Chap 4 : Nouveau Règlement

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Il était maintenant pressé par le temps et il dut enfiler son uniforme en y jetant à peine un coup d'œil. Il y avait une chemise blanche qu'il surplomba par un pull gris foncé, rayé de fines ligne bordeaux. Un écusson était brodé au niveau du cœur mais il n'eut pas le temps de le regarder. Il encercla aussi une cravate assorti autour de son cous. Le neud était hésitant mais convenable pour les standard de n'importe qu'elle école. Son père lui avait appris des année plus tôt à en faire mais il ne l'avait encore jamais pratiqué. Il y avait aussi un pentalon noir d'une incroyable douceur. Il dut batailler quelques instant pour l'enfilé, son caleçons encore gonflé. Et même sans ça, son entrejambe serait sûrement comprimé à l'intérieur tant le pentalon était serré.

Quelques petit réajustement au niveau de son aine pour masqué le reste de son erection et il fut enfin prêt. Il jeta un dernier coup d'œil autour de lui pour voir si il n'avait rien oublié. Plus aucun vêtement ne semblait traîner mais ses yeux tombèrent sur la couche, soigneusement replié sur la table. Une vague d'excitation mêlé d'embara le submergea. Il se sentait à la fois honteux d'être tombé sur ce sous-vêtement particulier mais aussi et surtout d'avoir fentasmé dessus. Qu'est ce qui n'allait pas chez lui ?

Pour ne pas raviver sa verge qui ne supporterait pas de se gonfler totalement dans un tel pentalon, il se força à quitter le lange des yeux. D'un pas pressé pour fuir ce monstre de plaisir, il se dirigea vers la porte qu'il enfonça sans même un regard en arrière.

Son visage était d'un rouge vermillon mais lorsque ses yeux tombèrent sur Christine, elles s'embrasèrent comme jamais. Il devait en être devenu violet. Dans les yeux de la jeune femme, il perçut presque de l'étonnement comme si elle ne savait pas qu'il s'était changé là. Mais surtout, dérriere ses pupilles vertes, Elyas ressentait une profonde compassion.

- Ça y est, fit elle avec sa voix si apaisante, tu es prêt.

Les mots frappèrent Elyas en formant l'image de la couche dans sa tête. Ses yeux tombèrent au sol et il ne put répondre qu'un grognement affirmatif.

La jeune femme n'ajouta pas un mot de plus et se mis en route, rebroussant le couloir qui les avait mené à son bureau. Elyas la suivit quelques pas derrière elle, les yeux à nouveau fixé sur ses talons.

De temps à autre, il laisser son regard courir le long de ses cuisse, ses yeux comme attiré par son postérieur. Mais, inévitablement, une vague de honte monter en lui juste avant d'atteindre le bas des fesses de la jeune femme et ses yeux retombait à nouveau sur ses chaussure. Lorsqu'enfin la curiosité l'emporta sur la gêne, il n'appercut rien qui laissait penser que la secrétaire porté une couche. Pas un renflement, pas une bosse. Ses fesses semblait ne portait pas le moindre tissus autre que son tailleur.

Elyas n'eut pas le temps de s'en étonner les talons arretèrent de claquer. Pris de pannique, le jeune homme pensa soudain s'être fait prendre à mater, il leva les yeux. Un large sourire traversait le visage de Christine.

Elle est vraiment belle, pensa-t-il.

- C'est ici, fit la secrétaire en pointant une porte sur leur gauche.

C'était une porte comme toute les autres dans ce bâtiment labirynthique ormis une plaque faite d'or incrusté dans le battant de bois qui indiquer : "bureau du proviseur". Christine vint taper trois grand coups juste sous cette plaque et un "oui" étouffé leurs parvint.

La porte s'ouvrit alors sur un splendide bureau. Une grande baie vitrée apportait une incroyable luminosité dans la pièce. Un majestueux bureau de chêne qui semblait avoir était taillé d'un bloc dans un tronc trônait au centre de la pièce sur un somptueux tapis blanc. Des plante au vert presque surnaturel était posé aux quatre coins du meuble parfaitement rangé. Tous les outils, un Mac, des stylos et autre bloque notes, semblait à leurs place comme s'il ne pouvait être que là dans n'importe quel plans de l'existence. Le parquet au sol était si sombre qu'il semblait fait d'ébène. Les murs était couvert d'étagère de bois remplis d'ouvrages colorés.

Au PensionnatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant