Chapitre 7

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Le moment qu'on redoutaient tous, les aurevoirs. J'ai de la chance car je dois dire aurevoir seulement à Tobias...mais c'est si douloureux de le laisser. J'ai juste envie de lui dire viens avec nous. Mais on était pas ensemble quand j'ai réservé les billets sinon il serait venue. Avant qu'on se dirigent vers l'embarquement, je courut et sauta dans ses bras pour l'embrasser une dernière fois et il murmura ces paroles :

- Je t'aime, Alice.

- Je t'aime, Tobias lui répondit en pleurant.

Il attrapa mon visage pour coller nos fronts et pleurer ensemble. Avec la voix qui disait que l'avion allait bientôt décollé, je recula et tourna le dos et essaya de ne pas pleurer en le voyant à son tour tourner le dos et partir de l'aéroport. Mais je fondit en larmes, tellement je ne sentait plus sa présence. Ma mère me réconfortait d'arrache pieds et me disait que je le reverrais mais moi, je ne sais pas pourquoi, j'avais l'impression qu'on venait de se dire adieu...

Après la vérification de l'ensemble de nos bagages, on était dans l'avion. Tout était très calme. Pas l'ombre d'un chuchotement. Je fais signe à mes parents de venir s'assoir, la ou j'ai trouvé des places et leurs dit que j'aimerais bien être seule pour réfléchir. Ils acquiescèrent tous et ont pris placent.

Je ne crois pas avoir eu l'occasion de vous présentez ma famille, non ? Bon alors on commence avec ma mère, Nathalie Netalia. A l'âge de quarante neuf ans, c'est une femme gracieuse, ronde et très sûr d'elle dans tout ce qu'elle entreprend mais à peur de tout, infirmière dans l'hôpital de Jossigny depuis plus de quinze ans. Mon père, Estéban Netalia est au contraire de ma mère, amusant, et très courageux. Il adore le ski, la pêche, les balades en vélo, la nage... tout sa à l'âge de cinquante deux ans et non seulement il est aussi chauffeur depuis plus de vingt ans. Bref en résumé, mes deux plus grandes fierté.

Et puis nous avons mes trois frères et soeurs. Melvin âgé de dix-neuf ans, en faculté pour développeur de jeux vidéos, Emeline âgé de douze ans entre en classe de sixième au collège et Melissa âgé de six ans entre en CP. Une très grandes familles.

- Mesdames, monsieur, je vous prie de bien vouloir attachez vos ceintures car nous traversons une zone de turbulences. Nous arrivons à destination dans une heure vingt dit l'hôtesse de l'air.

Puis elle continua à répéter cette phrase dans plusieurs langue notamment, l'anglais, l'allemand et bien entendu le roumain. Sa m'avait vraiment manqué, entendre quelqu'un parler roumain. C'est vraiment une magnifique langue. Elle me réchauffe le coeur rien qu'en entendants quelque mots. Vu qu'il restait plus d'une heure de vol je décida de faire une petite sieste...

***

Trente minutes plus tard

En me réveillant, l'avion faisait quelque courbes se qui signifie que la zone de turbulences est toujours présentes. D'après mes calculs, on arrive dans 49 min. Je décida de sortir mon téléphone pour regarder des photos de Tobias et moi. C'est bizzare je sentit de la tristesse en moi en voyant c'est photos mais je n'avait pas envie de pleurer. Je rigolais en voyant nos selfies,mais tous sa mélangé à de la tristesse. Comme si, je n'avait plus de larmes en stock.

Pour finir ce voyage en beauté, je mis ma playlist de musique Roumaine sur Spotify. Notamment la musique " Acasa " du compositeur " Smiley ". Elle me rappelle tout les bons moments passer avec ma famille. Les années précédentes, je pleurais en écoutant cette musique, mais aujourd'hui, je suis sur un petit nuage. Mais soudain, quand je regarda à travers la fenêtre, je voyais la Roumanie pour la première fois depuis quatre ans. C'est comme si je retrouvais une partie de moi même. Comme si je l'avait laisser ici et qu'elle m'attendait pour que je revienne. Je me sens moi même ici, c'est incroyable comme sensation. J'ai l'impression de revenir chez moi. Ma vrai maison, mon vrai pays, ma vrai demeure.

-Mesdames, et monsieur, nous sommes arrivés. J'espère que le voyage vous auras été agréable et nous vous remercions d'avoir choisis la compagnie aérienne de AirFrance. A bientôt.

Et elle le redit en plusieurs langues. Je me leva, super enthousiaste et remplis de joie. Nous sommes à Bucarest. La capitale. Après mettre remis sur pied, j'attrapa mon bagages et sortit de l'avion en remerciant une hôtesse de l'air pour se voyage. en trainant ma valise, je vis les panneau écrit dans notre langue. Je cris de joie rien qu'en posant le petit orteil dans le pays, tout le monde ma vu et ma mère ajouta :

- Et bien, notre fille à retrouvé sa joie de vivre ! s'exclama ma mère.

Je m'excusa auprès des gens et on se dirigea vers la sortie. Normalement mon oncle, Beniamin. Benjamin en français, nous attends. Il a une femme, ma tante, Gabi et trois filles, mes cousines. Vous allez voir, j'ai énormément de cousins. Vous allez perdre la tête. C'est filles sont Johanna, Emilia et Sonia. 19,17 et 13 ans. Un petit peu plus petites que moi. Avec toutes cette foule, c'est difficile de se faire un chemin, mais on réussit à voir, notre oncle, seule sans le reste de sa famille. C'est un peut normal vu qu'il est une heure du matin mais bon je doute quelle dorme. Je sens qu'une merveilleuse aventure va commencé.

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