Choice of life

Chapitre 14

En ouvrant les yeux je ne compris pas tout de suite mon état. J'étais dehors, affalée à moitié contre la piscine, les bras sur le rebord et les pieds au sol. Autour de moi régnaient des morceaux de pizza et des ballons déchiqueté ainsi que quelques bouteilles de bière. Ma vision est trouble donc je n'en vois que quatre, voir cinq. Bon, on avait passé la soirée à se souler constatais-je. Mon crâne me faisait atrocement mal, et je sentais mes yeux violets de fatigue, se gonfler. En essayant de me lever, je ne vis personne. Qu'est qui s'est passé hier soir ? Avec qui j'étais ? En me relevant,je manquais de tomber par terre et décida de m'accrocher à la barre qui montait le escaliers. Je mis le pied dans la cuisine et cria :

- Morgana ? Amina ? Gaétana ?

Personne ne me répondis. Mais en baissant les yeux, je remarquais qu'il y avait un message collé sur le frigo. "Quand tu seras réveillé sers toi dans le frigo, mange un peu. Avec Léana on a essayé de t'installer près de la piscine mais tu bougeait dans tout les sens. Après que tu t'ais endormit on ta laissés dehors, tu dormais à point fermé. Ta maman est chez Amina. Gros bisous et à ce soir

Gaétana."

Il y a une chose que je ne comprends pas. En fin d'après-midi, on étaient tous dans la piscine entrain de boire une bière. Alors pourquoi le message de Gaétana est adressé qu'à moi ? Et les autres, ils ont disparut. Avant d'aller chez ma tante, j'ouvrit le frigo et attrapa un morceau de pain avec de la confiture accompagné d'un jus d'orange. Je pris une douche illico presto et traversa la grande allée en direction de la maison de Léana.

En arrivant devant la porte, je compose le code d'entrée et franchit le portail. Aucun adultes à l'horizon. Mais en allant vers la terrasse je vit ma cousine, mon frère et mon cousins. Je l'ai salue.

- Alice ! Bordel tu t'es réveillé tu était vraiment soul hier. Viens assit toi, m'accueillais Amina. On se dirigent vers la cuisine et je pris place sur un siège blanc. Puis elle me demande si j'ai mal à la tête et j'accepta sa demande de Doliprane volontiers.

J'espère que l'alcool de va pas déclencher une chute dans mon traitement, et oui mes chers amis je ne suis qu'à six jours de traitement et ça me fatigue. Le seul point positif, c'est que j'ai l'impression que la douleur à diminué de cinq pourcent, on va dire. Déjà un bon début.

Quelques minutes plus tard, Morgana réapparut. Je ne sais vraiment pas c'est quoi ce délire mais j'ai vraiment le droit à une petite explication. Si ils étaient avec moi hier, pourquoi m'avoir laissé toute seule ?

- Les filles, il y a une chose que je ne comprends pas. J'était toute seule hier ? Pourquoi quand je me suis réveillé aujourd'hui, je puais la mort et j'étais entourée de bière. Une explication ? ripostais je.

Elle s'échangèrent un regard et soupirent en coeur. Elles se foutent de moi là ?

- Quand tu as terminé ton appel avec Tobias, tu es descendue dans la cuisine, tu as pris une bière, celle de cinq-cents millilitres bien sûr. Au début j'ai crut, que t'allez en boire qu'une mais au file du temps, tu en avait bu deux, trois, quatre... et encore cinq dans le jardin. Tu étais incontrôlable. Tu bougeait dans tout les sens, sautait, tournait... Il fallait que je te dise de faire attention. Tu te rappelles la fois de ta première mini cuite ? dit-elle en achevant son "monologue"

-Oh m'en parle pas...

Je vais vous racontez mes chers lecteurs. C'était il y a sept ans. Un moment qui restera gravée à tout jamais dans ma mémoire. Il y avait Morgana, May et Luc (frères et sur, mes autres cousins, on y reviendra plus tard), Andi et Melvin. On étaient tous venus pour nager dans la piscine. Après avoir fait une pause, moi et Luc sommes rentrés dans la cuisine. Il avait ouvert une bouteille de bière. Je précise j'avait quatorze ans et lui quinze. Il me propose d'en boire avec lui et j'ai légèrement abusé en demander d'ouvrir une deuxième bouteille. Et à se moment là, j'étais perdu. Quand la pause était finit je sauta dans la piscine et tomba sur le dos au lieu de descendre par l'échelle. Je faisait la sirène dans l'eau. La sirène vous vous rendez compte (s'il vous plaît ne vous moquez pas de moi ) et puis je restait sous l'eau pour ne plus respirer. Mon cousin en avait marre de toujours venir me sortir de l'eau. Je rigolait comme une écervelé. Vraiment je sais pas ce qui ma pris de boire hier autant.

Tiens voilà ma mère. Attention les oreilles, elle est énervé.

- Bon sang, Alice ! Qu'es qui t'a pris de boire autant ! Tu t'es mis en danger hier ! J'étais à deux doigt d'appeler les pompiers,m'interpella ma mère.

- Excuse moi maman, j'étais juste stresser et j'avais besoin de m'évader pour ne plus y penser.

- Qu'es qui te stresse ma chérie ?

En inspirant, profondément pour essayer de cacher mon horrible envie de pleurer je lui répond d'une voix sèche et remplis de peur :

- Le message vocal ne venait pas de Tobias, il m'a montrer des preuves. Il viens surêment de mon agresseur.

Ma mère poussa un cris d'effroi suivit des "Quoi ?" effrayée de mes cousines.

- C'est une hypothèse je ne sais pas encore. Mais vous inquiété pas, Tobias règle le problème en ce moment même en France.

A proprement parlé, je suis celle qui flippe le plus.

- Qu'es que tu fait maman ?

Elle avait une valise à la main et le fer à lisser. Mon Dieu, on n'est qu'au quatrième jour de nos vacances.

- Je te rappelle que nous partons dans sept jours à Târgu Jiu voir oncle Siméon et tante Maria.

Oui, se sont les parents de Luc, May et leur plus grandes sur Anaïs. 22, 18 et 25 ans. Des gens merveilleux. Oui effectivement, vous connaissez May. Ma cousine qui à rencontrée le cancer. Et vous me connaissez moi, l'affreuse cousine qui est tout de même restée en France, accablée de la nouvelle et qui ne c'est pas rendu sur le champs de bataille.

Mais avant de me lever, je vis que mon téléphone se mis à sonner. Numéro inconnu. Commençant par +33 et 06. France.

Et à ce moment la,la peur ne me quitta plus.