Voilà un nouvel OS. Il trainait depuis un moment sur ma tablette par ce que j'étais persuadée de l'avoir posté. Je viens de me rendre compte que non donc le voilà.
Une fois que Pascal fut parti de sa terrasse, Florence mit quelques secondes à réagir. Elle se précipita pour le rattraper en hurlant:
Florence: « Pascal ! Pascal ! Attendez ! »
Il s'arrêta pour l'attendre et lorsqu'elle arriva à sa hauteur, il lui demanda:
Pascal: « Que se passe-t'il commissaire ? »
Florence (en secouant la tête): « Non ! Vous allez pas faire comme si il ne s'était rien passé ? »
Pascal (en souriant): « Je vois pas de quoi vous parlez. »
Florence: « Alors là non ! Vous allez pas m'embrasser puis faire comme si de rien n'était ! »
Pascal: « Et pourquoi? »
Florence: « Parce que c'est comme si vous m'aviez dit que vous m'aimez! »
Pascal (pour la forcer à lui parler): « Et? »
Florence: « Et j'aimerais bien répondre à votre déclaration. Mais bon, si vous avez oublié, c'est pas grave. Vous saurez jamais ce que j'allais dire. »
Sur ce, elle fit demi-tour pour rentrer chez elle. Le capitaine l'en empêcha en attrapant son poignet pour l'obliger à se retourner.
Florence (en souriant): « Ah ! Vous vous souvenez ! »
Pascal: « Oui bon. Qu'est-ce que vous vouliez me répondre? »
Florence (pour le faire mariner): « Je sais pas, je pense que je vais faire comme vous, je vais avoir des trous de mémoire. »
Pascal: « C'est pas drôle Florence ! »
Florence: « Bon, plus sérieusement, vous voulez un café ? »
Pascal (en riant): « Si ça peut vous aider à retrouver la mémoire, je veux bien. »
Ils allèrent sur la terrasse et elle leur servit un café.
Pascal: « Vous voyez que j'ai pas peur de vous. Donc je pense que je mérite une réponse. »
Florence: « Je pense aussi et puis de toute façon, j'ai besoin de vous le dire. »
Le stress de Pascal monta et il dit:
Pascal: « Alors...Je vous écoute. »
Florence: « Ok, j'ai peur que si on a une relation amoureuse, tout le monde l'apprenne, que ça remonte aux oreilles du procureur et qu'on soit séparés. Mais j'ai aussi compris qu'il y a quelque chose de plus important que les règlements, et c'est l'amour. Alors oui, Pascal Roche, je vous aime. »
Sur ce, elle s'approcha de lui et déposa ses lèvres sur celles du capitaine. Il ne se lâchèrent que lorsqu'ils manquèrent d'air. Puis Pascal dit:
Pascal: « Moi aussi je t'aime, mais s'il te plaît, tutoies moi. »
Florence: « Avec un immense plaisir. »
Pascal: « Et saches que je ferai tout pour qu'on ne soit pas séparés, parce que je t'aime éperdument et que je ne pourrais pas vivre sans toi ni même imaginer ma vie sans ta présence. »
Ils s'embrassèrent et Pascal mît ses mains sur les hanches de Florence pour les rapprocher. Cette dernière passa ses bras autour du cou du capitaine et se promit intérieurement de tout faire pour que leur relation perdure le plus longtemps possible.
