retrouvé

Nous pleurons tous les deux comme des madeleines

Moi : Hugo tu veux bien aller chercher mon père s'il te plaît ? il doit lui aussi connaitre la vérité

Hugo part et je me retrouve seule avec celui qui est mon frère

Antoine : je comprend maintenant pourquoi toi et moi on s'entend aussi bien

Moi : tu est mon frère jumeaux, alors on pense pareil , enfin je suppose, et puis en terme de conneries ont est pas mal tous les deux

Antoine : et encore ta pas vue celle que je prépare pour ton chère et tendre pour sa centièmes sélection en équipe de France

Moi : de quoi tu parle comme genre de blague exactement ?

Antoine : je te parle d'un kilos de farine qui s'accorderont à merveille avec le teint de ton chérie

Moi : je veux en être

Antoine : tant que tu vend pas la mèche sa me va

On se tape dans la main en rigolant, mon père et Hugo rentre dans ma chambre

Didier : ma chérie, Hugo à refuser de me dire pourquoi tu voulais absolument que je vienne te voir

Moi : j'ai trouvé une lettre derrière la photo de celle que je pensais être ma mère biologique

Didier : comment sa pensait ?

Moi : lis la, ce sera plus simple

Il lit lui aussi la lettre et me regarde avec des yeux ronds, ses yeux font des allers-retours entre Antoine et moi

Didier : alors vous êtes jumeaux tous les deux ?!

Moi : apparement

Didier : oh ma chérie

Il me prend dans ses bras et ne sais pas trop quoi dire, à vrais dire c'est une situation tellement improbable que je suis moi même sans mot, j'avais déjà une famille avec les Deschamps et j'ai maintenant une seconde famille, enfin ma vrais famille, les Griezmann.

Malgré que cette femme que je pensais être ma mère m'est kidnappé, je suis partager entre la haine et l'amour, je la comprend mais je la déteste aussi.

Aujourd'hui nous fêtons la centièmes sélection d'Hugo en équipe de France et nous sommes tous autour de la table ou nous prenons les repas, le seau plein de farine se trouve dans nos mains à Antoine et moi, nous nous approchons doucement de lui sans qu'il nous voit et quand il finit son discours nous lui jetons la farine dessus, le pauvre et tout blanc et il est d'abord choqué avant de se tourner vers nous, mort de rire

Hugo : hey les jumeaux, ma vengeance sera terrible

Il m'attrape par dessus son épaule et court vers un endroit que je redoute maintenant, la piscine, il plonge dedans

Moi : Hugo non

Trop tard, nous voila tous les deux trempé

Moi : bravo pour tes cents sélections

Hugo : merci, mais j'aurais préférer un bisou que de la farine

Moi : un bisou d'Antoine ?! même pas de moi

Hugo : très drôle mais toi les tiens sont les meilleurs

Je me rapproche de lui, et ont s'embrasse

Paul : le capi et mini-Deschamps-Griezmann vont faire des bébés dans la piscine

Il part en courant dans le couloir et avec Hugo on explose de rire face à sa réaction, mon père débarque en courant

Didier : pas de bébé, je suis pas près à être grand-père moi

Moi : ne t'inquiète pas papa, les bébés c'est pas pour maintenant, on a le temps

Didier : ouf, bon sortais de la tous les deux

Nous sortons de la piscine et allons passer de nouveaux vêtements.

Cette coupe du monde à étais remplis de surprise mais même si j'ai une nouvelle famille, gagné la coupe du monde à était la plus belle surprise.