Une Seule Promesse

chapitre 40: épée et bouclier (partie 3)

Pdv Externe

Hélène ne savait même plus ce qui c'était passé, en fait elle ne savait même pas ce qui était en train de se passer, elle faisait face à un Zamazenta sous Galarions mais les vibrations dans son corps s'intensifier de plus en plus à chaque attaque...comme pour l'empêcher d'envoyer des attaques sur le Pokémon. Pourtant une autre force lui disait de ne pas abandonner et qu'elle devait arrêter ce qui se passait
Phyllali lui même était perdu, que faire si sa dresseuse hésiter ?
Hélène ne savait pas quoi faire ou comment faire elle voulait écouter cette voix lointaine mais les vibrations la perturber énormément.

Finalement sans qu'elle comprenne trop comment,le Pokémon légendaires c'était calmer, pourtant il ne lui semblait pas avoir fait quelque chose de spécial, ni même avoir ordonné à son Pokémon d'attaquer, elle avait l'impression d'être dans une bulle ou dans un monde parallèle au sien en bref,elle ne sentait pas sa propre présence sur Terre.
Quand le Pokémon ce calma,Hélène relacha sa respiration et reprenit ses esprits

Nabil: Z-Zamazenta...ça va...?

Pourquoi Nabil paraissait il lui aussi mal en point ? Hélène ne l'avait pourtant pas attaquer.
Le légendaires bouclier fonça sur le jeune dresseur, mais au moment où il se préparera à donner une attaque,Zacian apparue.

Nabil : Zacian...?

Les deux loups s'affronter du regard, comme si ils étaient en train de discuter. Hélène entendit des chuchot,comme si elle...pouvait comprendre ce jeux de regards ou du moins ce qu'il voulait dire.
Comme si,lui aussi, comprenait ce qu'il se passait,Nabil s'approcha des deux légendaires et remercie l'épée.
Ainsi le bouclier avais fuit.

Nabil: il n'arrive toujours pas à se contrôler...
Hélène : c'est terrible..
Nabil: il faut qu'on suive Zamazenta pour l'aider..
Hélène : mais avant !

La jeune fille jeta un regard à Jean-Targe qui se trouvait au sol près du bouclier rouillé.

Nabil: toi,rends ça ! Ça appartient à Zamazenta !
Jean-Targe : ah...!

Nabil récupéra le bouclier puis fonça,sûrement pour chercher Zamazenta.
Zacian s'approcha de celui qui avait perturbé Zamazenta et son frère arriva.

Jean-Fleuret : Pi-pitié ! Ayez pitié ! épargné mon puîné !
Hélène : Zacian...attends !

La jeune fille regarda le Pokémon dans les yeux et posa sa main sur son museau,Zacian ferma les yeux et s'éloignit.

Peterson : c'est ce qu'on appelle gérer une crise de main de maître, regarde-moi ça. On dirait qu'il t'attend.

Hélène hocha la tête, elle avait très bien compris ce que voulait le Pokémon,cela était une évidence pour elle.
Elle sortit l'épée rouillé de son sac,et la donna à Zacian qui la mis dans sa gueule,en changeant de forme.
La jeune maître recula,et sans sortir aucun Pokémon, elle envoya la Master Ball sur Zacian.
Elle récupéra la ball et la rangea dans sa boîte Pokémon.

Sonya: incroyable ! C'est comme si le véritable roi de Galar t'avait reconnu digne de lui !
Hélène : nan...c'est différent encore..je..je suis liée à lui. Je l'ai senti, je ne sais pas pourquoi ni comment..mais,j'ai ce lien avec Zacian,je le sens,au fond de moi..
Sonya: ah..?
Jean-Targe : ... quel sublime capture ! Te la remets bien des choses en perspective ! Dire que nous ne nous préoccupions que de savoir qui avait sa place sur le trône... nous étions bien frivoles. j'ai honte de nous. Dites donc,le chevelu.
Peterson : vous êtes toujours aussi polis, à ce que je vois. Je sais pas à quoi je m'attendais.
Jean-Targe : mon aîné et moi-même sommes prêts à subir la punition encourue pour nos crimes. Conduisez-nous donc à l'endroit le plus approprié pour que nous puissions faire amende honorable.
Peterson : si vous voulez vous faire pardonner, un conseil: commencer par être un poil moins hautain. Non, mais franchement...Hélène, je crois que je mesure enfin toute ton envergure. Tu es digne du titre de maître.
Hélène : je ne suis pourtant pas si différente du reste du monde...
Peterson : cela dit, j'aurais un service à te demander. Oublie-moi un peu, ok ? À chaque fois que je t'accompagne, c'est des ennuis sans fin.
Hélène : c'est comme ça...avec moi !