Chapitre 2: On verra.

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Hello everyone ! ^^
Second chapitre de sortie. Pour l'instant tout est encore calme mais ça ne saurait tardé.

Bientôt les embrouilles commenceront 😈

Bonne lecture !

_Domino_-






















Le hasard. Cet cause imprévisible, étrangère à toute intention humaine.

Ce cas fortuit qui me paraît irréel tellement les chances qu'on se retrouve ICI soient proches du zéro absolu.

Elle referme la porte derrière elle, je constate qu'elle n'a pas encore levé la tête car si c'était le cas, elle se serait stoppée dans sa manière d'épousseter son tailleur. Sa tenue (très) formel est constitué d'une jupe droite blanche qui s'arrête juste en dessus des genoux accordé d'une chemise par dessus une veste, tout deux de la même couleur blanche. La blancheur de son habillement est néamoins brisée par la couleur bleu céleste de son nœud papillon accroché autour du col de sa chemise, des deux boutons de sa veste fermés contre son ventre et ceux des boutons des manchettes de sa veste.

Je dois admettre que ce style lui donne un air stricte. Tout le contraire de sa personnalité.

Je n'esquisse aucun mot, préférant de loin attendre qu'elle se rende compte pas elle même avec qui elle censée faire cet entretien d'embauche. Ce qui finit par arriver quand elle releve sa tête vers moi.

En vérité, cette journée est définitivement un singulier hasard !

Je ne pourrais décrire avec exactitude la surprise qui se maquille progressivement sur son visage. Un mélange de stupeur et d'incompréhension, et si je vois bien, un grin de bonheur.

— C'est incroyable ! C'est bien toi (t/p) ? Oh mon Dieu, je n'en crois pas mes yeux !

Un énorme sourire vient orner son visage et par la même occasion le mien. Je ne peux réprimer le sentiment de joie qui s'empare de moi que je me lève de mon siège pour la prendre dans mes bras.

— Oui Ruri ! C'est moi (t/p), la bestie de ta sœur ! Je suis tellement heureuse que tu ne m'aies pas oublier, m'exclamé d'excitation en la serrant dans mes bras.

Elle répond tout aussi enthousiaste que moi à mon étreinte et passe ses mains dans mon dos.

— Comment pourrais-je t'oublier !? Avec Kohaku vous faisiez les quatres cents coups à m'en faire perdre la tête. Combien de fois ai-je dû vous réprimander pour ça ?

Un rire cristallin s'échappe de ma bouche. Je ne peux m'empêcher de rire de bonheur en pensant à toutes ses années riche en gaieté et de bonne humeur.

Elle s'écarte délicatement de moi en souriant à pleine dents. Je me perds dans le bleu turquoise de ces yeux et sa chevelure blonde, j'ai l'impression d'avoir Kohaku en fasse de moi. Leur ressemblance m'avait toujours frappé et c'est encore le cas à ce jour.

Elle lève sa main pour me caresser le haut du crâne. Son geste est réconfortant et quand je pense à toutes ses années passées loin d'eux, je me sens soudainement triste.

— Pourquoi tu ne nous aies pas prévenu de ton retour ? Si on se souvient de la manière dont tu es partie, ça aurait été la moindre des choses. T'imagines même pas la réaction de Kohaku quand tu es partie.

Son ton est presque sur la réprimande, et ses sourcils haussés me prouvent à qu'elle point j'ai merdé. Quand elle descend sa main sur ma joue, je ne peux m'empêcher de la toucher avec la mienne. J'avais oublier à quel point Ruri était conciliante et attentionnée avec son entourage. J'ai toujours pris Ruri comme une grande-sœur alors ce geste qu'elle avec moi me réconfortante comme ses paroles me montrent à quel point je l'aie blessé elle avec les autres.

Celui que je n'avais pas le droit d'aimer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant