Ankara la casa de papel

Désespoir

Il ont tué ma mère cela devait faire au moin une heure que ces mots tournaient dans ma tête et trois quarts d'heure que j'avais vraiment réalisé que je ne la reverrai plus jamais qu'elle était parti dans un autre monde et qu'elle m'avait abandonné ne respectant pas la promesse qu'elle m'avait faites disant qu'on sortirai tous vivant de cette putain de banque d'espagne. Alors je décida de repenser à des moments heureux vécu avec ma mère, la première chose qui me vient fut cette journée à Palawan

Flashback

Aujourd'hui il faisait très beau ça tombe bien car se n' etait pas un jour comme les autre mais mon anniversaire, je me lève et vais contempler la mer, ça fait maintenant huit mois que je vis ici mais je ne m'abbitue toujours pas à cette belle vu j'aimais beaucoup être seule avant et ça n'a pas changé même si je le suis beaucoup moin maintenant que ma mère ne travaille plus. C'est pour ça que j'apprécie autant ces moments, puis Paula arriva

Paula : joyeux anniversaire Sofia !

Car oui vous ne le saviez peut être pas (ou peut être que si je sais plus si je vous l'ai déjà dit) mais je m'appelle Sofia

Moi : merci ma puce, alors bien dormi ?

Paula : oui et en plus j'ai eu le temps de finir ton cadeau tout à l'heure.

Moi : eh, tu sais quoi à cette saison l'eau doit être bonne même à cette heure là

Paula : on peut aller se baignée ?!

Moi : aller va m'être ton mayau de bain et ne réveille pas papa et maman hein ?

Paula : oui t'inquiète pas

Alors nous nous préparons puis descendons dans la mer et jouons un peu mais nos parents sûrement attiré par le bruit qu'on faisait nous on finalement rejoins.

Maman : eh bah vous en faite un boucan

Paula : pardon maman

Puis je ne sais plus comment c'est arriver mais on a décidé de faire une bataille d'eau en équipe, moi et ma mère contre Paula et mon père et au final égalité étant donné que j'ai jeté Paula à l'eau et que mon père a décider de faire de même avec ma mère puis il se sont embrasser passionnément pendant que Paula et moi les regardions sans bruit.

Fin flashback

C'etait le meilleur anniversaire de ma vie par ce que pour la première fois depuis très longtemps ma mère avait vraiment été heureuse mais cela n'arrivera plus jamais je suppose vu qu'elle est morte quand soudain Tokyo arriva et me dit :

Tokyo : Ankara je sais que t'est pas vraiment en état mais c'est ton tour de surveiller les otages, si tu veux je peux demandé à Rio de le faire c'est sa pause

Moi : non, certe ma mère vient de... mourir mais je suis quand même dans ce braquage pour vous aider et pas pour être un poid pour vous, j'y vais

Tokyo : t'est sur que ça va aller ?

Moi : absolument pas mais au moin ça me fera peut être penser à autre chose que ma mère.

Puis je parti surveillée les otages qui me regardèrent mal mais c'est normal après tout la plus part des gens présent ici me faisait confiance et je les ai trahi mais bon de toute façon ce n'est pas eux ma famille et en pensant ça je me mis à déprimer à cause de ma maman mais je décida de le cacher pour que les otages ne voit pas ma faiblesse et me mit à passer entre les rangs d'otages quand j'arriva devant Benjamin

Benjamin : qu'est ce qu' il y a ?

Moi : rien qu'est ce qui te fais dire ça ?

Benjamin : tout à l'heure t'avais l'air à deux doigt de pleurer

Arturo : comme si elle avait quelque chose à pleurer, en attendant c'est nous les otages et pas elle.

Alors je me dirige vers Arturo et commence à lui parler :

Moi : tu n'est personne pour savoir ce que j'ai à pleurer et tu n'en a pas la moindre idée, je me trompe ?

Arturo : en tout cas tu n'est pas une otages

Moi : en tout cas je ne suis pas devenue otages juste par ce que j'avais envie de revivre un moment de gloire.

Benjamin : il t'arrive quoi pourquoi t'es si méchante ?

Moi : je te dirais bien que j'ai fait semblant d'être gentille mais se serai mentir alors je vais te dire la vérité je suis pas d'humeur.

Benjamin : je lâcherai pas l'affaire temps que tu m'auras pas dit ce qui va pas.

Moi : si ou alors c'est Helsinki qui va s'occuper de faire en sorte que tu lâche l'affaire hein ? Dit-je en m'adressant à Helsinki

Celui-ci chargea son arme en signe d'approbation.

Benjamin : ça me fait pas peur

Moi : bon tu veux tout savoir ma mère est morte voilà t'es content ! Dit-je en hurlant, il m'avait vraiment fait craquer.

Mais la pire des ordures se mit aussi à me faire chiez

Gandia : oh, la pauvre petite elle a perdu sa moman.

Alors je me dirige vers Gandia me mets à sa hauteur, pointe mon flingue sous son menton et dit :

Moi : la ferme, sinon je vais te paralyser ton deuxième bras et peut être même te tuer

Gandia : tant est pas capable espèce de salope

Moi : attends il y a certain mot qui me vont pas dans ta phrase on va corrigé ça hein. D'abord j'en suis capable par ce que la personne qui t'a paralyser le premier bras n'est autre que...moi.

Gandia : espèce de sale gitane de mes deux.

Moi : voilà tu vien toi même de corriger la deuxième chose qui me dérange dans ta phrase, tu peux me traiter de tout ce que tu veux mais pas de salope. Je dis ces dernier mots en chuchotant afin que lui seule puisse entendre.

Si il y a bien une chose que je déteste par dessue tout c'est que l'on me traite de salope, ça je ne le supporte pas mais je sais pas pourquoi cette insulte plus qu'une autre.

Mais voilà deux heure plus tard mon tour de garde arrivait à ça fin et j'allais de nouveaux être seule, et repenser à ma mère je me décida donc à appelé mon père après tout il avait vu la femme qu'il aimait mourir alors lui aussi devait être triste ça aurait été bien égoïste de penser que j'étais la seule à ne pas m'en remettre dans l'histoire.

Moi : professeur ici Ankara tu me reçoit. Puis j'eu envi de fondre en larme en m'apercevant que je lui avait dit la même chose avant qu'il m'annonce la mort de ma mère, "je dois me calmer, il ne faut pas que tout me fasse penser à elle." Me suis-je dit

Professeur : je te reçoit, qu'est ce qui se passe

Moi : je voulais savoir si le plan hameline avait fonctionné et si tu allais bien

Professeur : tu me demande si je vais bien, Lisbonne est morte et tu me demande si je vais bien ?!

Moi : si tu veux tout savoir moi je vais très mal parce que ma mère est morte !

Il m'avait tellement énervé en si peut de temps que j'allais raccroché mais il parla avant

Professeur : je suis désolé mais je suis en état de choc et si tu veux tout savoir sa pourrai largement aller mieux

Moi : moi aussi je suis désolé je suis assez irritable depuis. Mais j'ai hâte de te revoir et en attendant fait attention et essaye de t'occuper pour ne pas trop penser à maman, j'ai essayé et sa marche pas trop mal.

Professeur : merci du conseil.

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Salut voilà le nouveau chapitre j'espère qu' il vous plaira. Je voulais vous dire que normalement je vais pas poster demain et aussi si vous pouviez me donné vos avis en commentaire sa m'aiderai beaucoup.

A+ pour le prochain chapitre💜