Choice of life

Chapitre 12

C'est avec les joues rouges, le front baigné de sueur après ce marathon extrême, que m'accueillent, tant bien que mal,Amina et Morgana. Mais qui sont ces jeunes femmes ? Leurs splendeurs m'épatent. J'observe qu'Amina à garder ces magnifiques boucles et ces longs cheveux épais. Un poil plus petite que moi, je la contemple, totalement transformée. Long bras, longues jambes, le coup d'une girafe et une taille correcte, malgré tout. La pauvre Morgana, de haut de ses un mètre cinquante-sept, obligée de lever les yeux pour nous parler, à moi et à Amina. Un peu plus ronde qu'elle, Morgana est beaucoup plus souriante et ouverte que sa cousine.

Contrairement, à nous, les familles naissance du côté Netalia, nous avons les cheveux épais et bouclés. Alors que, Morgana, elle ressemble à Raiponce. Elle a tressé ces cheveux jusqu'à la limite de son dos. Ces cheveux brillent à la lueur du soleil, lisse et doux. Ils sont parfaits. Elle pourrait attirer une foule de d'hommes se jeté à ses pieds.

- T'es toute rouge, ma pauvre fallait pas courir ! me dirent-t-elles-en courant pour me prendre dans leurs bras. Pourquoi ta été aussi longue ?

Bon, j'allais pas leur raconter, qu'un gars s'est pointé chez Rodica et que je suis tombée nez à nez avec ce Thomas...enfin de compte je vais leur racontées. Elles ont atteint leur majorité donc normalement, todos es perfecto. Oui je parle un peu Espagnol. J'en ai fait au collège, l'une des meilleurs de classes. Bref revenons à notre sujet.
Je ne sais pas pourquoi mais je pense qu'à Thomas depuis que je l'ai vu. Il y a quelque chose chez lui qui m'attire, une puissance plus forte qu'un aimant. Il me semble différent des autres, son caractère, tantôt remplis d'une bonté inestimable, tantôt ce côté mystérieux et rusé...Je ne sais pas. Il est fascinant.

Oh mon Dieu, reprends-toi Alice, tu es avec Tobias. Punaise, Tobias. Je n'ai pas regardé mon téléphone de la journée. Bon je lui écrirais ce soir, là je suis avec mes cousines et rien ne pourra gâcher mon bonheur.

Tout d'abord, on passe chez Amina. Je salue toute la famille, mon oncle et ma tante, comme vous le savez si bien, Darius et Léana. Ma grand-mère était passé chez eux donc je la salue rapidement et monte à l'étage. Rien de flagrant, mise à part la chambre d'Amina. Il n'y avait plus l'horrible papier peint sur le mur de droit, qui faisait mal aux yeux et le lit avait changé de place. Le reste, identique. La chambre de Marius est le portrait craché de sa personnalité. Papier peint avec des joueurs de foot, bureau blanc recouvert de cahiers et de manuels scientifiques... Il travaille encore, l'université de médecine est extrêmement longue et décourageante mais je suis sur qu'il tiendra le coup. On est cousins, même sang, même détermination, même courage et même force pour affronter les moments difficiles. Une devise parfaite entre frères de sang.

Après plusieurs coups d'il dans la chambre de leurs parents et les salles de bains, on redescendit pour aller saluer la famille de Morgana. A moins de quatre cents mètres, les souvenirs de la dernières nuit de chagrin me traversa l'esprit. Il faisait noir, sombre et silencieux. On entendait que les brefs sanglots d'une pauvre gamine de quatorze ans à deux heures et demie du matin. Les bras croisés sur ma poitrine, je pleurais toutes les larmes de mon corps avec l'image de la maison de Morgana et elle- même ainsi que tous les autres cousins. C'était insupportable. Je manquais d'air, les souvenirs étaient de plus en plus intenses et la douleur me serrait abondamment le cur déchiré en petits morceaux qui à se moments là ne pouvaient être réparés. Mes sanglots se brisaient eux-même sur le chemin du retour. Les questions que j'aurais dû me poser sont pourquoi vivre de cette douleur, de continué à se battre pour une chose tellement lointaine ? Mon rêve était que le rêve que j'étais en train de vivre ne se termine jamais. Mais comme la dite un jour, un ancien ami, "toute bonne choses ont une fin". Mais après il la terminait avec "mais la fin n'est pas encore arrivé" donc peut-être que mon rêve aller revenir ? Aujourd'hui j'ai la preuve que tout est possible. Alors les amis, croyez en vos rêves car un jour vous aurez la chance de pouvoir profiter de ce qui vous paressait impossible. Que ce soit dans votre carrière professionnelle, dans votre vie personnel, collective, familial... Ne lâcher pas la force et la détermination qui vous à pousser à être la personne que vous êtes devenu, alors mes chers lecteurs en un mot, rêvé. Car le rêve c'est la vie. Sans le rêve, nous ne serions rien.

- Alice, ma chérie ! s'exclama Gaétana, ma tante. Seigneur, que tu es grande ! Une femme comme toi il n'y en a pas deux !

Sur ces mots, elle me prit dans ses bras. Elle avait bien changé. Les rides commençaient à se faufiler sur son visage ce qui la rend plus direct et ferme dans l'expression de son visage. Son sourire s'accompagnait de deux joues rondes et douces qui scrutait légèrement la forme de son visage.

Derrière elle, se dressait une plus grande piscine que dans mes souvenirs, si je ne me trompe pas. Le trampoline d'autrefois avait disparu et une table avait apparu avec un banc. Le coin avec le barbecue était bien présent avec les tables sur le milieu, ou je me rappelle, on a fait la fête du baptême de ma sur. Quel moment de joie et aussi d'adieu s'était... Je n'oublierais jamais.

Pourquoi sa m'étonne de voir mon oncle, dans la piscine en écoutant des musiques traditionnelles et se dandiner comme une sardine ? Cela peut vous paraître ridicule mais vous devriez voir sa, dommage vous ne faites que lire. En soupirant et en riant, ma tante m'accompagna vers l'intérieur en disant à son mari de la fermer. Le salon, grand et d'une beauté incomparable. Canapé en velours, grande télévision, bibliothèque en marbre et la clime... C'est parfait par une journée chaude brulante d'été. Je monte les escaliers en compagnie de Morgana et elle prononça les mots suivant :

- Jane the Virgin ? dit-elle d'un ton coquin.

Ont se regardent toute les trois et on sautent sur son ordinateur, chercha un site de streaming et lança cette série qu'on raffolait quand on étaient gamines. Voilà la vraie vie. La détente familial.