Choice of life

Chapitre 3

En ressortant du cabinet de ma patronne, je ne pus m'empêcher de verser un torrent de larmes. Je travaillais pour cette femme depuis bientôt trois ans mais je ne l'ai jamais vu aussi douce, aimable et remplis de bonté. Je croyais que son caractère était transmis de génération en génération mais je me suis trompé en disant que c'était naturel. Elle avait perdue un être cher et c'est forcément sa qui la tourmente.

Je viens de voir que mon collègue, Tobias, qui m'attendait. Quelqu'un lui à dit. C'est fort probable rien qu'a regarder comment il vient vers moi l'air inquiet.

-Hé, Alice ! dit-il en s'approchant de moi, les bras ouvert. Il resta quelque secondes de plus devant moi et me pris dans ses bras voyant que je n'allait pas bien. Qu'es que sa fait du bien de l'avoir dans mes bras...

Toujours en sanglotant, je lui réponds : 

-Oui, oui ça va.. t'inquiète pas je suis juste un peu ému de se qu'a dit Cécilia.

-Tu veux en parler ? me répond t-il en prenant un air calme et apaisant.

-Oui bien sûr, mais sa t'ennuierais d'avoir cette conversation dans mon bureau ?

Il me répondit d'un sourire en se dirigeant vers mon bureau.

***

En arrivant dans mon bureau, ont prient placent sur deux chaises de couleur jaune avec sur le dossier le logo du bureau. Ces chaises sont vraiment ringardes à croire qu'on est dans une garderie. J'ai parler de changer ses vielles choses mais non ils ont dit que c'est pas leur priorité. Bref revenons sur le sujet du jour :

-Bien comme tu le sais, je suis allez voir "la vipère", qui n'est peut être pas une vipère.

Je m'arrêta rien qu'en regardant l'expression de son visage lorsque que j'ai dit qu'elle n'était sans doute pas un monstre. Son regard avait l'air de dire "tu m'a perdu la" ou alors "tu t'es drogué ?" ou bien encore "cette femme ta retourné la cervelle ". Je continue :

-Je suis allez la voir et je lui est demander de m'accorder trois semaines de vacances. Au début elle à soufflé et Cécilia n'avait pas l'air convaincu de mes propos alors je lui est expliquer que je souhaitait allez voir ma famille cette été et alors tu devineras jamais.

-Quoi ? dit-il en prenant un air sérieux.

Après grande réflexion je crache le morceau (comme le dirait Cécilia) :

-Elle m'a dit qu'elle me comprenait que je veuille revoir ma famille et elle m'accorde une semaine de plus ! Tu te rends compte ?

-Waouh ! Elle a bien changer. Mais pourquoi elle fait sa pour toi ?

-Cécilia a perdu un être cher et elle veut que j'aille les voir avant qu'il ne soit trop tard comme pour elle et sa ma fait penser...

Je pouvait pas m'empêcher de verser quelque larmes.

-Hé je suis la me dit-il en prenant ma main se qui me fait sursautée. Parle moi s'il te plaît.

Cette phrase à été dites d'une telle sensualité que je m'en mordit la lèvre supérieure.

-Ma cousine, May à chopé une tumeur de la poitrine et je me sens terriblement affreuse de ne pas allez la voir. Je pouvais pas abandonner mon travail et donc je lui programmais des rendez vous avec les meilleur médecins en chimio, je lui envoyais des médicament qu'ils n'ont pas là bas mais je me rends compte que c'était pas suffisant...je suis tellement égoiste...

-Non dit pas sa. Ta voulut faire le mieux pour gérer ta vie dans les meilleurs conditions pour elle que pour toi. Se n'est pas égoiste. Tu est une merveilleuse cousine.

Je pris un mouchoir pour me moucher et essuyer mes larmes. Je sentait mon coeur s'enflammer à chaque paroles qu'il me dit.  C'est lui le meilleur...

-Ne pas vouloir une vie en rose pour se sentir près face à la réalité hein ? dis-je en pleurant et en soufflant pour essayer de me calmer.

-Ok viens la.

Il se leva et me pris dans les bras. Je suis un peu plus petite donc je réussit à poser ma tête sur son torse. Mais tout d'un coup il se mit à reculer, doucement... vers le bureau. Comme un enfant bercer dans c'est bras je suis la cadence de ses mouvements... Quand mon postérieur toucha délicatement le bureau, nos respirations était saccadés mais avant de faire un seule autre mouvement, la porte s'ouvrit et on s'écarta d'une traite.

Une voix féminine m'interpella en disant:

-Mademoiselle Netalia, Madame Anderson ma transmit de vous donner une liste d'assurance pour faire de la publicité aux clients. Monsieur Solano je ne sais pas se que vous faites ici mais retournez à votre poste. Il n'est pas l'heure de la pause.

- Oui, je mis mets de se pas, répondit-il complètement sonné.

Après s´avoir échangé un dernier regard  elle et Tobias quittèrent ma demeure et je restais la planter devant la porte entrain de réaliser se qui vient de se passer. Est-ce qu'on va se reparler ? Et niveau professionnel, quelque chose va changer ? Va t'il me mettre à la porte ? Parler au collègue de sa ? Ok je délire on a rien fait de mal...

Bon je dois m'occuper de cette liste  car c'est mon jour de congé demain donc pas de soucis à se faire. 

Et voila pour le 3ème chapitre !! Si sa vous plaît laisser moi un commentaire je serais ravis de vous répondre !