Chapitre 6: Incompréhension et chagrin.

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Salut salut <3

Moi en ce moment qui suis en train de me tourner les pouces pour vous publiez des chapitres parce que j'ai perdu mon téléphone 😭 parfois je me demande comment j'ai fais. Et mes parents qui veulent pas m'en acheter un autre soi disant  "ça m'apprendra". Bref 🥲

Un nouveau (pas si nouveau que ça mdr) personnage entre en scène.

(T/p), vous en l'occurrence, ne vivez pas vos plus beaux moments haha.

Ne vous en faites pas 😌 ça ne saurait tarder les moments de joie mais vous allez encore un peu souffrir 😈

Enfin je crois, si mon inspi change pas entre temps mdr.

Encore une chose, pour ceux qui auraient lu mon autre fanfiction visible sur mon profil d'ailleurs, mes chapitres sont-ils trop courts :/ ? C'est une question que je me pose depuis un moment et comparer aux chapitres de mon autre ff, ceux de celui-ci sont ridiculement court et je me demandais si vous préférez des plus longs ou des plus court ou des moyens ? Genre 2k de mots ?

Sinon bonne lecture ! 🎶

_Domino_-





















J'entends mon téléphone sonner dans ma chambre. Je me lève avec nonchalance de mon tabouret et me dirige vers ma chambre. Je me masse le haut du crâne en grimaçant, j'ai l'impression qu'on me martèle le crâne à coup de massue.

Je ne me souviens pas avoir autant but hier. Si ? En tant normal, je ne bois pas autant. Je ne bois même jamais mais hier j'avais besoin de décompresser, de pouvoir extérioriser d'une quelconque manière. De libérer toute l'amertume et le désarroi que je ressentais. La journée d'hier s'est transformée en une petite fête de retrouvailles improvisé. J'admets que j'ai un p'tit peu trop bu quand-même mais que voulez-vous... Avec la nouvelle que j'ai appris, c'était tout à fait normal d'avoir ce genre de réaction. C'était ça ou pleurer toute la nuit de toute façon.

Je pousse la porte de ma chambre et me dirige vers ma commode avant de prendre mon téléphone en main. Je ne regarde même pas le nom qui s'affiche et décroche directement.

— Allô ?

Je baille grandement avant de placer ma main devant ma bouche. Je suis encore si fatiguée, pourquoi je me suis réveillée si tôt déjà ? Il n'est que 11h...

— Tu n'as pas l'air contente de m'avoir on dirait.

J'écarquille grandement les yeux et regarde le nom qui doit sûrement s'afficher sur mon écran. Moi qui somnolait, je ressens un énorme regain de force m'envahir.

— N'écoute pas ce que tu dis, crois moi... entendre ta voix est la seule chose qui m'a rendu de bonne humeur ces dernières heures.

— Pourquoi ce soudain enthousiasme pour ma personne ? Te connaissant, il a dû t'arriver une bourde.

— Et pas qu'un peu !

Je m'asseois lourdement sur mon lit, qui rebondit sous poids, avant de me coucher de toute ma longueur dessus, téléphone collé à mon oreille.

— Allez raconte tout à ton grand frère. C'est bien pour ça que je t'appelle. Prendre de tes nouvelles.

— Il y a...

Celui que je n'avais pas le droit d'aimer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant