Episode 9

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Sur le chemin de l'arret de bus je ne savais pas ceux a quoi le solitaire qui était silencieux pensait mais j'avais réussi à le faire s'inquiéter pour moi, j'en payais le pris le fort mais c'était une victoire.

Je passai pratiquement le trajet en Bus la tete sur ses epaules, il me fallait vite arriver et prendre le reste de mon traitement avant que mon etat ne s'agrave.

Cet instant était mon plus moment avec le solitaire, depuis l'echange de nos premier mots, malheuresement j'étais bien trop faible pour en profiter.

- j'aurai dû t'accompagner plus tot. Me dit le solitaire dans le Bus.

- l'importance c'est que tu le fasses maintenant.

- mais...

- ce qui me preocuppe c'est pourquoi tu refuse chaqu'une de mes invitations ? je demandai en le coupans.

- j'ai horreur des manifestations trop bruyante, je n'aime pas me meler a la foule.

- je vois, l'enfer c'est les autres et autres. Ai-je dit avec lassitude, avant de reprendre.

- parfois c'est bénéique de se meler a la foule.

- pour moi la foule est juste une somme d'erreur qui doit etres supprimé.

- tu hais autant l'humain ?

- l'humain est une créature magnifique, elle vie, croit, pense... je ne saurais la dénigrer, pour moi l'erreur c'est sa sociabilité. On depend trop des autres.

- lais la societer que le demande.

- la societre est faites de devoirs tant que chacun accomplit le siens tout irras bien, notre bonheur ne devrait pas dependre des autres, pas besoins de grandes fetes bruyanyes pour ressentire de la joie.

- le bonheur ce n'est pas les autres, le bonheur c'est nous. Ai-je ajouté à la phrase du solitaire pour lui fait comprendre que je comprenais son raisonnement.

- sutout le bonheur est en nous. Chuchota le solitaire ma tete posé sur son epaule.

- tu te penses etres heureux ? Lui ai-je demnder.

Je n'eu meme pas le temps d'entendre sa reponse lorsque je piquai du nez et m'ndormis.

Le bus s'arreta a l'arret situer a quelque metre de mo immeuble, le solitaire m'accompagne jusqu'au pied de l'immeuble et voulut me laisser la, mais je ne lacha pas sa main, il comprit qu'im devait me faire monter.

Une fois a soixante-dixeme etage j'ouvris la porte de l'appartement et le solitaire m'aida a y rentrer, a ma grande surprise ma trousse de secoure était posersur la ttable a manger, le solitaire sivis mes instruction et me donna les medicaments que je lui avais demandé.

-apres demain c'est l'annivers de Ruth, viens s'il te plait il aura ici. Lui ai-je dit completement epuiser.

- je verai me repondit-il.

- tuu ne viendras pas.

- j'ai dit, je verai.

Je ne sais pls se que j'ai pu dire mes arriver j'enntendais le solitaire dire a des moments : « - tu delire, tu delire... ». J'étais tellement tellement mal en point que j'avais l'impression que tout cela me semblais etres un songe, un reves qui s'evavouras une fois que j'aurai ouvert les yeux, et en un claquement de porte le solitaire s'en alla et je m'en dormis.

Le SolitaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant