Chapitre 8

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Je me retrouve incapable de parler, de bouger, ou même de détourner le regard. J'étais comme hypnotisé par ce que je voyais. Dites-moi que c'est une blague ! Ça fait presque un an que je le cherche, des mois de douleur pour qu'il se retrouve là, à quelques kilomètres de nous sans qu'on s'en aperçoive. Je sens des larmes de tristesse et de colère monter en moi. Il est en train de chanter avec Ambre.

 Il est en train de chanter avec Ambre

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Martina : C'est lui, Matteo. Pourquoi avez-vous ces têtes ? On dirait que vous avez vu un revenant.

Maxi : C'est presque ça.

J'écoutais leur conversation sans dire un mot, toujours fixé sur lui.

Leon : Francesca ?

Je détournai le regard vers mon meilleur ami, qui était, je pense, aussi perturbé que moi.

Leon : Tu vas bien ?

Moi : ...

Je me contentai de le regarder. La musique s'arrêta, et tout le monde applaudit. Ambre descendit de la scène et se dirigea vers ses amis. Quant à lui, il nous vit au moment où il descendit de la scène.

Il resta planté là, à l'autre bout de la salle, sans bouger, sûrement choqué de nous voir là

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Il resta planté là, à l'autre bout de la salle, sans bouger, sûrement choqué de nous voir là. Puis, il posa ses yeux sur moi. Nous nous sommes assis sans le regarder, et je me suis concentrée sur le spectacle. J'écoutais leur conversation quand j'ai vu une silhouette que je ne connais que trop bien s'approcher de nous. Leon se mit devant moi.

Leon : Eh eh, où comptes-tu aller comme ça ?

Federico : Leon...

Leon : Il n'y a pas de "Leon" qui tienne !

Ambre : Hey, qu'est-ce qui se passe ?

Federico : Rien, je voulais venir voir tes nouveaux amis.

Violetta : Tu n'as pas choisi le bon moment.

Leon : Il n'y a pas de bon moment !

Federico : On peut en discuter ? S'il vous plaît... ?

Leon : Clairement pas.

Et un jour, on s'est retrouvés...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant