Dahlia and her Bad Boys

The Kidnapping

*** PDV de Alios ***

Elle faillit m'avoir mais je me décale au dernier moment alors elle fait un beau plat. Connaissant ses talents de nageuse, je l'attrape par la taille et ses joues prennent une délicieuse teinte rosée. Ensuite prenant conscience de notre position (sa tête sur mon torse avec mes mains sur sa taille) je rougis en la lâchant. Jam qui nous regarde du coin de l'œil, nous donne un plateau repas avec en plus, une cannette de coca et une de perrier.

Elle prend la cannette de coca et moi celle de perrier, je fais le pitre comme à mon habitude et cette fois elle rigole facilement, trop facilement et s'étouffe avec son coca. Je lui tape le dos en me tordant de rire puis lui fais la morale. Elle me jette un regard noir.

Elle décide ensuite d'aller la salle de gym mais en route nous croisons les «Black Wolves», un gang de la pire des races mais peu connu car plus discret mais pas plus doux pour autant.

Ylann leur chef vient me voir et me dit :

«-Hé, Alios, mon pote, qu'est-ce que tu fais avec cette minette ???Tu me la laisse quelque heure pour que je puisse jouer un peu avec les gars.La choper quoi...

-Salut Yvann, salut les gars, non je vais à la salle de gym avec ma meuf, j'te donnerais ton fric plus tard, à plus... tentai-je de me justifier sans grande conviction.

-Tu crois franchement que tu vas t'en tirer comme ça Alios, on est comme tes reups (pères) et tes reufs (frères) alors tu vas nous filer le fric et la gonzesse et après tu vas à la banque nous ramener d'autres pognons...

-Vous savez je ne suis pas un objet et je ne suis pas sourde alors vous pouvez me parler directement s'il vous plaît ? balance Dahlia, hors d'elle.

-Ça ne nous plaît pas ma p'tite dame alors tu ne nous fait pas chier et tu te la ferme ou sinon j'vais te la fermer.

-Pourquoi êtes-vous aussi vulgaire et brutaux, je ne comprend pas.

*** PDV de Dahlia ***

-J'vois qu'Alios a bien parlé de nous à sa meuf, comme j'le comprend, qui voudrait parler de gars comme nous. Alors je vais nous présenter :je suis Yvann, le chef des Black Wolves, un gang de criminels rassemblé pour exterminer les keums (policiers) de le planète. Les pires crapules de Los Angeles se sont réunis pour former un gang qui détruira la loi et la justice pour ne laisser que désolation et guerre en ce monde. Voilà tu te trouve devant ce genre de personne là. m'informe le dénommé Yvann.

-Bon maintenant les gars vous embarquez la nymphette puis jetez le traître dans une cage. continu t'il.

-Que se passe t'il ici ? demande alors une voix au dessus de nous que je ne peux pas voir à cause du torse de l'homme qui me retient prisonnière.

-Oh, tu es réveillé Kazee, moi qui voulais te faire une surprise. Je te la donne en avance. Une jeune poupée rien qu'à toi.

-Et c'est Alios que je vois là. Moi qui déteste les déserteurs, je suis servis, mon meilleur ami qui nous trahis pour une vulgaire pute. crache l'inconnu.

-Toi, t'as écouté aux portes, comme à ton habitude. Viens donc voir ton cadeau de plus près.

-OK.»

Il saute souplement d'une fenêtre que je n'ai pas remarqué. Je ne peux distinguer ses traits car ils sont cachés derrière une épaisse capuche noir mais sa silhouette m'est très familière. Quand il s'approche pour me scruter, il a un mouvement de recul et dit mon nom d'une voix choquée puis fondit sur Yvann :

«-Papa me dit pas que tu l'as maltraités.

-Non, mais je comptait la donner aux gars pour qu'ils puissent se défouler, je les trouve très agressifs. Tu voudras bien la leur prêter ? réponds Yvann.

-Non, tu me l'a offerte, elle est donc à moi et rien qu'à moi.

-D'accord, à condition que tu leur laisse la prochaine.

-OK.»

Puis il m'arrache des bras de mon tortionnaire et escalade le mur pour m'emmener dans son antre et me jette sur un lit de camps et va dans une autre pièce. J'avais l'impression d'être passé d'un monstre à un démon.

Quand il revient il lui manquait son sweat et sa capuche. Alors je le reconnu.

«-C'est toi, le garçon qui m'a protégé en seconde ? Nimrod, c'est ton prénom? Je me trompe ?l'interrogeai-je.

-Tu es rapide toi. Oui, c'est moi. Qu'est-ce que tu fais là et accompagné d'Alios en plus ? Tu es suicidaire ou quoi ?

-Je pense que tu pourras répondre tout seul pour pourquoi je suis ici, de plus non, je ne suis pas suicidaire.

-Tu es dans ma chambre. Tu n'étais pas au courant, hein ?

-De?

-Du fait qu'Alios faisait parti de notre gang.

-Non, tout comme pour toi.

-Tu as compris que tu es ma possession et que tu n'as aucun droit ici ?

-Oui, alors fais ce que tu as à faire avec moi mais ne me torture plus, d'accord ?

-Je n'ai aucun ordre à recevoir de toi. Je peux te faire chialer autant de fois que je veux sans avoir de remord. Et je peux te prendre aussi fort que je le souhaite avec ou sans ton accord compris ? »

Il se jette sur moi avant que je puisse plaider ma cause, emprisonne mes poignée d'une main et me les plaque au dessus de ma tête. Il me place ainsi en position d'infériorité, de soumission. Je le refuse en me débattant de toutes mes forces mais il me tient tellement fort que je gémis et il resserre son étau et met son autre main sur ma gorge et me la serre.

J'étouffe, je veux crier mais aucun son ne sort, ma vision se constelle de taches noirs et mes poumons hurlent à mon cerveau de respirer. Je pleurs, mon nez coule. Puis tout à coup sa main à ma gorge se desserre et l'air remplis mes poumons. Il me caresse ensuite la gorge.

«-Tu vois, je t'ai fais pleurer et je n'ai aucun remord, je t'ai emmené aux pieds de la faucheuse sans ton accord et je t'ai ramené pour mon plaisir. Tu veux toujours me désobéir ou tu as compris la leçon, ma poupée ?

-Je...j'ai...j'ai compris...Maître...que...voulez-vous...de...moi...? asphyxiais-je

-Tu seras délicieuse à briser mais je te laisse tranquille, pour l'instant. Tu resteras dans ma chambre jusqu'à mon retour. Et si tu es sage, je te ramènerais tes devoirs et après tu viendras assister à la mort de ton petit copain. A tout à l'heure, ma poupée.

-Je t'en...supplie ne...le tue pas... »

Il me fit un bisous sur mes joues en me regardant et il me fit un regard de tueur. Puis sans se soucier de me répondre, me dit au revoir...