Paris parti 1

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Le lendemain les choses sérieuses commençai enfin mon père avait fini de mettre au point le plan pour sauver ma mère et nous allions commencé à envoyer des missiles à la police.

Missile numéro un : dire la vérité.

Alors que de l'extérieur tous semblait calme enfin comme dans une prise d'otages les écran se brouillèrent et quand tout redevint normal toute l'Espagne put voir la tête de Rio racontant :

Rio : je suis Anibale Cortès j'ai été détenu illégalement par la police pendant six mois dans lequels il mon emmené dans un coin pommé au Magreb là il mon enfermer dans une cellule si étroite que je ne pouvais même pas m'assoire il me laissai me pisser et me chiez dessus et il me laissai croupir comme ça dans ma merde pendant des heure entière un jour il m'ont sorti de ma cellule mon emmené dehors et là il m'ont obligé à creusé ma propre tombe après il m'ont mis dans un cerceuille et m'ont enterré vivant alors que je perdais connaissance persuadé que j'allais mourir c'est seulement à ce moment qu'ils ont daigné me sortir de là.

Puis la caméra se coupa et tout les écrans retrouvèrent leur page de pub.

La police devait réagir au plus vite ce qu'il ferait bien évidemment vu que c'était leur parole contre la nôtre enfin ça c'est ceux qu'ils croyaient.

Un peu plus tard le deuxième Missile fu balancé :

Le professeur à vu quand ce tenait la conférence de presse à a ce moment la avait mis en live sur tout les réseaux sociaux possible l'homme qui avait torturé Rio il se faisait interviewé par Marseille.

Pendant ce temps dans la banque tout allait plutôt bien même si Rio était bouleversé mais Tokyo avait apparemment écouté mon conseil et avait été réconforté Rio.

Moi je devais surveillé les otages quand Benjamin me demanda si il pouvait allé au toilette alors je l'y emmena et dès que la porte fut fermée il m'embrassa, quand nous nous détachons par manque de souffle je lui parla de ce que j'avais sur le cœur :

Moi : écoute on ne peut pas continuer comme ça parce que quand tu saura qui est ma mère tu comprendra que jamais je ne pourrai être avec toi je suis désolé mais entre ma famille et toi je choisi ma famille mais je te laisse une dernière chance de me suivre.

Benjamin : je suis désolé mais je ne peux pas je ne veux pas vivre toute ma vie avec c'est gens qui mon pris comme otages pour certain m'ont traité comme un moin que rien ça m'est impossible.

Moi : alors il faut qu'ont arrête la.

Puis nous ressortons et je le ramena avec les autre puis je pensa à mes parents à l'heure qu'il est le troisième missile devait être envoyé mon père a dut dire la vérité sur ce qui est arrivé à ma mère peut être même que le quatrième aussi est arrivé peut être qu'un responsable des affaires internes était venu chercher ma mère pour l'emmené devant le juge mais rien est moin sure.

Sauf que bien évidemment si tout c'était déroulé sans problème ça aurait été trop simple.

Il y avait eu un problème avec Palerme qui ne voulait plus rien faire alors Tokyo et moi allèrent le voir, il était dans un bureau et ne foutait absolument rien

Tokyo : alors dit moi Palerme que nous vos cette petite crise de nerfs ?

Palerme : je veut récupérer le commandement,

Moi : et pourquoi ça ?

Palerme : parce que a vous deux vous allez tout faire foiré.

C'est alors que Tokyo s'approche et dit :

Tokyo : faisons un pari, si ont réussi à mené le plan à bien nous même tu...

Palerme : non, la coupa t-il, parce que c'est vous qui allait gardé le commandement

Moi : donc ce que tu veux ce n'est pas spécialement que le plan réussisse, c'est avoir le commandement n'est-ce pas ? Mais ta déjà eu ta chance et tu n'a pas été à la hauteur alors maintenant tu vas fermer ta putin de grande gueule et tu nous laisse gérer !!!

J'avoue m'être légèrement emporté après les deux me regardaient avec de grand yeux impressionné ou étonné je ne suis pas sûre mais au moin Palerme n'a plus rien dit et est retourné travaillé.

Alors avec Tokyo ont a été voire Mendoza pour le préparer à ce qu'il devrait dire à la police en préparation de la suite du plan Paris.

Moi : Bon écoute mon chou tu vas devoire nous aidé un peu

Mendoza : ou sinon quoi ?

Tokyo : sinon on te colle une balle dans la tête pauvre connard.

Moi : il va faloire que tu dise exactement se qu'on te dira tu pense que c'est dans tes cordes ?

Mendoza : oui mais je ne vois pas pourquoi j'aiderai des criminels

Moi : mais parce que la police retient illégalement Lisbonne et qu'on va la faire libéré bordel pause toi la question de qui sont les méchant dans toute cette histoire !!

Oui je sais en ce moment je suis un peu sur les nerf mais je stresse pour le plan Paris et pour couronné le tout j'ai dormis cinq heure à tout cassé c'est trois dernier jours.

Mendoza : je le ferais.

Pusi Tokyo et moi sortons de la pièce et elle me dit :

Tokyo : Ankara tu devrais allez te reposé un peu, c'est dernier jours ont été éprouvant pour toi.

Moi : pas vraiment plus que pour toi ou Denver ou Helsinki ou Stockholm ou n'importe qui d'autre de la bande.

Tokyo : oui mais tu a quand même cru perdre ta mère.

Moi : oui mais elle est en vie au finale.

Tokyo : Ankara je suis sérieuse tu commence a craquer

Moi : oui mais si j'ai voulu faire ce braquage c'est certainement pas pour être un poids je veux être utile et vous aider.

Tokyo : très bien c'est comme tu veux.

Moi : ça ira mieux quand Lisbonne sera la promis

Puis je parti à mon poste et l'entendait parler toute seule :

Tokyo : c'est donc ça, c'est ta mère qui te mets dans tout c'est état.

Cela me déstabilisa un peu mais je n'en tenu pas compte et parti aider helsinki pour surveiller les otages encore j'ai l'impression de faire tout le temps ça mais bon pas le choix.

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Et voilà le deuxième chapitre de la journée comme promis. J'ai retrouvé du plaisir à écrire donc je pense que je vais pouvoir être régulière et on va peut être même finir cette fanfic pendant les vacance d'été avec un peu de chance.

A+ pour le prochin chapitre 💜

Ankara la casa de papel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant