𝐈.

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01; Stars and Suns

01; Stars and Suns

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𝑺𝑶𝑹𝑻𝑰𝑹 𝑳𝑨 𝑵𝑼𝑰𝑻, 𝑳𝑬 𝑪𝑰𝑬𝑳 𝑻𝑶𝑴𝑩𝑨𝑰𝑻

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𝑺𝑶𝑹𝑻𝑰𝑹 𝑳𝑨 𝑵𝑼𝑰𝑻, 𝑳𝑬 𝑪𝑰𝑬𝑳 𝑻𝑶𝑴𝑩𝑨𝑰𝑻. Il devait écouter quand le diable l'appellait. Il ne pouvait pas s'en débarrasser, il le goûterai. Il longeait tel une apparition spectral le corridoir du laboratoire national d'Hawkins, qui était devenu au fil des années sa prison. Il avait trouvé le sens. Écrit sur les murs pâles.

Une réflexion de minuit ou un besoin d'attention, il n'avait pas la réponse. Parfois ses pensées se portaient sur la violence. Parfois elles le ramènaient à la lumière. Parfois il était assis en silence. Il ne pouvait pas s'en débarrasser. C'était exactement ce dont il avait besoin.

Le long couloir interminable était désert, seul le bruissement de ses pas se répercutait contre le sol. La belle au bois dormant paraissait être endormi dans un sommeil éternel de paix. Il la préservait entre ses bras. C'était tellement baroque en aurait pu s'imaginer, qu'il était un fidèle destrier portant une noble dame. Il grimpa les dernières marches d'escalier avant d'ouvrir une porte menant au toit. De là haut ils pouvaient presque toucher la lune argenté. Le ciel était parsemé d'étoiles formant des constellations. C'était une belle nuit. Au dessus de la barrière, il observait la lune. La princesse était toujours profondément endormi.

— Quelle jolie lune se soir. N'es-tu pas contente que cette magnifique scène soit la dernière chose que tu verras ? Malgré tous mes avertissements... Tu es si stupide, souffla-t-il d'ironie. Mais je t'ai toujours aimée.

Leur amour était froid et chaud à la fois. Il pencha légèrement sa tête et rencontra ces douces lèvres charnues. Ce fut un baiser sucré mais horriblement amère. Comme si un enchantement avait était briser, la fille sembla émerger de son long sommeil. Le vent s'infiltrait dans ses cheveux. Les rayons de lumière lui réchauffait les joues. Un parfum familier lui montait aux narines.

— Un rêve ? demanda-t-elle l'esprit embrumé et les muscles engourdis.

Lorsqu'elle rencontra ces deux pupilles bleues où l'ombre d'une folie s'était présenté. Sa bouche se déforma de frayeur, et la peur prit possession de son corps.

𝐏𝐀𝐋𝐄 𝐇𝐎𝐑𝐒𝐄 ► Henry Creel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant