La dernière elfe : le monde de Narnia- tome 2 { Peter }

Chapitre 7 : plan

PDV de Peter

Les telmarins était là, de l'autre côté de la plaine, prêt à nous attaquer à tout moment...
Il nous fallait un plan et rapidement, et nous l'avion trouver. Ce n'était certes pas le meilleure jamais conçu mais nous n'avions que ça.

- catastrophe et catapulte, c'est ça votre nouveau plan ? Dit trompillon. Envoyer une petite filles dans la parti la plus sombre de la forêt, seul ?!
- c'est notre dernière chance... dis je.
- et elle ne seras pas seul, renchéri Susan.
- vous ne trouvez pas qu'il y a eu suffisamment de mort comme ça ? Demanda le petit homme.
- nikabrik était aussi mon ami, dit le blaireau, mais il avait perdu espoir ! Contrairement à la reine Lucy et contrairement à moi.
- pour Aslan, déclara ripitship.
- pour Aslan, imita un ours.
- alors je viendrais avec vous, insista le nain.
- non, on a besoin de vous ici, rétorqua Lucy.
- nous devrons tenir jusqu'à ce que Lucy et Susan revienne, déclarai je.
- si je puis me permettre, interrompit Caspian. Miraz est probablement un tirant et un meurtrier, dit il en ce levant, mais en temp que roi, il se soumet à toute les tradition, et respecte les attente de son peuple. Et il y'en a une en particulier qui peut nous faire gagner pas mal de temp ! Termina le prince.

Nous avions donc un plan. Et c'est ainsi que mon frère, ainsi qu'un géant et un centaure ce rendirent au campement ennemi.

PDV de Ava'e

L'armée telmarine était maintenant tout proche de l'armée narnienne. Et j'étais avec eux, attaché les mains lié, à un arbre. J'étais proche d'une tente qui servait de salle du conseil.

J'étais a bout mes forces m'avait presque toute abandonné, mes cicatrices avait pourtant cicatrisé, mais je n'avais plus une once de force.

Tout à coup, j'entendis une voix familière alors je leva la tête et je vis ah milieu des tables du conseil, Edmund. Mais que faisait t'il la ?

Il parla donc face à toute l'assemblée telmarine :

- Moi Peter, par la grâce d'Aslan, par élection et par conquête, grand roi de Narnia, seigneur de Cair Paravel et empereur des îles solitaires, dans le but d'éviter une abominable effusion de sang, défi et appel l'usurpateur Miraz a un combat singulier sur le champ de bataille, jusqu'à se que mort sans suive. Le vainqueur obtiendra une capitulation total.

Edmund avait lut le parchemin tenu dans ces mains, Peter défier Miraz, mais que lui était-il passer pas la tête ?!

- ditent moi, prince Edmund, commença "l'usurpateur"
- heu roi, le coupa le jeune homme.
- je vous demande pardon ? D'interloqua le telmarin.
- c'est toi Edmund, a vrai dire, seulement toi, Peter est le grand roi, expliqua Edmund. Oui je sais, c'est compliqué, se moqua t'il en continuant.
- pourquoi, dit Miraz revenant au sujet de base, je devrais accepter une tel proposition quand mon armée est sur le point de vous anéantir ?
- n'auriez vous pas par le passer déjà sous estimé notre nombre ? Car enfin, il y a encore une semaine à peine, les narniens était sensé être éteint.
- et vous le serai bientôt pour de bon, ragea le chef telmarin.
- dans ce cas vous n'avez rien à craindre, lança Edmund.

Le roi d'en face rigola franchement avant de répondre :

- ce n'est pas une question de bravoure !
- donc c'est avec bravoure, que vous refuser d'affronter un adversaire qui a la moitié de votre âge ? Ironisa l'homme vêtu d'une armure rouge.
- qui a dit que je refusais ? Demanda Miraz plus menaçant cette fois.
- vous aurez notre soutien, quelque soit votre décision, assura un seigneur présent à la table.
- sir, notre avantage militaire a lui seul vous offre une parfaite excuse, pour éviter... commença un autre homme.
- je ne cherche pas à éviter quoi que ce soit ! Le coupa sont roi, tout en ce levant.
- je me simplement en évidence le fait que mon seigneur et parfaitement droit de refuser ! Affirma le seigneur.
- sa majesté ne refusera jamais, rétorqua le général, car c'est pour elle l'occasion rêver de prouver au peuple, le courage, de sont nouveau roi.
- vous, menaça de nouveau le roi, en pointant sont épée vers sont ennemis, il vaudrait mieux pour vous que l'épée de votre frère soit plus aiguisée que ça plume. Et en gage de ma bonne volonté, continua t'il, je vous offre un cadeau de valeur.

C'est alors qu'il fit un signe et je vis deux homme s'approcher de moi, me libérant et me trainant jusqu'à la tente, avant de me lâcher. Ce qui me fit tomber par terre, n'ayant pas assez de force pour tenir debout.

- ava'e ! S'écria Edmund en ce précipitant vers moi, me prenant dans ces bras. Demain sur le champ de bataille, déclara mon ami avant de me porter et de s'en aller.

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Voilà un petit chapitre, j'ai mis du temp à le sortir mais j'ai était débordé de travail, désolé.
La suite ne devrais pas tarder je l'ai déjà presque fini de rédiger.
J'espère qu'il vous a plus.
La meilleure et narcissique 🫶🏼