Pdv Lisbonne
Le responsable des affaires internes était venu me chercher il y a quelque heure et nous nous dirigions maintenant vers le tribunal là je savais ce que je devais faire, je devais exécuter le plan Paris pendant que le professeur s'occupait de me faire sortir.
Une fois là-bas je me mis à tout raconter :
Le juge : comment avez vous retrouvé le professeur ?
Moi : et bien après l'avoir attendue pendant un an j'ai découvert qu'il m'avait laissé des coordonnées gps alors je suis allée à Palawan l'endroit indiqué par les coordonnées et c'est là-bas que je l'ai retrouvé, on ne croirait pas mais c'est un grand romantics.
Puis ils me posèrent un tas d'autre question comme : la fréquence de nos changement de domicile, ou les lieux où nous avons été, où s'etaient caché était les autres, qui sont les nouvelle recru aperçu au début du braquage, etc...
Puis viens le moment de leur parler du plan, c'était le moment que je redoutais le plus j'avais peur de trop en dire mais il fallait que je réussissent à doser les information et leurs dirent les plus inutiles.
Il se faisait tard et j'avais vu il y a un bon bout de temps qu'ils avaient décrocher c'est pour ça que je leurs révélé des information un peu plus importante étant à cours d'information inutile.
Au bout d'un moment le juge m'interompie :
Juge : il est une heure du matin nous devrions continuer cette conversation demain vous ne croyez pas ?
Alors on m'emmena en prison ou je passerai la nuit.
Ma cellule avait des grille ce qui fait qu'on pouvait voir les cellules d'à côté, tout le monde me connaissait et je n'avait pas la moindre idée de qui ils étaient mais pour la plus part ils ne m'aimaient pas trop c'est pour ça que j'ai été placé seule dans une cellule et ma voisine de cellule la seule personne qui avait l'aire simpatique dans cette endroit malfamé entama une conversation :
Inconnue : salut tu sais si ils ne t'aiment pas c'est parce que beaucoup sont ici par ta faute
Moi : pas toi ?
Inconnue : non pas moi je suis fan de vous toi et les dalí je m'appelle Flora enchanté?
Moi : enchanté Flora tu peux m'appeller Lisbonne.
Flora : alors vous vous êtes fait prendre ?
Moi : oui mais demain je retourne voire le juge et sa se trouve je ne reviens pas qui sait peut être que le professeur a un plan pour me faire évader
Flora : j'espère pour toi Lisbonne.
Et après cette petite discussion je me suis endormi et le lendemain je suis retourné voire le juge et n'ai rien voulu dire il a trouvé ça bizzare mais m'a laissé partir au bout de vingt minute. J'étais escorté par quatre policier et à ce moment là je vis des gens qui passait par la j'eu alors une pensée pour le prisonniers jusqu'à ce que l'un d'eux disent bonjour et qu'ils me sauvent en neutralisant les flics
Benjamin : bonjour madame Lisbonne.
Moi : bonjour lui répondis-je un peu déboussolé.
Puis nous sortons discrètement et je me changeait dans le coffre d'une voiture, je rejoins ensuite Marseille dans un hélicoptère :
Marseille : Lisbonne content de te revoir
Moi : moi de même Marseille.
Puis nous décollons vers la banque d'espagne pendant que je mets (encore) l'uniforme de la police.
Pdv Ankara
Tout était calme mais le plan Paris continuait alors on a convaincu Mendoza de nous montrer la pièce secrète actuellement nous y somme avec Tokyo, Palerme, Bogotá et Helsinki il appela la police et... Leur cria que c'était un piège mais ce qu'ils ne savait pas c'est que c'est lui qui était piègé car c'est le professeur au bout de la ligne alors après que mon père lui ai fait un discours il coopéra et répondit correctement à la police.
Mantenant il ne nous restai plus qu'à attendre le signal,au bout d'un moment le professeur appella : c'est bon Lisbonne et avec Marseille allez-y.
Alors Helsinki et Bogotá tirèrent au plafond et nous commencions à nous diriger vers le toit pendant que Tokyo répétait à Mendoza ce qu'il devait dire.
Et alors que nous montions les escaliers Manille une autre otage infiltré qui servirait plus tard dans le plans si ça tourne mal avait au cas où dans sa combinaison une radio,elle nous appela
Manille : On a un problème ici.
Moi : il se passe quoi ?
Manille : Arthuro a pris le flingue de Mathias.
Palerme : Ankara vas-y
Moi : pourquoi moi ?
Palerme : parce que t'es la dernière dans les escalier
Bogotá : Ankara fait pas chiez.
Alors je fis mon plus beau doigts et parti aider Mathias, je courais à en perdre aleine et quand j'arrivai enfin dans la bibliothèque où se trouvait les otages je tira une fois en l'aire afin qu'Arthuro se retourne, ce qu'il fit.
Moi : pause ton arme t'a trois seconde, 3...
Puis il pausa directement son arme alors je l'a récupéra et lui tira une balle dans la jambe histoire de l'imobilisé.
Ensuite j'aida Mathias a se relever et lui redonna son flingue, je décida qu'il fallait mieux que je reste avec lui pour éviter d'autre incident et puis après tout je verrai ma mère quoi qu'il arrive.
Et après quelque minutes les portes s'ouvrirent et je vis ma mère alors je ne pus m'empêcher de lui sauter dans les bras.
Elle était enfin la.
Moi : tu m'a manquer.
Maman : toi aussi mais je t'avoue que j'aurais aimé que tu reste otage pour...
Moi : ma sécurité,je sais maman mais fallait que je le fasse, pour Rio.
Maman : et depuis quand est ce que tu n'est plus une otage ?
Moi : un peu avant le moment où nous avons lancé le plan Alcatraz.
Maman : je vois ça m'étonne même pas de toi en y réfléchissant.
Mais j'étais trop heureuse pour continuer la conversation je voulait qu'une chose : serrer ma maman dans les bras ce que je fis d'ailleurs ça faisait très longtemps, trop longtemps.
Moi : j'ai eu tellement peur pour toi.
Quand Nairobi surgis derrière nous et dit :
Nairobi : je te jure on aurai dit qu'elle allait tomber en dépression la gamine.
Maman : c'est vrai ?
Moi : je te croyais morte et tu voudras que je sois heureuse ? Dit-je ironiquement.
Moi : mais Nairobi tu devais pas être à la fonderie ?
Nairobi : j'ai le droit de me reposer comme tout le monde non ?
Ma mère la serra dans les bras alors je tournais la tête vers les otages qui nous regardaient tous,mais mes yeux se posèrent immédiatement sur Benjamin qui avait un regard de reproche.
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Salut voici le nouveau chapitre j'ai bien cru que j'allais pas pouvoir le sortir aujourd'hui parce que j'ai le covid 👍(yes) et que je me sentait vraiment pas bien hier pour écrire mais c'est bon je suis dans les temps sinon j'espère que ce chapitre vous plaît parce que j'attendais de l'écrire depuis longtemps avant même de commencer cette fic j'avais des idées.
A+ pour le prochain chapitre💜
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Ankara la casa de papel
FanfictionJe m'appelle Ankara se n'était pas mon vrai nom avant toute cette histoire. J'ai 19 ans je suis la fille de Lisbonne et j'ai récemment découvert que mon père n'est autre que le professeur vous vous demandez comment c'est possible puisque il ne se co...