Episode 20

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Je me sentais lourde, comme si un poids était poser sur moi, c'était chaud et doux, cette sensation me rappelait l'époque où je dormais avec mes parents, cela m'avais manqué.
Quand je pris conscience que je n'étais pas chez moi, mais à l'hôtel, mes yeux se décollèrent immédiatement et je me rendis compte que j'étais couchée collet contre le solitaire, son bras droit s'enroulait autour de moi, il était encore profondément endormir.

À première vue, on avait tous les deux pas respecter notre partie du lit, mon cœur s'affola et je sentir une chaleur monter en moi, je voulus me dégager mais j'étais incapable de bouger.

Mes penser s'agitait, une succession de chose orbsernne défilait dans mon crane, mais cette sensation ne m'était pas désagréable, je me recrovilla sur moi et fermis les yeux, en acceptant cette position que après la panique passer commençait a faire jaillit de mon corps un plaisir étrange.

Je resta ainsi pendant un très long moment, le téléphone du solitaire sonna, je restai immobile et fit semblant de dormir. Le solitaire se réveillât et sursauta en me voyant coucher dans ses bras, il se dégagea et s'éloignât précipitamment de moi.

J'aurai payé chère pour voir l'expression sur son visage.

Le solitaire s'éloigna de moi et entra dans la salle de bain pour répondre à son appelle malgré le faite qu'il n'avait pas fermer la portes derrière lui je n'entendis pas se qu'il disait, mais je crus l'avoir entendis dit le prénom "Sarah".
Après sa conversation au téléphone il en profita pour prendre une douche, se changer et vint s'assoit au pied du lit, je le voyait pencher sur son téléphone, il semblait envoyer des messages. n'ayant pas le courage de bouger et je restai statique les yeux fermés pendant encore 15 minutes et fis semblant d'émerger, d'êtres surprise de voir que j'étais couchée au milieu du lit.

- je suis désoler, je dors très mal. Lui ai-je dit en m'excusant.

- ce n'est rien, on ne sait pas toucher. Me répondit-il.

C'était la première fois que j'étais sur de moi que le solitaire me mentait et son visage inexpressive ne trahissait rien du mensonge. Je rentrai dans la douche et fit vite. À ma sortit, le solitaire était dans la même position pencher sur son téléphone.

- c'est terminer ? Lui questionnais-je.

- oui ! Me répondit-il, en me montrant son téléphone.

La météo annonçait la fin de la tempête et le retour du soleil flamboyant de Blaise City.
À notre sortir de l'hôtel, la météo n'avais pas mentir, il n'y avait que les flaques d'eaux qui trahissait la tempête d'hier, c'était comme si elle n'avait jamais eu lieu. Il était neuf heures et s'était trop tard pour espérer se rendre à la reunion du comité d'organisation de la fête culturelle.

Pendant qu'on se dirigeait vers la station de métro, le solitaire appela mon frère avec qui je discutai brièvement, on prit chacun la station en direction de nos lieu d'habitation respective, j'appris alors que le solitaire vivait tout au nord de l'arrondissement d'Assinie, dans le quartier d'Orglait. Arriver chez moi, mon frère était absent, je me changeasse rapidement et pris la route pour le lycée. Après la fin de la reunion que je commençai en retard, mes amis se ruaient sur moi, pour en savoir plus, Madeleine leurs avait tout dit et ceux-ci voulait en savoir plus. Je passai la journée à leurs raconter sans cesse ce qui c'était passer, ils ne croyaient pas leurs oreilles et me faisait me répéter encore et encore.

Le soir, arrivé au pied de mon immeuble, je me rendis compte que j'allais devoirs affronter mon frère et sa sévérité. Je montai et entra dans l'appartement, Je vis mon frère sur le balcon au téléphone, dans un geste vif du bras, je jetai mon sac à dos dans le canapé et me dirigea directement vers lui.

Le SolitaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant