Murphy imagine

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Yn pov

"yn? Est-ce que c-c-ça te dérange de rester tard ce soir? J-j-j'ai quelques gars à qui je dois casser la n-n-nouvelle... FUCK! ASS!" Doc m'a demandé par-dessus la jurebox qui arrosait l'arrière-plan pendant que je nettoyais un verre pour un client. J'ai soupiré et aussi être sorti d'un excellent travail et revenir à la case départ, chercher un emploi à Boston pendant les pires si... J'étais énervé mais je savais que je ne pouvais rien y faire. Ce soir était comme n'importe quelle nuit bruyante et tapageuse. Quelques nouveaux visages avec d'anciens visages mais je n'ai jamais eu de problème avec la scène bruyante. Au contraire, cela m'a éloigné de l'élimination de McGinty...

Un homme en particulier a attiré mon attention alors que lui et un autre s'asseyaient au bar.
"Oui, jeune fille. Pouvons-nous avoir deux bières s'il vous plaît?"
Demanda le sale blond avec un fort accent irlandais. Je souris et hochai la tête, remplissant deux verres pour eux. "Merci, jeune fille" le brun aux cheveux foncés me sourit gentiment. Son accent était légèrement rougi alors que j'acquiesçais et me retournais pour servir les prochains clients qui étaient assis au bar.
J'ai continué à servir d'autres personnes autour du bar, mais mon attention était davantage tournée vers l'homme aux cheveux brun foncé alors qu'il riait bruyamment et plaisantait avec son frère, des jumeaux selon Doc et quelques autres hommes. Il était extrêmement beau et je ne pouvais pas m'empêcher de le regarder. Il a réussi à me surprendre à le regarder quelques fois mais a juste souri et est revenu à sa conversation.

Une fois que la chose s'est éteinte, il n'y avait plus que les deux frères, dont j'ai appris qu'ils s'appelaient Connor et Murphy, Rocco et 3 autres avec Doc et moi-même sommes partis juste bavarder et passer un bon moment.
"Alors, yn n'est-ce pas?" J'ai entendu dire qu'on me demandait alors que je lavais une table. Je me suis retourné et j'ai vu que c'était le très adorable Murphy, debout là à me regarder nettoyer la table. Je n'arrivais pas à trouver mes mots... alors à la place, j'ai lentement hoché la tête.
"Pas besoin d'être nerveuse, jeune fille. Je ne mords pas"
Il a souri et m'a offert un set au bar. "Envie de discuter?"
"Bien sûr..." Je souris à moitié et nous versai une bière à tous les deux avant de m'asseoir à côté de lui.

Un certain temps a passé et bien que j'aimais Murphy, j'ai vu qu'il était du genre religieux à en juger par son tatouage et son collier sur lesquels j'hésitais.
"Désolé si je suis impoli à ce sujet mais- je sais que je viens de te rencontrer et je pense que tu es vraiment magnifique...tu voudrais peut-être aller à un rendez-vous un jour?" demanda Murphy en se grattant nerveusement le cou. "Hum... je ne pense pas que ce soit une bonne idée, Murphy" dis-je en pointant son long collier autour de son cou.

"Tu n'est pas du genre religieux?" demanda-t-il en inclinant la tête.
"Non. Eh bien, plus maintenant" "Pourquoi ça?" il inclina la tête sur le côté, inerte.
"Euh ben-"
J'ai commencé mais j'ai été interrompu par le claquement des portes d'entrée du bar. J'ai accompagné les mêmes hommes russes qui sont venus plus tôt cette semaine nous annoncer la nouvelle de la chute de McGinty, sauf qu'ils avaient leur «chef» avec eux. J'ai grogné et me suis levé
"Désolé Murphy, veux-tu m'excuser une seconde?" Je n'ai pas attendu sa réponse alors que je me dirigeais vers eux.

"Je m'appelle Ivan Chekov, et vous allez fermer maintenant", a déclaré le «chef» en enlevant ses gants
"Chekov? Eh bien, voici McCoy. Nous trouvons un Spock, nous avons une équipe à l'extérieur" Murphy, je n'avais pas réalisé, se tenait derrière moi, plaisanta, nous faisant tous rire. Le russe n'avait pas l'air de trouver ça drôle puisqu'ils se tenaient juste là avec un regard agacé.
"Ce n'est pas le moment de discuter" les informa-t-il, ils se tournèrent vers Doc et moi.
"Vous deux : restez. Vous autres : partez maintenant" il leur fit signe de s'éloigner mais personne ne bougea.
"Ecoute, connard. Nous avons jusqu'à la fin de la semaine, donc, j'apprécierais si tu acceptais de bien vouloir prendre tes gars avec toi et ramper jusqu'au taudis d'où tu viens. Et je demande gentiment" en le regardant lui. Ivan n'a pas pris cela gentiment car il a attrapé mon bras brutalement.
"Je ne pense pas que tu m'aies entendu, j'ai dit que tout le monde part, maintenant" me cracha-t-il au visage. « "Enlevez-moi vos putains de mains de sur moi!"
"Laisse-la partir" cria Connor et Rocco bondit en avant pour l'aider, seulement pour être projeté au sol.
"ALLER VOUS FAIRE FOUTRE!" a crié Murphy. Les garçons parlaient alors russe et je devais admettre que Murphy avait l'air très sexy en parlant une langue différente... mais ce n'était pas le moment de penser de cette façon.
Les deux hommes ont pris des shots, se sont regardés puis.

Tout l'enfer s'est déchaîné.

Après avoir expulsé le russe et ses petits sbires, avec plusieurs blessures euh «uniques», Murphy et moi étions à nouveau seuls, à discuter. J'ai beaucoup apprécié la compagnie de Murphy et j'étais heureux que les garçons prennent bien soin de ces monstres, mais je savais que ce ne serait pas la dernière fois que nous les verrions...
"Maintenant, de quoi parlions-nous avant que ces connards n'arrivent?" J'ai demandé à Murphy en lui verser un autre verre.
"Tu me disais pourquoi tu détestes l'église?" dit-il en prenant une gorgée de bière.
Connor et les autres riaient bruyamment en plaisantant sur le pauvre Rocco, qui avait un œil noir.
"Je ne déteste pas l'église... c'est juste... eh bien, ce n'était pas toujours le meilleur endroit pour moi quand j'étais plus jeune. Quand j'avais 9 ans, ma prof, Mère Marie, me battait. Me trainer par mes cheveux. M'appelez par des noms. Disais que j'étais une honte parce que mes parents m'avaient fait alors qu'ils n'étaient pas encore mariés. Cela passerait inaperçu à mes parents parce qu'elle me ferait toujours mentir ou même ne pas demander du tout car ils bousculaient la religion dans ma gorge" expliquai-je avec colère, me souvenant à nouveau de tout et regardai les marques de fouet sur mes mains alors que je buvais ma bière. Murphy les remarqua et attrapa mais glissa ses mains dans les miennes, me faisant le regarder dans ses yeux d'un bleu profond.
"Je ne suis pas du genre prédicateur fou, jeune fille. Je ne te forcerais jamais à aller à l'église ou quoi que ce soit. Tout ce avec quoi tu es à l'aise..."
J'ai été choqué par ses propos. Je soupirai et regardai nos mains, serrant les siennes.
"Qu'a tu en tête?" J'ai souri à moitié et le visage de Murphy s'est illuminé comme un sapin de Noël.
"Un rendez-vous. C'est tout ce que je demande"
"Je ne sais pas... j'espérais plus que ça" « "Qu'est-ce que tu veux dire?"
J'ai souri et me suis penché sur le bar, près de son oreille
"Je veux qu'on aille à l'autel de l'église et je veux que tu me prenne"
"Hein?"
"Je veux que tu me prenne sur l'autel de l'église" Je souris en mettant l'accent sur la partie «prends-moi».
Les yeux de Murphy sont devenus de grosses soucoupes
"Tu veux dire-?"
"Oui" ai-je chuchoté de façon séduisante "Amene Connor pour qu'il puisse surveiller au cas où quelqu'un essaierait d'entrer"
La tête de Murphy a tourné dans la direction de Connor.

"CON, VIENS ON Y VA!"

Imagine Norman Reedus traduction Où les histoires vivent. Découvrez maintenant