Recueil d'OS Harmione

Le jeu d'Harry

Par un bel après-midi d'été, Harry et Hermione se trouvais tout les deux au Terriers ou Ron les avaient inviter à passer les deux dernieres semaines de vacances. Le trio se trouvait dehors en compagnie de Ginny qui discutais avec Hermione tandis que les garçons se lançais le souaffle depuis bientot une heure.
- Vous avez pas envie de faire autre chose ? fit Ginny au bout d'un moment.
- Tu vois bien que je m'entraine, petite soeur, répondit Ron.
- Ca fait une heure que vous vous lancez ce souafle, vous n'en avez pas marre ?
- On en a jamais marre de jouer au Quidditch.
Ginny leva les yeux au ciel ce qui fit rire Hermione.
- Moi j'ai envie de bouger, fit la rousse en se levant.
- Va faire du shopping avec Hermione, lui sugéra Ron.
- On est Dimanche gros malin ! Sinon on ne serais pas la à vous regardez vous lancez la baballe.
Cette fois tout le monde éclatta de rire alors que Ron bloquais le souafle pour le ranger.
- Tu proposes quoi Gin' ? lui demanda Hermione en se levant à son tour.
- Je sais pas moi, tu n'as pas une idée ?
- Pas dans l'immédiat non.
- Moi j'en ai une, fit Harry.
- Super, je sens qu'on va bien ce marrer, railla Ron.
- Ne t'occupes pas des remarques de mon idiot de frères, fit Ginny. C'est quoi ton idée ?
- C'est peut-etre un peu idiot mais j'ai toujours voullu y jouer, vous connaissez Cola-Mailla ?
- Moi je connais juste Colin Crivey, fit Ron en riant.
- Quel humour Ronald, lui rétorqua sa soeur.
- Oh quoi ? Elle etais bonne non ?
- En quoi ca consiste ? fit Ginny à Harry sans tenir compte de Ron.
- Eh bien on bande les yeux de quelqu'uns pendant que les autres tournent autour de lui, expliqua Hermione. Le but du jeux et que celui qui a les yeux bander du attraper un autres joueurs et le reconnaitre en touchant son visage. C'est un jeux moldu.
- Forcément un truc niais comme ca, ca pouvais etre que Moldu, fit Ron.
- Non mais qu'est ce que tu as toi aujourd'hui ? fit sa soeur. Tu es d'un arrogant !
- Drago Malefoy, sort de ce corps ! fit Harry en riant ce qui entraina l'hilaritée générale.
- Je vais chercher un bandeau, fit Ginny apres ce fous rire. Harry, c'est toi qui commence.
- Pourquoi moi ? s'étonna le brun.
- C'est toi qui a proposer ce jeux, lui répondit la rousse en s'éloignant.
Elle revint cinq minutes plus tard avec un foulard noir à la main et se placa derriere Harry.
- Enlève tes lunettes, lui dit-elle.
- Je ne vois rien sans mes lunettes, fit le brun.
- C'est le but du jeux, il me semble . lui dit Ron.
Harry ota ses lunettes et les tendis à Hermione qui les rangea dans la poche de son haut alors que Ginny nouais le bandeaux derrierre sa tete.
- Tu ne vois rien ? lui demanda-t-elle.
- C'est le noir complet.
- Fait le tourner , lui dit Hermione. Ca compliquera un peu les choses.
Ginny s'éxécuta et fit tourner le brun qui avanca à taton dans le jardin, essayant de trouver les autres.
Il avancais les bras tendus, essayant d'attraper les autres au passages. Il avancais depuis seulement 5 minutes, qu'il bloqua Ron et lui tira sur le nez.
- Désolé, fit le brun en riant. Je ne sais pas qui c'est, mentit-il.
Il tournais en rond depuis dix minutes et commencais à désesperer de n'attraper personne. Il avanca encore un peu et frola le bras d'Hermione qui se retrouva bloquée. Harry l'avais reconnue tout de suite, il décida cependant de profiter un peu du jeux.
Il possa ses mains sur ses hanches, la rapprochant de lui et remonta doucement vers ces épaules, étudiant son corps par la meme occasion. Il aventura ses mains vers son visage et éfleura ces lèvres du bout des doigts ce qui fit frissoner la brune.
- Je pense que je sais qui c'est, fit-il en passant une main dans ces cheveux. Je suis déja sur que c'est une des filles, désolée Ron, fit-il en souriant.
- Alors c'est laquelle ? fit le concerné.
- Je ne vois qu'une seule façon d'en etre sure, fit le brun avec un sourire.
Il rapprocha Hermione contre lui et franchis les quelques centimère qui les séparaient l'un de l'autre pour poser ses lèvres sur les siennes, ce qui surpris la brune.
Harry franchis la barriere de ces lèvres pour un baiser qui se fit plus fougeux alors qu'elle répondais instinctivement à ce baiser.
- J'etais sur que c'etait toi, fit-il apres ce baiser avant d'oter son bandeau.
Une fois qu'il l'eut enlever, il remarqua qu'Hermione avait le teint rouge pivoine et que les deux autres étais plier de rire.
- Je crois que tu t'es tromper, fit remarquer la brune avant de s'enfuir vers le terrier.
- Qu'est ce que j'ai fait ? fit Harry sans comprendre.
- Tu savais que c'etais Hermione ? lui demanda Ginny.
- Bien sure que oui.
- Elle a du penser que c'etait moi que tu croyais avoir dans tes bras.
- T'en a bien profiter de ce jeux, fit Ron en riant.
- Je crois que je vais aller lui parler.
Harry se dirigea lui aussi vers le terrier et monta les marches pour se rendre dans la chambre d'Hermione.
- Tu crois que ca va finir comment ? demanda Ron à sa soeur.
- Je vois que deux solutions, soit elle se jette dans ces bras et on les revois pas avant un bon moment. Soit elle comprend qu'il a profiter de ce jeux pour l'embrasser et elle le mets à la porte.
- On va espèrer que ce sera la premiere solution alors.
Harry se trouvais devant la porte de la chambre des filles et apres avoir hésiter un moment, il frappa et attendit une réponse.
- Entre, fit la voix d'Hermione.
Harry poussa la portes et la trouva au fond de la chambre, le regard perdu au loin à regarder par la fenetre qui donnais sur le champ voisin. Il s'approcha doucement d'elle.
- Je suis désolée Ginny, il a du penser que c'etait toi.
- Non, je savais que je t'avais toi en face de moi, fit Harry en l'enlacant.
- Harry, qu'est ce que tu fais la ? lui demanda-t-elle en se dégageant de ces bras.
- C'est toi qui a mes lunettes, fit le brun qui avait perdu son sourire.
- C'est vrai, excuse moi,
Elle sortis ces lunettes de sa poche et les lui rendit.
- Merci, fit le brun. Je prèfères te voir, plutot que deviner l'expression de ton visage.
- Pourquoi tu as fait ca Harry ? lui demanda-t-elle.
- fais quoi ?
- M'embrasser sous le nez de Ginny !?
- J'en avais envie c'est tout, fit le brun.
- Tu savais que c'etait moi ?
- Je l'ai su des que je me suis approcher de toi, j'ai reconnu ton odeur.
- Alors tu as profiter de ce jeux pour m'embrasser ?
- Tu veux une réponse honnette ? Alors c'est oui, je ne savais pas comment faire sinon.
- Tu me décois Harry, fit-elle en s'éloignant de lui.
- Excuse moi d'avoir enfin oser prendre ce risque maintenant au moin je suis fixer.
Un silence pensant s'installa entre eux.
- Je vais aller prendre l'air, fit la brune au bout d'un moment.
Sans attendre une réaction de la part d'Harry, elle quitta la chambre croissant Ginny au passage dans les escaliers. Elle rejoignit Harry dans sa chambre.
- Ca c'est mal passer ? lui demanda-t-elle en entrant.
- On dirais bien...
- Je suis désolée Harry...
- Ca ne fais rien, je suppose qu'elle restera mon amie et qu'il n'y auras jamais plus.
- Tu laisses tomber ?
- Je ne vois plus quoi faire.
- Va la rejoindre et parles lui.
- Pour lui dire quoi ?
- Ce que tu ressents idiot !
- Ca ne servirais à rien...
- Tu peux toujours essayer, tente ta chances.
Ginny avais vu Hermione traverser le jardin pour aller s'asseoir à l'ombre d'un arbre.
- Elle est dehors et elle est seule, alors tu vas me faire le plaisir d'y aller.
Elle pris Harry par le bras et le poussa hors de sa chambre.
- Et je ne veux pas te revoir sans avoir Hermione dans tes bras ! lui dit-elle à travers la porte.
Harry se décida à descendre et à se rendre dehors, il ne voullais pas laisser passer cette chance qui s'etais offerte à lui quelques temps plus tot. Il traversa le jardin et s'approcha de l'endroit ou se trouvais la brune.
- Je peut m'asseoir ? lui demanda-t-il.
- l'herbe est à tout le monde, lui répondit-elle sans le regarder.
- " Quelle froideur", pensa le brun en s'asseyant à coter d'elle.
- Qu'est ce que tu fais la Harry ? lui demanda-t-elle au bout d'un moment.
- Tu croyais vraiment que j'allais renoncer si vite ?
- J'avais oublier que tu etais une vraie tete de mule !
- Excuse moi d'etre tomber amoureux de toi et de ne pas savoir comment te le dire ! répondit-il sans penser à ce qu'il avais dit.
- Quoi ? s'étonna-t-elle.
- Tu veux que je sois honnette ? Oui je savais que c'etait toi et oui j'ai profiter de ce jeux pour t'embrasser. Je ne savais plus comment faire... Tu es tellement mystèrieuse Mione, je ne savais pas comment te le dire...
- Tu es completement fous Harry, on est amis tout les deux.
- On étais amis oui, pour moi ca à changer. Je veux que tu sois plus que ca et je suis sur que ca marcherais nous deux, parce que c'est écris quelques part la haut.
Est ce que c'est un crime de vouloir te rendre heureuse ? De vouloir t'embrasser ? Est ce que c'est un crime de t'aimer ?
Tu sais je ne me suis pas lever ce matin en me dissant que j'allais t'embrasser et te dire ce que je ressent. L'occassion c'est présentée et je l'aie juste saisie.
Maintenant je comprendrais que tu ne veuilles pas de moi et que tu veuilles qu'on restes amis. Au moins maintenant, tu sais ce que je ressent et tu en fait ce que tu veux.
Harry se redressa, attendant une réaction de sa part qui ne viens pas. Il soupira devant son manque de réaction et s'appretais à rejoindre le terrier quand il l'entendit lui parler.
- Je voulais juste...je ne sais pas ce que je voulais, lui dit-elle. J'avais besoin d'entendre ca avant de me décider.
Harry se rapprocha d'elle, la regardant dans les yeux.
- Et qu'est ce que tu as décider ?
- J'ai décider que je ne voulais pas que ce baiser soit le dernier, fit-elle avec un sourire. D'ailleurs, j'aimerais bien en avoir un autre la tout de suite.
Harry ne se le fit pas dire deux fois et se pencha vers elle pour l'embrasser tendrement avant de s'adosser à l'arbre alors qu'il la prennait dans ses bras.
- Je t'aime, lui dit-il à l'oreille.
- Moi aussi je t'aime, lui dit-elle en se laissant aller contre son torse.
- Tu m'en veux toujours ? lui demanda le brun.
- Non je ne t'en veux pas, pas apres tout ce que tu m'as dit. Tu as été honnetes avec moi et je t'en remercie.
- Mais de rien, fit Harry avec un sourire.
- Je suis pas tombée amoureuse de toi pour rien, lui dit-elle en souriant alors qu'il la serrait contre lui pour ne plus jamais sa lâcher