Cet O.S. se situe dans l'épisode 2 de la saison 3, dans le casino. J'espère qu'il vous plaira.😘😘😘
Alors qu'ils observaient les joueurs du casino, Balthazar eut une idée. Si Hélène ne voulait pas lui dire ce qui se passait de son plein gré, alors il allait lui faire lâcher le morceau contre son gré. Il lui attrapa la main et l'emmena sur le côté, à l'abri des regards. Au début, Hélène ne se laissa pas faire et lutta contre lui puis, lorsqu'il l'eut coincée contre un mur, il lui demanda:
Balthazar: « Pourquoi est-ce que vous êtes beaucoup plus froide envers moi qu'avant? »
Hélène: « Je vois pas de quoi vous parlez mais je vous rappelle qu'on a un meurtre à résoudre. »
Balthazar: « Non non non. Vous allez pas vous en sortir comme ça. Vous allez d'abord m'expliquer ce qui se passe. »
Hélène (en colère): « Mais vous comprenez vraiment rien à rien! Vous vous rendez pas compte que lorsque vous avez disparu, j'étais morte de peur à l'idée qu'il vous soit arrivé quelque chose, que vous comptez pour moi? Mais non! Le docteur Balthazar est bien trop occupé pour se soucier du fait qu'il y a une, deux, dix personnes qui sont terrorisées à l'idée que son nom tombe dans les fichiers en tant que mort. »
À cet instant, le brun se rendit compte du mal qu'il avait fait à ses amis lorsqu'il était parti même si, il considérait Hélène comme plus qu'une amie. Il aimait Hélène, elle était si courageuse, si belle et si tenace. C'était elle qui était venue le chercher en Bretagne dès que son nom était tombé dans les fichiers et il n'avait rien fait pour l'en empêcher. Lorsqu'il avait découvert le cadavre et qu'il avait prévenu la police, il savait qu'elle arriverait très rapidement et au lieu de fuir, il l'avait attendue parce qu'elle lui manquait, parce qu'il l'aimait. Alors il répliqua:
Balthazar: « Je suis désolé, mais j'avais besoin de temps pour penser. Je voulais pas te faire peur...parce que tu compte énormément pour moi, parce que (il hésita) je t'aime. »
Il avança ses lèvres vers celles de la blonde tout en laissant le temps de se dégager si elle ne voulait pas, mais le contraire se produit et se fut elle qui unit leurs lèvres. Le baiser était doux comme une caresse et dura le plus longtemps possible. Au bout d'une vingtaine de secondes, ils se séparèrent et se mirent à sourire en collant leurs fronts.
Balthazar: « Et bien, c'est pas si professionnel que ça capitaine. »
Hélène: « Oui, bon, ben moi aussi j'ai quelque chose à dire. Primo, t'as interdiction de repartir en cas de problème, parce que si t'as un problème, on en a un tous les deux. Segundo, moi aussi je t'aime énormément, plus que j'ai jamais aimé personne. Et tercio, arrête de te moquer de moi et embrasse moi. »
Balthazar: « À vos ordres capitaine ! »
Il l'embrassa et passa ses bras dans le dos de la blonde alors que cette dernière mît ses mains derrière la nuque du brun. Ils ne savaient pas ce qui les attendait ce soir mais ils allaient l'affronter ensemble.