𝐏𝐀𝐑𝐓𝐈𝐄 𝐐𝐔𝐀𝐓𝐑𝐄

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°•.°•  𝚙𝚊𝚜𝚜𝚊𝚐𝚎 𝚚𝚞𝚎𝚕𝚚𝚞𝚎 𝚙𝚎𝚞 𝚌𝚒𝚝𝚛𝚘𝚗𝚗é  °•.°•


Quelques minutes plus tard, nos vêtements ont été jetés dans toute la chambre, sous nos rires et sourires nerveux. Nos corps ne forment bientôt qu'un, sous notre respiration saccadée et complémentaire. J'ai l'impression que chacun de mes membres tremble ou frissonne de désirs en étant nue, tout contre lui. En sachant ce qui va suivre.

Tandis que Yuta fait glisser ses lèvres sur ma peau, partout, je ferme les yeux, savourant chaque instant. Son corps collé au mien, je sens sa chaleur, ses propres tremblements, sa peau contre la mienne. Il me comble de bonheur, me fait succomber de son souffle chaud dans ma nuque et par ses baisers sans fin. Il fait durer le plaisir, quand une première pulsion se fait sentir. D'un mouvement de bassin, il me fait partir en vrille, m'obligeant à me hisser à lui, à me laisser porter par nos effusions.

De mon cou, il remonte peu à peu à ma mâchoire, ma joue, mes lèvres... Il dépose un baiser sur ces dernières, avant de s'arrêter et de s'écarter de mon visage de quelques millimètres. Son nez touche le mien, lui donnant la possibilité de planter son regard dans le mien, silencieusement. Il m'adresse un imperceptible sourire ému, gêné, attendri.

Mes jambes entourant toujours et encore ses hanches, mes mains se baladent entre son bassin, son ventre, son torse... Elles trouvent leur petit bout de chemin pour remonter jusqu'à ses épaules, son cou, sa mâchoire... J'ai toujours aimé la forme et la beauté de son visage. C'est ce que je prenais tant de plaisir à mettre en avant sous mes photos, sans avoir la possibilité de le toucher. Et maintenant que je peux, je me rends compte à quel point je suis éprise de cet homme. A quel point il m'a eue. A quel point il est beau.

Ma main gauche sur sa joue, mon pouce caresse son menton et la délimitation de ses lèvres. Cette douceur chez lui m'a toujours fascinée. Cette délicatesse dans son visage, dans ses formes allongées, c'est un homme avec une beauté sans égale. Et maintenant qu'il est là, dans notre intimité, tout contre moi, je me rends compte à quel point j'étais loin de voir la réalité : la réalité est telle qu'elle me frappe en cet instant. Je suis totalement, éperdument, amoureusement éprise de Nakamoto Yuta.

Je chavire quand il prend le temps de me regarder avec sa tendresse inégalable. Je pars en vrille quand le moment est venu de nous donner l'un à l'autre. Mon corps part en émoi quand nous ne faisons qu'un. Nos lèvres se comblent, alors que je le sens vriller lui aussi, en moi. Nos mains se lient, tandis que ses mouvements de bassins - divins - me transportent dans des tréfonds que je ne connaissais pas. Nos doigts se nouent quand nos gestes deviennent un peu plus rapides, profonds, marqués. Nos gémissements retentissent et... Je ne sens qu 'extase en le gardant en moi. Dans un dernier geste, nos corps se crispent pour nous emmener loin, très loin, ensemble.

Oh Emma..., me souffle-t-il au creux de l'oreille, une fois un certain calme retrouvé.

Les mots me manquent. Je suis beaucoup trop émue de m'être donnée à lui. D'avoir fait l'amour à cet homme si bon, si aimant. Soudain, je le sens s'écarter de moi. Je ne veux pas. Pas tout de suite, pas encore. Je le bloque, mes seins contre son torse, mes lèvres pinçant son épaule droite.

Reste, dis-je doucement. Reste encore un peu.

Je le sens. Sur moi. En moi. Il ne bouge pas, mais je l'entends sourire. Son sourire s'entend, c'est inouï.

D'accord, chuchote-t-il, toujours à mon oreille, avant de resserrer son étreinte. Je reste.

𝐒𝐎𝐌𝐄𝐎𝐍𝐄 𝐋𝐈𝐊𝐄 𝐘𝐎𝐔Où les histoires vivent. Découvrez maintenant