Choice of life

Chapitre 8

En le voyant, je courus la première pour le prendre dans mes bras. Mon cher oncle, il m'avait tellement manqué...son caractère aussi d'ailleurs. Comment il est têtu...et un très bon homme. Il est fait pour être pasteur, ces discours sont si passionnant, j'en perds mes mots. Il est vaillant, intelligent et très optimiste. Il est chanceux d'avoir, une femme comme Gabi. Ils font tout les deux un couple fabuleux.

- Ma chérie, tu es si grande ! Tu m'as beaucoup manqué. Comment c'est passé le vol ? me demanda t-il.

- Quelques turbulences mais si non très agréable.

Je voulais aussi lui dire qu'il m'avait manqué mais il tourna le dos pour allez embrasser ma famille. Le temps qu'ils discutent, ensemble, je profite pour admirez le paysage. Mais vous allez me dire que nous sommes dans un aéroport et qu'il n'y à rien de magique. Mais au contraire, rien qu'en respirant cet air frais de se pays qui m'est si cher me changea complétement. La Roumanie pour moi c'est comme ma deuxième maison. Mon foyer natal. J'ai tellement hâte d'allez voir mes cousins. Vous inquiétez pas. je vais tous vous les présentez. Ils sont tous assez loin les uns les autres donc il y aura du chemin à faire. mes pensées font volte faces quand une main m'enveloppa le bassin. Saisit d'une grande frayeur, je poussa la main en question d'une force presque surnaturel. Je n'arrêtais pas de penser à se qu'il s'est passé au bar. Sa me hante jour et nuit. J'ai tellement peur qu'un danger arrive sans qu'on si attende vraiment. Mais à quoi je pensais en rentrant dans un bar. A être dans ma chambre bien posée dans mon lit à lire un livre et à siroté mon cocktail ? Complètement abasourdit, je contempla que ce n'est juste ma mère. Les gens me regardait bizzarement. Comme si on m'agressait justement.

- Ma chérie, tu vas bien ? m'interpella ma mère d'une voix inquiète.

- Oui, désolé... c'était juste de la défense, je suis désolé.

Je savait très bien que au moins, il est en prison, même pas dans le même pays donc pas de soucis à se faire pour lui... du moins pour cet homme là. Il peut y avoir pleins d'horrible personne, perverse qui seraient prêtent à ruiner n'importe qui, n'importe quand.

- Ce n'est rien, Alice, je sais se que tu traverse. Je te promet que si je revois cet homme, il ne sortira pas vivant de la même pièce ou je me trouve, dit-elle hilarante.

On se mit à rire, super fort en faisant des blagues sur cet homme et toute la gare nous entendaient. On ne vit pas le temps passez donc Beniammin nous hurla dessus, pour qu'on montes dans la voiture pour allez chez lui.

Enfaite il habite à cinq minutes de Bucarest. Il habite dans la ville si s'appelle Bragadiru. Une petite ville situé dans la banlieue de la capitale, très modernisé pour la Roumanie. Leur maison est constitué d'un jardin de taille moyenne et la maison construite sur deux étages. Leurs filles sont très agréables. On est comme des surs on s'entends tellement bien.

Sur la route je peut voir qu'on passe à côté de plusieurs magasin comme Penny ( c'est comme un Carrefour Market ), Profi ou toutes sortes de magasin traditionnelle que se soit pour des tenues ou des aliments. Les gens sont très violents dans leur façon de parler. Ils se croient vraiment pour les maîtres du monde. Avec des maisons, qui sont pratiquement toute en bois, il ne montre pas une très grande richesse. Ils élèvent des animaux comme des chèvres, des poules ou même des chevaux ! On les voit sur les routes quand on passent en voiture. Ils sont très libre dans leur façon de vivre. Contrairement au Français, ce sont de bon vieux ou jeunes paysans, traitant les vaches et élevant des animaux pour les congeler et les manger en hiver. Malgré, que leur vit semble plus dur, notamment avec un smic moins élevé qu'en France, se sont des personnes très festives, ils adorent mettre de la musique traditionnelle la nuit pour que tout les voisins entendent. Ils dansent et chantent et boivent beaucoup. Ils ont leurs propres alcool maison qui s'appelle la "Tuica". C'est un alcool qui brûle la gorge exactement comme la vodka. Des fois pire...

En voyant le panneau indiqué " Bucarest ". Je souriais. Je me rappelais que cette famille, elle, ne buvait et étaient des gens civilisé mais super drôle. On prit un virage, juste à côté d'un grand Leroymerlin. Et oui chez eux aussi il y a des magasins comme chez nous! En avançant encore deux cent mètres on s'arrêta devant leur maison. Même de nuit, j'étais aux anges de revoir ma famille. Je n'attendais plus que sa. Je descendis de la voiture et observa la route remplis de sable volant avec leur maisons bien alignés remplis de fleur sur les balcons.

Je me retourna en entendants les voix de mes cousines. Elles m'ont tellement manqués. En me voyant à leur tour, leur expression changèrent d'un coup. Elles sourient de plus belles. Johanna se rapprochait de mon âge. Elle allait bientôt avoir vingt ans et sa sur Emilia avait dix sept ans, et se trouvait très belle et mature ( ce qui était le cas pour son âge ). Mais il reste l'adorable, Sonia. Tout juste d'avoir treize ans et elle me faisait énormément pensé à moi, la dernière fois que je suis venue, j'avais quatorze ans. Mais attendez, sa fait plus de quatre ans que je ne les est pas vu... sept ans ? Non c'est pas possible... Les filles se jetèrent à mes pieds, j'ai du me baisser pour les prendre toutes les trois dans mes bras.

- Salut les filles !! Vous êtes si grande, vous avez grandit vite !

- Le temps passe tu le sait Alice ! me répond Johanna.

- Oh toi aussi tu le sais, vingt ans cocotte ! Alors sa fait quoi d'être vielle ?

-Oh ça va, j'ai pas de rides encore.

On riaient comme des folles. J'avait déjà l'impression d'être venue depuis longtemps.

- Hé, c'est pas que je ne vous aimes pas mais il est trois heures du matin et j'ai pas dormi ! Alors si vous voulez bien allons nous coucher !

Elle s'exécutent. De vrai surs.

Je monta les escaliers pour rentrer dans le salon et découvrit le même salon qu'il y a sept ans. Les fauteuils bleu à leur places, le plus grand du coté du mur et le plus petit à coté de l'aquarium, tandis que cette aquarium, installé près du piano. la table au milieu du séjour ainsi que l'escalier, à la gauche.

- Alice ! Wow qu'es que tu as grandit ! J'en fait des caisses pour mes filles mes toi c'est vraiment incroyable ! s'exclama t-elle.

Elle, par contre n'avait pas changer. malgré qu'elle dépasse la cinquante. Elle est vraiment belle. Aucune trace de ride. Impressionnant, elle prends bien soin d'elle.

Je pris une bonne douche, me prépara pour allez dormir. Il était quatre heures du matin, mais je voulais profitez de chaque secondes que me procure le bonheur d'être dans ce pays. Je decendis les escaliers sans faire trop de bruit car je dormais sur le canapé avec Johanna et Emilia déjà endormit profondément. En me faufilant, à coté d'elle je m'endormit aussi dans un sommeil profond et persistent.