Episode 15

4 1 0
                                    

Il c'était passer maintenant un mois depuis mon pacte de non agression avec le solitaire, même si concrètement rien n'avais changé entre nous, le solitaire respectais sa part du contrat, c'est-à-dire me répondre lorsque je lui parlais et ne pas m'ignorer et moi je tentais de respecter la mienne, j'evitais de lui poser des questions trop personnel et de ne pas criée lorqu'on discutait.

On était le premier jour des congés de parque et Madeleine m'avais invitée au parc d'attraction situer sur l'ile de thinks islands, la mission était de remonter le morales de yves qui vennait de rompre avec se copine.

Je ne me suis jamais entendus avec cette fille, je connaissais yves depuis le college et bien avant elle, c'était le seule qui me tenait veritablement compagnie quand je me sentais seule on avait beau habiter a des distances tres eloigner, il avait passé plus de temps chez moi que Madeleine qui était ma voisine.

Lorqu'il c'était mis en couple avec cette fille, elle n'avait pas trop aimé le faite qu'on traine autant ensemble et l'avait interdit de venir dormis chez moi comme il le faisait avant, elle lui avait meme interdis de m'aprocher un temps.

Si notre amitier n'avais pas été solide avant qu'il ne la rencontre on ne se parlerait plus aujourd'huis.

- c'n'est pas cool de m'avois fait autant attendre avec lui compagnant. Nous dit yves juste apres que Madeleine et moi l'ai rejoint devant le metro de Roberval, en indicant du doigt le soliatire.

Je fus surprise par sa presence, personne ne m'avais dit qu'il serait la, on c'était vu au lycee hier et avions dicuter toute la nuit et celui-ci ne m'avais rien dit non plus.

- quest-ce qu'il fait la ? Ai-je demandé a Madeleine.

- surprise ! Criat-elle joyeuse.

- oui, surprise. Ai-je affirmé le sourir crispé.

- ça fait deux contre un, ils ne veulent pas de moi, donc je rentre. Dit le solitaire en se levant du banc de l'arret de bus.

- ors de question. Repondis Madeleine a sa requette. On a prevus de passer une journee geniale et on passera une journee geniale ! Des objections ? Demandèrent madeleine.

Le solitaire leva la main.

- non, pas toi. Lui dit Madeleine.

Pendant les dix premieres minutes il m'était impossible de lui parler, car je n'avais pas prevus la possibiliter, que le solitaire soit présent.

Dans le bus Madeleine était assise avec Yves et faisait la conversation, il était déprimer par sa rupture on esperait le faire changer d'humeur aujourd'huis.

- tu compte parler ? me demanda le solitaire.

- non ! Ai-je repondis precipitamment.

- c'est parfait me dit-il avant de mettre ses ecouteurs et collet la tete sur le socier du sieges.

Durant les une heure qu'il nous fallut pour traverser l'arrondissement d'Etienne du quartier de Roberval a celui de Desague au bord de la mer, le solitaire et moi ne s'adressons pas un seule mot mais Madeleine et Yves semblait bien rigoler devant, je ne m'étais pas preparer pour lui aujourd'huis et etrangement le faite qu'il me voit en tenus de maison me genait ennormement.

Arriver au quai du ferie, on n'eu pas a attendre plus longtemps y'en avais un sur le depart on du courrire pour pouvoir l'atteindre et pris la mer. Pendant que les immebule du centre vielle de Roberval s'eloignait ceux de Thonks island se raprochait et parmis les montagnes russes, la grandes et les immenses atractions du parc Picou. Au bout de vingt minute le ferie accosta au large de Thinks islands et on se dirigeat vers le parc, je ragardait de temps a autre le solitaire qui ne semblait pas ravit d'etre la, je me demandais aussi comment madeleine s'y était prise pour le faie venir, déjà qu'il on commencer a se parler sans que je le sache, qu'elle avait reussit a le fait venir au pied de mon immeuble et maintenant ça. On arriva et Madeliene proposa de voter pour parctiper aux atractions, tous le monde fait se que la majoriter decide. On vota tous pour la grande roue comme premiere atraction avec le solitaire qui refusa de voter, apres elle ce fit autour des autaut temponneuse, on enchainait les atractions les une apres les autres, chaque cinq minutes je posais mon regard sur yves pour voir s'il était content et a premiere vue, il semblait etres ravis.

Le SolitaireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant