Les épines de ta rose Tome 1 [Dark Romance]

75. Les opposés s'atirent /Obscurité

Pandant ce temps

ALAYNA

J'était poser sur mon lis avec ce con de Hazra deprimer

- Hazra

- Oui ,me répondit-t'il une cigarette à la main

-On va arêter

- Areter quoi Alayna

- Ce quon fait, ce n'ést pas bien surtout pour Cataléya.

- C'ést mon cousin, qui ta demander de me dire sa c'est sa ?

J'ai déglutie, Hazra n'etait pas sancer savoir que auparavent j'avais eu une conversation avec son cousin, c'est son cousin donc il le conais bien plus que moi.

- Non m'entais-je

- Tu me ment

- Merde Hazra et même si je te mentais ,qu'est ce que sa peut te foutre avant que Cat ne sois au courant de tout sa tu ne te soucier meme pas de comment elle aller

- J'en est besoin Alayna

- Mais besoin de quoi Hazra tu ne comprend pas nous somme tout les 3 des âmes détruite et user part la vie ce n'ést surement pas en se droguant et en fesant des parties de baise pensement que tout va aller mieux

- Hum j'ai compris ton ex petite copine et encore une fois revenu donc tu me regette

- Non elle n'est pas revenu et je l'acepeterais plus même si elle revenais en me supliant , plus je grandit je reflechis et je me dit mais merde Hazra on passer l'âge de faire des coneries pareille bordel

- Toi tu à passer l'âge pas moi

Oh putain je vais le gifler

- Parle

- Parler pour dire quoi Alayna me dit-il en alumant sa cigarette qui'l à caler dans le coin de ces levres

- Je sens que quelque-chose ne va pas

- Tu ne sens rien du tout arette

- Si je le resens Hazra

- Si tu veux je peux peter ca c'est sur que tu va le sentir me dit-il en recrachant une fumer epaise de sa bouche

Je me retenais de rigoler et j'ai dit

- Sois un peux serieux

Il s'est levé du lit, tournant en rond devant celui-ci, cigarette à la main.

- Qu'est-ce que tu veux que je te dise, Alayna ? Qu'on n'aurait pas dû baiser ensemble par simple jalousie envers les personnes qu'on aime ? C'est ça que tu veux entendre ? Tu veux entendre quoi d'autre ? Vas-y, dis-le-moi.

- Doucement, il risquerait de nous entendre.

- On n'aurait jamais dû faire ça, me dit-il, les larmes aux yeux.

- Tu sais, Hazra, hum, dis-je, la gorge serrée, hum, les erreurs, hum, ça arrive. On leur a menti en leur disant qu'on couchait ensemble simplement pour oublier ce qui nous détruisait. Mais finalement, ce n'est pas Cataléya qui te détruit, ni ma copine, mais c'est nous-mêmes qui nous détruisons, Hazra.

- Nous, tous les deux ?

- Toi tout seul, Hazra. On se détruit tout seul, comme Val se détruit en pensant encore à ses traumatismes, et comme Kyle se détruit en pensant à elle alors qu'elle ne voit que par toi.

Il a écrasé sa cigarette dans le cendrier qui était posé sur la table de chevet près de mon lit, et il a écarquillé les yeux. Le stress m'elanger à la haine le fesait fumer plus que d'abitude