chapitre 13

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Encore chez moi :

Je prépare ma tenue pour se soir quand Miguel m'appelle.

L'appel :

Moi : allô ?

Miguel : ouais jess tu peux venir ?

Moi : ou sa ?

Miguel : au fast food, pas loin du dojo. Sensei dois nous parler.

Moi : j'arrive toute suite.

Fin de l'apele.

Je racroche monte dans ma voiture et vas au fast food.

Je voix Miguel et sensei. Je m'assois avec eux. Et on commande à bouffer.

10 minute plus tard :

Sensei : c'est bon hein ?

Miguel : ouais.

Moi : c'est clair. Mais pourquoi m'avoir appeler ?

Le Sensei esquive ma question et change de sujet.

Sensei : le secret c'est les oignons , sa reste simple, pas c'est truc végétarien juste un bon gril et une viande de qualité.

Moi : mmh.

Sensei : vous voyais se bâtiment la ?

Miguel : l'hôpital ?

Sensei : c'est la bas ou et née Robby.
Le 4 février 2002. C'était un lundi l'accouchement à durée plus de 17h

Moi : sa à du être hyper douloureux ? Pour sa mère genre.

Sensei : ouais sûrement je n'y était pas. Ma mère venait de mourrir j'étais désorienté, j'ai pas connue mon père donc j'avais qu'elle et la soudain j'allais devenir père et sa ma foutu une trouille d'enfer alors au lieu d'être à l'hôpital, pour l'accueillir dans se monde j'étais assis ici à décuver après 3 jours de cuites. À essayer de trouvais le courage de traverser la rue.

Moi : et vous avez réussi ?

Sensei : nan, je n'y suis jamais aller. J'ai abandonner mon gosse dé sa toute première journée dans se monde et je n'étais pas présent pour lui. Toute c'est années.

Miguel : Sensei c'est très personnelle vous n'êtes pas obliger de nous raconter tout sa.

Les yeux du sensei se remplissait de larmes.

Sensei : nan j'aurais dû vous le dire depuis longtemps. C'est la plus mauvaise chose que j'ai faite dans ma vie.

Moi : pour ma part sensei. Je savais déjà que Robby étais votre fils.

Le sensei me fait un mouvement de tête pour me dire " D'accord ". Et continue de parler.

Sensei : mais y a l'une des meilleures chose : c'est de vous avoir entrainer. Et je veux que vous sachiez que quoi qu'il arrive je vous promet que serais toujours de vôtre coter. Et que je défendrait toujours dans vos intérêt.

Miguel : merci.

Moi : merci sensei.

Sensei : Derien.

Le téléphone de Miguel sonne et le mien aussi.

Miguel : désolée.

je regarde mon tel *

Sensei : quesque c'est ?

Moi : c'est Aisha.

Miguel : attend toi aussi ?

Moi : ouais.

Sensei : quesqui se passe ?

Miguel : elle dis que le miyagi-do vas faire une sorte de démonstration lors de la fête.

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