Sur la route du retour à montpellier
Léa: C'est tellement beau les paysage d'Italie
Paul: Oui je me suis toujours dit qu'un jour je viendrais vivre ici
Léa: ah ouais !? Tu m'en a jamais parlé
Paul: J'aimerais bien m'acheter une petite maison pour ma retraite
Léa: et vous auriez une petite place pour moi dans votre maison capitaine ?
Paul: va falloir agrandir alors ma petite maison
Léa: hey, comment ça je ne prends pas de place moi
Paul: toi non par contre ton dressing
Léa: il n'est plus si grand que ça j'ai fait du trie capitaine (en lui tirant la langue)
Ils arrivèrent le soir à Montpellier
Paul: tu veux faire quoi pour ce soir ?
Léa: manger
Paul (rigola): d'accord mais tu préfères être un peu seul? ou on va chez moi ? Ou chez toi?
Léa : je veux rester avec toi, chez moi ?
Paul: c'est parti
Léa: on se prends un truc à manger, mon frigo est vide
Paul: sushis ?
Léa: Parfait
Arrivée chez Léa
Ils sortirent de la voiture, Léa ouvrit le coffre, sortit sa valise, puis ils avancèrent jusqu'à la porte. Léa sortit ses clés. Elle regarda Paul et sa valise. Une idée lui traversa l'esprit. Et si cette valise restait chez elle...
Dans la maison
Léa: vient on va mettre toutes les affaires dans ma chambre
Paul suivit Léa, c'était la première fois qu'il rentrait dans sa chambre depuis qu'elle habitait à Montpellier. La déco était épurée et classe. Paul se tenait dans l'encadrement de la porte avec sa valise. Léa eu à nouveau la même pensée. Elle bloqua.
Paul: quelque chose ne va pas ?
Léa (fixa la valise de Paul): et si cette valise restait chez moi ?
Paul: Pourquoi pas (avec un large sourire) comme ça je pourrais passer quand je veux (en s'avançant vers elle)
Léa: t'enflammes pas c'est surtout pour porter tes t-shirt quand t'es pas là
Paul: Ils sont bien mes t-shirts hein (lui faisant un bisous sur le front)
Léa: Tellement, il sente bon
Léa fit de la place dans son dressing
Léa: Voilà tu peux mettre tes affaires ici
Paul: Merci, tu vois finalement il est bien rempli se dressing
Léa: c'est tes affaires aussi elles prennent beaucoup de place
Paul: mais quelle mauvaise foi madame Marchal
Paul ne s'en était pas rendu compte et l'avait sorti tout naturellement, comme il y a 20 ans. Cela les surprit tous les deux. Léa se figea.
Paul: Pardon une vieille habitude qui a refait surface (gêné)
Léa: c'est rien, ça m'a fait juste bizarre, j'ai eu une sorte de flashback pendant quelques secondes.
Paul toujours aussi gêné, avais peur de la réaction de Léa
Paul: tu veux dire quand j'étais jeune et beau
Léa: exactement (en rigolant) aller viens on va manger on déballera les valises après
Paul: Léa on aura pas la force vient on le fait vite fait
Léa: ah j'avais presque oublié ton petit côté maniaque (en rigolant) bon ok dacc
Ils ouvrirent leurs valises sur le lit, d'un côté la valise de Paul, ou tout était bien plié et rangé et de l'autre celle de Léa avec des affaires à moitié pliées d'autres en boule. Ils regardèrent leurs valises
Paul (rigola): il y a des chose qui ne changeront jamais
Léa: se sont les petits défauts qui font mon charme, non?
Paul: votre charme ?
Léa: Oui tu sais celui auquel tu ne peux pas résister
Paul la pris dans ses bras
Paul: j'aime tout de toi (l'embrassa)
