Episode 14

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DEUX JOURS PLUS TARDS

Se soir la, comme a mon abitude j'étais assise sur la terrasse de l'appartement a etudier.

A mon arriver du lyucée j'avais beaucoup esiter avant d'envoyer un message au solitaire, « je veux te parler » avais-je envoyé esperant qu'il me reponde.

Je revisait lorsque je recu un message de Madeleine, elle me demandait de la rejoindre dans le petit parc au pied de l'immeuble, je me levai et avanca vers la rend barde mais j'etais trop haut, depuis ma position pour distinguer quoi que se soit, j'insistai pour qu'elle monte, elle en avait l'habitude, mais étrangement aujourd'hui elle ne voulait pas.

Je descendis avec les vetements que j'avais sur moi, un t-shirt et un short bien trop moulant, madelaine semblait presser alors je me precipita, une fois en bas je traversai la route au pas de course et entra dans le petit parc, cherchant Madelaine mais je ne la vit nulle pas. Je m'appreta à lui envoyer un message lorsque lorsque je vis une silhouette assise sur une balançoire dans le noir loin des lampadaires, je rangeai mon téléphone et m'avança vers la personne, j'arrivai près de la personne qui dans des leger mouvement fixait le ciel.

- pourquoi tu scrute tout le temps le ciel ? Avais-je dit au solitaire en m'approchant par derrière.

- je n'ai pas d'ailes, alors je regarde le ciel, et réfléchis comment je vais ramper sur cette terre. Me dit-il la voie calme sans trembler.

- encore l'une de tes phrases toute faite sortir de l'un de tes livres. Avais-je marmonné en m'assaillant à ses cotes.

- celle-ci provient d'un manga, plus exactement. Précisa-t-il.

Je ne savais pas quoi dire, je restai silencieuse assise à ses cotée, celui-ci se redressa détacha son regard du ciel et regarda devant lui.

- je ne suis pas ici par guetter de cœur, venir ici était le seul moyen de satisfaire la grande. Me dit-il l'air non chaland.

Je me demandais comment elle avait fait pour le faire venue, mais intimider je restai coincer sur moi, madeleine ne m'avais rien dire même si je savais pourquoi elle l'avait faire venu.

- je voulais m'excuser, je me suis mal comporte l'autre jour.

- a tu obtenue ce que tu voulais avec ce geste ?

- non le résultat a été tout autre, je suis désoler. Ai-je marmonné honteuse, replier sur moi.

- si la violence ne résout rien, c'est que tu n'as pas frappé assez fort. Me dit-il avec l'air presque sympathique.

Cela me surpris, je ne m'y attendais pas, c'était comme s'il ne voulait pas, comme s'il ne m'avait jamais en voulut.

- elle vient aussi d'un manga, cette phrase ?

- probablement, murmurât-il.

- d'où tu sors toutes ses phrases ? Lui demandai-je timidement.

- je lis, j'apprends, je retiens, et je ressors chaque dialogue au moment opportun. Me dit-il avec son air habituel.

- comment tu fais ? Cela doit être compliqué. Lui demandais-je.

- peut-être mais ça m'évite de devoir construire moi-même mes phrase.

Ca phrase me fit peur, il était encore plus paranoïaque que je le pensais, dans son délire de ne vouloir rien dire sur lui, il évitait de construire lui-même ses phrases pour ne rien révéler sur lui.

- tu me fais peur, ai-je chuchoté.

Celui-ci tourna son visage vers moi sans rien dire, se pencha et glissa sa main dans sa poche, il sortir son téléphone et regarda l'heure.

Le SolitaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant