Le Solitaire

Episode 8

- C'est ça ton plan ? Me demandas madeleine d'un air dessus, tu manques franchement d'imagination ma pauvre.

- Je préfère mille fois le mien comparé à ton plan absurde.

- Ça n'a rien d'absurde, c'est plutôt logique, y a pas plus non chalant que le solitaire, un, tu lui saute de dessus le temps qu'il comprenne se qui lui arrive tu lui à déjà rouler une grosse perle bb, elle un air fiere, et la tu l'auras marqué a vie. Toutes se font regeter parcequ'elle si prennent de manière bien trop conventionnelle, trop polie.

Embrasser le solitaire net puis quoi encore, depuis peu Madeleine, c'est auto convaincue que je suis amoureuse de lui, après avoir laissé tomber la thèse du maraboutage, elle a aussitôt enchaîner avec celle du coup de foudre.

- s'il te plaît. Suppliais-je Thano.

- t'es sérieuse là ? Déjà que tu traînes tout le temps maintenant avec lui, tu me demandes ça ?

- mes fréquentations sont mes fréquentations. Lui dis-je en boudant.

- ok me dit Thano en me donnat le dos.

Je le saisir immédiatement et commença à le supplier de nouveau.

- si j'accepte, c'est bien parce que tu es l'amie de Seb.

- merci, merci infiniment. Lui dis-je vivement avant de m'en aller aussi tôt, je crois qu'il n'avait pas fini de parler, mais j'avais atteint mon but.

Nous étions le vendredi sept février et c'était le dernier jour des cours avant le départ des congés de la saint-valentin et traditionnellement le Lycée organisait ce jour, le grand nettoyage, une activitée qui durant  la quelle tous les lycéens passaient l'école au plumeau.
On se devait de faire le ménage avant d'aller en congé, on avait nommé ce jour le grand nettoyage.

Thano était le membre du conseil des élèves charger de la formation des groupes et je venais de passer la matinée à le supplier de me mettre dans le même groupe que le solitaire.
Au début de l'après-midi, les cours cessèrent et les lycéens se mirent au travail, notre groupe avait pour but de faire briller le bâtiment ou était les bureaux de l'administration.

Durant le nettoyage, je me rapprochai du solitaire, et lui demanda pourquoi il était si appliquer, il me répondit qu'il faisait juste ce qu'on lui avait demandé de faire.
Je restai auprès de lui pendant toute la première moitié de l'après-midi, comme lui, je m'appliquai à la tâche, jusqu'à ce que mon allergie refasse surface, les premiers éternuements sonnait le bon déroulement de mon plan, évidemment tout cela, je l'avais prévu.

N'arrivant plus à respirer, je fis autoriser à me retirer, mais se salopard de solitaire refusa de me conduire à l'infirmerie à croire qu'il se fichait de moi, moi qui pensais qu'avec tout ce que je lui avais dit sur moi et tout ce temps passer ensemble, il aurait une once de simpatie, mais rien se type était véritablement sans cœurs, moi une jeune fille si innocente en detresse lui demande de l'aide et il ause refuser ? Même si effectivement je l'avais un peu chercher.

« - Mon plan ne se déroule absolument pas comme prévu, marmonnai-je à l'infirmerie, de plus mon traitement ne faisais pas effet. »

Tout s'empirait sur moi, j'avais du mal à voir, du mal à respirer, et un mal de tête sévère.
20 minutes plus tard, je vis monsieur je préfère passer le balais que raccompagner la fille qui tente de me socialiser venir s'assoit au chevet de mon lit.

- tu fais quoi ? Lui ai-je demandé.

- je viens te tenir compagnie.

- Dégage, je ne veux plus te voir !

- Tu as une sale gueule m'a pauvre, dit-il en pausant ma main sur mon front, déjà que la nature ne t'avait pas fait honneur avant.

- hummm ! Ai-je dit les yeux entrouverts. Comment tu as fait pour que cet abruti de George te laisse venir ?

- je le lui ai demandé.

Je ne croyais pas mes oreilles.

- tu veux dire que tu es allé devant lui et tu lui as parlé ?

- tu connais un autre moyen ? Me répondit-il.

Il est vraiment allé parler à George ? Je suppose que George a tellement été surpris qu'il a s'en doute dit oui s'en réfléchit.

En fin de compte il s'est inquiété pour moi, allonger sur le lit je le fixais son regard plonger dans son livre, je me sentais près-ce que coupable d'avoir agi comme cela.
Presque coupable, je faisais tout cela pour lui cas meme, c'et idiot a interret à me remercier plus tard.

À mon réveil, il était encore là, les lueurs oranger du soleil lui donnait un air assez paisible, le solitaire avait entièrement dévoré le livre qu'il lisait, il ne lui restait qu'une petite dizaine de page.

- Je veux rentrer, tu peux aller me chercher Madeleine ou n'importe lequel de mes amis.

- Pas de problème.

Dans un geste assez lent, le solitaire posa son livre et s'en alla, Madeleine avait raison sur sa nonchalance, c'était charmant, je trouvai.

« Aller concentre toi, tu ne traînes pas avec lui pour ça, me suis-je immédiatement dit. »

- La grande et le costeau son a l'entraînement, me dit le solitaire à son retour en parlant de Madeleine et d'Innocent, le déléguer viendras te chercher quand il aura fini.

- Il finit toujours tard celui-là.

- Au pire, je t'emmène.

Mon cœur se souleva dans ma poitrine à l'entente de ses mots, « je n'ai pas pu entendre ce que j'ai entendu ? »

- Je t'emmène ? Demandas à nouveaux le solitaire.

- Je... Je ne... En fait...

- Arrête de faire ton intéressante, on y va ! M'ordonna-t-il.

J'eu immédiatement un pincement au ventre et m'exécutai.