CHAPITRE 14

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Marthe

Là on est devant le café, ça fait longtemps que je ne suis plus venue. C'était mon ancien travail avant que mon père débarque pour me forcer à épouser Gabriel.

Gabriel : c'est...original.

Moi : Qu'est-ce que tu racontes, ça ressemble à tout café normal.

Gabriel : Je t'ai dit que je n'y suis plus entré depuis longtemps.

Moi : Non, je ne peux pas y croire. Ne me dis pas que tu vas qu'au restaurant ? Et puis tu vas me dire que tu n'es jamais entré dans une bibliothèque ?

Gabriel : N'exagère pas voyons.

Quelques employés me reconnaissent mais ne s'approche pas trop sachant avec qui j'étais.

On commande puis nous mangeons en discutant un peu.

Eric

J'étais dans mon bureau à jetter un regard à ma secrétaire qui se déhanchait devant moi.

Moi : C'est quoi cette tenue Harley ?

Harley : Vous m'avez dit que mes vêtements sont trop vieux alors j'ai renouvelé ma garde-robe.

Un sourire apparu sur mon visage.

Harley : Vous aimez ? Me posa-t-elle tout en souriant malicieusement

Moi : J'aime bien.

D'un coup la porte de mon bureau s'ouvrit brutalement pour laisser voir ma mère, une femme très détestable.

Isabella : Toi sort ! Dit-elle à ma secrétaire.

Harley s'exécute sachant très bien que ma mère est une femme dangereuse. Après qu'elle soit sortie tout en fermant la pauvre porte derrière elle.

Isabella : Elle m'énerve, ils m'énervent tous !

Moi : Quoi encore ?

Isabella : Ta nièce mérite la mort !

Moi : Qui suis-je pour juger ? Mais je t'écoute, qu'est-ce cette peste a fait ?

Isabella : Elle a démissionné, tu y crois toi ? Alors je suis allée voir ton ex fiancée, cette salope, elle était tellement fragile !

Je fronce les sourcils, je déteste la façon dont elle parle d'elle. Je sais que je l'ai trompé, même plusieurs fois mais elle a été ma fiancée.

Isabella : Ne me regarde pas comme ça. Et j'espère que tu as bien rompu avec elle.

Moi : Ne dis pas des sottises, tu as bien dit qu'elle était fragile.

Elle sourit et je n'aime pas quand elle le fait. Ce n'est pas que je n'aime pas ma mère mais depuis que je suis revenue de l'étranger, elle est vraiment plus sombre que d'habitude. Comment dire, elle sent le mal incarné. Bon t'en que j'ai de l'argent ça va un peu mais elle me fait toujours un peu peur.

Isabella : J'ai besoin de ton aide.

Moi : Si c'est pour que je me rapproche de cette femme, jamais !

Isabella : Non, je voudrais que tu t'occupes de son mari.

𝙼𝙰𝚁𝚃𝙷𝙴 [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant