L'amour c'est compliqué

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Benjamin : tu peux abandoner ta famille de cœur et on pourra construire une vrai famille les lien seront différent se sera les lien du sang qui nous unirrons et pas du cœur.

Moi : sauf que dans cette famille il y a les lien du cœur et du sang.

Benjamin : qu'est ce que tu veux dire par là ?

Moi : je ne reverrait plus jamais ma sœur si je fais ça, elle va rester avec mes parents qui sont Lisbonne et le professeur.

Benjamin : t'es en train de me dire que t'es la fille du cerveau de ce casse ?!

Moi : non c'est mon oncle le cerveau de ce casse, mon père c'est celui de la banque d'espagne.

Benjamin : et c'est qui Lisbonne?

Moi : tu peu pas le savoir pour l'instant, parce qu'elle est en très mauvaise posture,il va falloir que tu retourne avec les otages maintenant mais s'il te plaît ne dit rien aux autres sur ce qui vient de ce passé ça nous mettrai toi comme moi en danger.

Benjamin : promis

Et alors que je le racompagnai avec les otages Denver arriva :

Denver : il faut libéré Palerme ordre du professeur

Moi : comment ça !? Non.

Denver : t'inquiète pas le professeur a fait en sorte qu'il nous trahisse pas il l'observe tout le temps maintenant et il a plus le commandement c'est toujours toi et Tokyo si c'est ça qui t'intéresse.

Moi : ce qui m'intéresse c'est le plan.

Quand je vis l'heure :

Moi : c'est à toi de surveiller les otages moi je vais à la fonderie. Dis-je le laissant bougbé.

Puis je parti prendre l'ascenseur j'étais seul et c'était les pires moments les moments de solitude parce que je n'avais rien d'autre à penser que ma mère qui se faisait peut être torturé par Alicia car vu ce qu'elle a fait à Rio elle en est capable mais alors que je m'apprêtais à prendre l'ascenseur quelqu'un m'agripa le bras je me retourna et vis Tokyo :

Moi : tu m' a fait peur qu'est ce qu'il y a ?

Tokyo : tu te souviens de la fois où tu a demander à Rio de venir avec toi quand il discutait avec Stockholm ?

Moi : oui et avant toute chose t'inquiète pas je l'ai pas touché si c'est ça qui t'intéresse.

Tokyo : alors qu'est ce que vous avez fait parce qu'il avait l'air très heureux quand il est sorti de ce bureau

Moi : tu sais quoi je vais te raconter toute l'histoire

Alors je commença à lui parler de la chanson avec ma mère puis de comment Rio avait pu lui faire écouté.

Moi :ensuite je lui ai dit merci parce qu'il m'avait vraiment aidé et il m'a dit que ça lui avait fait très plaisir de m'aidé dans ce domaine et d'enfin ce sentir utile parce que depuis le début tout le monde lui rabachai qu'ils étaient venu pour le sauver et il avait l'impression d'être un poids et de servir à rien, si tu veux mon avis tu devrais le faire se sentir utile et lui montrer la Tokyo dont il est tombé amoureux plutôt que de faire la jalouse pour le reconquérir.

Tokyo : t'a sûrement raison, désolé.

Moi : pas grave bon maintenant je dois aller à la fonderie et toi ?

Tokyo : c'est mon repos.

Moi : veinarde. Dit-je en montant dans l'ascenseur.

Une fois en bas je vis Nairobi discuter avec Bogotá mais c'est deux la n'avait pas l'aire préoccuper par leur boulot mais plutôt l'un par l'autre.

Moi : eh ben les deux tourteraux je suis déçu je pensais que ça bossait plus que ça à la fonderie.

Nairobi : pas besoin quand on a tous ces gars qui travaille pour nous.

Matias : ouai mes moi c'est mon repos.

??? : moi aussi. Dit un autre homme que je ne connaissait pas.

Moi : bogotà tu va chercher l'or je m'occupe des fourneau et Nairobi bah tu commande comme d'habitude quoi quand a ceux qui doivent se reposer allez-y !

Nairobi :Ok chef.

Et le reste du travaille se passa dans le calme et la bonne humeur mais quand vint enfin mon tour de repos je me demanda ce que la bande avait fait de Mendoza.

Moi : Bogotà ? Tu sais ce qu'il ont fait à Mendoza?

Bogotà : il l'ont enchaîner dans un bureau et c'est Rio qui le surveille.

Moi : Rio !

Bogotá :ouai mais cette fois il pourra pas s'échapper il est enchaîner comme l'était Palerme et seul.

J'étais donc rassurer et decida d'aller dormir un peu étant donné que je ne ne m'étais casiment pas reposé une seul fois depuis que je n'était plus otage.

Mais bien évidemment ce fut une grosse erreur car je fit un cauchemar dans lequel Alicia torturait ma mère mais bon on va dire que ce n'était qu'un rêve,que ce n'était pas la réalité en vrai je suis sur qu'elle est super bien traitée, enfin comme une prisonnière mais bien traité hein ? Bon j'avoue je dis ça que pour me rassurer mais bon.

Je vis l'heure 17h56 dans exactement quatre minute il faudrait appelé le professeur pour l'appel de control alors je me dirigea vers la bibliothèque et une fois arriver je regarda ma montre  : 17h58 à deux minute près je peux l'appeler.

Moi : ici Ankara comment ça se passe de votre côté, pour nous tout est calme

Professeur : Ankara tu est en avance de deux minute mais de mon côté tout va bien vous en étes à combien avec l'or ?

Ankara : la dernière fois que j'ai été à la fonderie on était à quarante-trois tonne maintenant on devrai être à approximativement cinquante-deux tonne.

Professeur : parfait

Moi : t'as un plan pour sauver maman ?

Professeur : je suis en train d'y réfléchir mais ça avance j'ai déjà les grosse ligne il me reste à règler quelque détails et à acheté un vieux restaurant abandonné.

Moi : je comprend absolument pas mais d'accord je te fais confiance et j'avais une autre question pour la sauver elle va intègré la banque ou aller au déversoir d'orage ?

Professeur : elle va entrer dans la banque

Moi : c'est vrai ?! D'ici combien de temps ?

Professeur : j'en sais absolument rien pour tout te dire mais le plus vite possible, il est or de question qu'elle reste plus longtemps sous la tente.

Moi : merci

Professeur : et pour Palerme comment ça se passe sa réintégration dans le groupe ?

Moi : pour l'instant ça va mais j'aimerais bien savoir ce que tu lui a promis pour qu'il accepte si bien de perdre le commandement.

Professeur : ah ! ah ! surprise

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Salut voici le nouveau chapitre avec un jour de retard dsl mais pour me faire pardonner en plus du chapitre de dimanche j'essaierai de poster aussi vendredi ou samedi et comme vous l'avez peut être remarquez dans ce chapitre je me suis totalement écarté du scénario initial mais c'est parce que ça parlait que de Gandia qui ne s'est pas échappé dans cette histoire.

A+ pour le prochain chapitre💜

Ankara la casa de papel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant